Il y a brise... et brise ?

Salut,

Je me demande si je me fais des idées, ou bien si cela recouvre une réalité.

Parfois, avec à peine (apparemment) de vent de face, je lutte pourtant incompréhensiblement, et m'épuise en tout cas en avançant bien moins vite que je ne devrais.

Alors qu'ordinairement, avec la même force de (faible) vent (cf végétation, drapeaux, fumées...), j'avance normalement.

Et mon impression est que parfois donc, un vent faible peut en fait être un vent faible constamment en déplacement, comme un courant continu de fleuve, et sans aucunes variations (accélérations, pauses).

Une brise usante.

Je ne sais pas si c'est compréhensible, mais c'est mon expérience ; rare toutefois (mais bien pénible).

Est-ce que ça vous arrive aussi d'avoir l'air ridiculement plantés par un apparent misérable petit vent comme ça ?

Le terrain joue aussi énormément quand on a le vent dans le nez.
Il suffit que la route soit bosselée avec un bitume qui ne rend pas et on est alors tout de suite planté. Et le moindre faux-plat devient plus sensible.

Après c'est sur qu'un vent constant sur un terrain dégagé est plus pénible car il n'offre aucun répit. Quand ça souffle en rafales il est plus facile de rendre de la vitesse entre deux coups de vent et pour le moral c'est bien mieux.

Tiens j'ai le ressenti opposé vis à vis des rafales... je préfère un vent bien continu (et prévisible) où tu te cales à une puissance X en attendant d'être à l'abri, plutôt que des rafales imprévisibles voire dangereuses suivant la force :-)

albator83 écrit:

Tiens j'ai le ressenti opposé vis à vis des rafales... je préfère un vent bien continu (et prévisible) où tu te cales à une puissance X en attendant d'être à l'abri, plutôt que des rafales imprévisibles voire dangereuses suivant la force :-)

c'est une question de poids je pense. Quand tu es une grosse grenouille comme moi, tu te lances entres 2 rafales et avec l'énergie cinétique, ça impacte moins qu'une petite crevette rose !

Manque d'habitude aussi je pense... bien que je ne vois comment j'arriverais à faire du vélo dans la vallée du Rhône par exemple.

albator83 écrit:

Manque d'habitude aussi je pense... bien que je ne vois comment j'arriverais à faire du vélo dans la vallée du Rhône par exemple.

j'ai habité 3 ans a Grenoble mais c'est le froid auquel je ne me suis jamais habitué. Mais c'est mes meilleurs années sportives, une vraie ville de sport ! Comme je regrette Bachelard et les copains la bas

slt le mistral on en prend l'habitude ,il s’agit de partir dans le bon sens et mettre des jantes basses ,sauf quand il fait 5° là planque vous aux abris,et puis c'est bon pour la pollution et les moustiques

Il n'y a pas une histoire de pression d'aire et de température également sur le ressenti?