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Liège Bastogne Liège 2014
- pasqup01
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la bouteille à moitié pleine c'est de se demander si ce cyclisme moins spectaculaire n'est-il pas le prix à payer d'un cyclisme "plus" propre ?
Si je me réfère aux noms de ceux qui faisaient les grands coups de panaches des dernières décennies...
Plutôt que de donner à des cyclistes plus propres (en priant que ce soit le cas) un parcours taillé pour des chargés, adaptons le parcours, et tant pis pour le mythe : non ?
NB. vous remarquerez que, prudent, je ne parle pas de "propre", mais de "plus propre"
"poi Dio creò la bicicletta perché l'uomo ne facesse strumento di fatica e di esaltazione nell'arduo itinerario della vita", Madonna Del Ghisallo
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- albator83
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Pour moi les 260 bornes et quelques d'un LBL + le dénivelé démoniaque devraient suffire à dégager le plus fort, dopé ou pas dopé... et forcément ceux qui loupent leur coup prennent un gros éclat, mais c'est ça la beauté du vélo.
Pas attendre la flamme rouge (et encore je suis gentil : j'ai bien cru que Caruso ou Pozzo réaliseraient le hold-up) pour bouger une oreille. M'enfin c'est comme ça...
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- niw
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Ca doit vraiment etre costaud
Il n'y a que le travail qui paye !
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- albator83
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Du très costaud déjà
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- Quickfluck
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Ne voyons pas que la bouteille à moitié vide,
la bouteille à moitié pleine c'est de se demander si ce cyclisme moins spectaculaire n'est-il pas le prix à payer d'un cyclisme "plus" propre ?
Si je me réfère aux noms de ceux qui faisaient les grands coups de panaches des dernières décennies...
Plutôt que de donner à des cyclistes plus propres (en priant que ce soit le cas) un parcours taillé pour des chargés, adaptons le parcours, et tant pis pour le mythe : non ?
NB. vous remarquerez que, prudent, je ne parle pas de "propre", mais de "plus propre"
J'ai vu un Tour des Flandres magnifique avec des coureurs de caractère!!!
Un des seuls qui pose ses c.... on the table, c'est Nibali mais à chaque fois, il meurt pour un rien avant la ligne, personne ne veut collaborer avec lui. Il semble qu'un Bardet, un Barguil sont un peu de sa trempe mais je crains qu'un Kwiatkowski soit plus attentiste dans les nouvelles têtes.
La course de référence reste celle des JO 2012, 7 coureurs, pas d'oreillette et tout le monde a attaqué l'équipe de Grande-Bretagne alors qu'il restait 150 bornes à couvrir!!!!
Mon blog : plushautplusviteplussport.over-blog.com/
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- Zeo
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Plutôt que de donner à des cyclistes plus propres (en priant que ce soit le cas) un parcours taillé pour des chargés, adaptons le parcours, et tant pis pour le mythe : non ?
Effectivement de nos jours les courses avec le plus de mouvements sont souvent les plus courtes à quelques exceptions près comme les Flandres ou Roubaix.
Après pour moi le principal responsable de ces courses d'attente est le classement par points UCI qui incite à finir 10ème sans rien avoir tenté plutôt que de se lancer dans les grandes manœuvres à 40km de l'arrivée au risque de tout perdre.
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- franckydet
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Cela ressemble plus au course amateur
De bonne augure pour la suite?
c'est en forgeant qu'on devient forgeron
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- icare
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Bon faut dire que je ne me suis pas tout coltiné j'ai juste vu la dernière heure retransmise le soir en différé par eurosport...
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- domgreg
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Je me suis un peu emballé sur les 5000 m... plus vers les 4300 m : app.strava.com/activities/134840016
Du très costaud déjà
Moi aussi j'ai 4291 m de D+, pile comme Jérémy Roy
Seul le chrono diffère quelque peu ...juste 3h35 de+!!
Sympa de faire le parcours le samedi et de regarder à la télé, vautré sur le canapé, le lendemain
En tous, beau parcours agrémenté de sacrées bosses. A mon sens, plus dur et plus usant qu'une cyclo montagnarde.
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- albator83
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Moi aussi j'aime bien regarder ces courses même s'il n'y pas eu de chevauchées fantastiques, je trouve cela crédible. Je préférerai comme tous qu'il y ait des attaques de plus loin des cadors mais je ne crois pas que cela soit possible tout le temps et je les comprends aussi... Les itw des uns et des autres (Gilbert et Valverde notamment) sont très révélatrices et me paraissent honnêtes. Et puis pas mal quand même le final avec Pozzo, Caruso, Martin qui part et se vautre en touchant la pédale... ça fait réaliste ! C'est sûr la baston n'a pas duré 1 h mais bon peut être qu'ils ne peuvent pas plus et c'est plutôt rassurant non ?
Bon faut dire que je ne me suis pas tout coltiné j'ai juste vu la dernière heure retransmise le soir en différé par eurosport...
Sauf qu'au final la moitié du peloton au départ roule presque aussi vite qu'à la "grande" époque de 1999 où VDB écrasait les pédales sur le 53 dans St-Nicolas ou la Redoute... Là où avant deux poignées de favoris s'isolaient après la Redoute pour les 40 derniers kilomètres, aujourd'hui on en a une centaine.
On va me dire que les méthodes de préparation ont évolué ainsi que le matériel, mais au final une question : est-ce que le dopage a diminué, ou s'est-il "homogénéisé" en gommant les écarts entre coureurs ?
Après que les gars jouent les épiciers pour les points UCI qui leur assurent un contrat/une augmentation en fin de saison... on n'y peut malheureusement pas grand chose (à part l'UCI).
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- Quickfluck
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A mon niveau cyclosportif je vois ce que tu veux dire... le genre de différence entre les Trois Ballons ou une Marmotte, d'une durée pourtant comparable mais à la gestion de course nettement différente.
Moi aussi j'aime bien regarder ces courses même s'il n'y pas eu de chevauchées fantastiques, je trouve cela crédible. Je préférerai comme tous qu'il y ait des attaques de plus loin des cadors mais je ne crois pas que cela soit possible tout le temps et je les comprends aussi... Les itw des uns et des autres (Gilbert et Valverde notamment) sont très révélatrices et me paraissent honnêtes. Et puis pas mal quand même le final avec Pozzo, Caruso, Martin qui part et se vautre en touchant la pédale... ça fait réaliste ! C'est sûr la baston n'a pas duré 1 h mais bon peut être qu'ils ne peuvent pas plus et c'est plutôt rassurant non ?
Bon faut dire que je ne me suis pas tout coltiné j'ai juste vu la dernière heure retransmise le soir en différé par eurosport...
Sauf qu'au final la moitié du peloton au départ roule presque aussi vite qu'à la "grande" époque de 1999 où VDB écrasait les pédales sur le 53 dans St-Nicolas ou la Redoute... Là où avant deux poignées de favoris s'isolaient après la Redoute pour les 40 derniers kilomètres, aujourd'hui on en a une centaine.
On va me dire que les méthodes de préparation ont évolué ainsi que le matériel, mais au final une question : est-ce que le dopage a diminué, ou s'est-il "homogénéisé" en gommant les écarts entre coureurs ?
Après que les gars jouent les épiciers pour les points UCI qui leur assurent un contrat/une augmentation en fin de saison... on n'y peut malheureusement pas grand chose (à part l'UCI).
On peut aller dans un sens comme dans l'autre, en tout cas, plusieurs constatations: force est de constater un nivellement par le haut des coureurs, un réel ciblage d'équipes entières autour de ces gros objectifs aussi. Il y a de moins en moins de courses qui sont galvaudés du fait de la largeur de banc des formations WT (30 coureurs), cela fait beaucoup de monde à occuper et les coureurs sont tout le temps en stage ou en course toute la saison dorénavant. On peut toujours agiter le spectre du dopage mais je mettrai plutôt cela sur le coup de meilleures préparations physiques. Les coureurs sur la saisons varient d'à peine 10% de leur potentie. Il y a une époque ou les potions magiques agissaient autrement sur la variabilité des performances au cours d'une même saison.
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- pasqup01
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Il y a 50 ans les grands orchestres (comme de grands interprètes de l'époque : pianistes notamment) de musiques classiques étaient vertement critiqués pour leurs "approximations" lors des représentations et leur sonorité trop personnelles.
Aujourd'hui, les critiques (parfois ce sont toujours les mêmes) fustiges à nouveau ces orchestres dans leur version moderne en disant que la hausse générale des instrumentistes, leur plus grande professionnalisation et leur internationalisation a uniformisé les sonorités (Berlin sonne trop proche de Vienne etc.). On ressort donc les vieux LP des années 70 pour se délecter des différences de sonorité d'avant...
Certains diraient : on ne sait pas ce qu'on veut ! Moi je dirais plus trivialement : on veut toujours ce qu'on a pas
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Mon esprit de contradiction ne resiste pas à l'envie de vous soumettre cette petite analogie d'un autre monde que je connais un peu :
Il y a 50 ans les grands orchestres (comme de grands interprètes de l'époque : pianistes notamment) de musiques classiques étaient vertement critiqués pour leurs "approximations" lors des représentations et leur sonorité trop personnelles.
Aujourd'hui, les critiques (parfois ce sont toujours les mêmes) fustiges à nouveau ces orchestres dans leur version moderne en disant que la hausse générale des instrumentistes, leur plus grande professionnalisation et leur internationalisation a uniformisé les sonorités (Berlin sonne trop proche de Vienne etc.). On ressort donc les vieux LP des années 70 pour se délecter des différences de sonorité d'avant...
Certains diraient : on ne sait pas ce qu'on veut ! Moi je dirais plus trivialement : on veut toujours ce qu'on a pas
J'étais très satisfait de l'animation des Ardennaises à la fin des années 90!!!
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C'est aussi à partir de là que je me suis rendu compte qu'on ne faisait pas le même sport
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