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Hero marathon dolomites
- C_mic07
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il y a 7 ans 5 mois #140622
par C_mic07
tu es vraiment un gros obsédé.......................................................................des HS
Réponse de C_mic07 sur le sujet Hero marathon dolomites
Par rapport au 1*11, je ne vois pas vraiment ces avantages là. Surtout qu'avec 50 dents, cela implique de faire encore plus attention encore au point que je relevais hier
Bon, on tourne vraiment HS en pourrissant le sujet
tu es vraiment un gros obsédé.......................................................................des HS
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- laurent.a
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il y a 7 ans 5 mois #140624
par laurent.a
Je parlais du mono plateau en general, un pignon de 50, effectivement, ca me bloque également !
Réponse de laurent.a sur le sujet Hero marathon dolomites
Par rapport au 1*11, je ne vois pas vraiment ces avantages là. Surtout qu'avec 50 dents, cela implique de faire encore plus attention encore au point que je relevais hier
Bon, on tourne vraiment HS en pourrissant le sujet
Je parlais du mono plateau en general, un pignon de 50, effectivement, ca me bloque également !
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- jfd_
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il y a 7 ans 5 mois #140625
par jfd_
Réponse de jfd_ sur le sujet Hero marathon dolomites
Ok, je ne l'avais pas saisi ainsi. Désolé.
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- Cricridamour
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il y a 7 ans 5 mois #140626
par Cricridamour
Le récit de Urs Huber, tradaptation par Cricri.
Sellaronda Hero et Raid Évolénard – Une chevauchée brutale
Avec le double départ du Sellaronda à travers les Dolomites le samedi et le Raid Évolénard en Valais le dimanche, j’ai entrepris un programme complet le week-end passé. Je me réjouissais, même si je savais que ce serait un gros morceau et que surtout le transfert vers le Valais et le départ de la course du dimanche seraient rudes. Je visais des places sur le podium pour les deux courses.
Avec le Sellaronda Hero du samedi, j’avais l’une des courses les plus dures devant moi. Les Dolomites tout autour de Wolkenstein sont bien jolies mais elles sont aussi dures et impitoyablement raides. Le tracé comprend 4‘500 m de dénivelé positif, répartis sur à peine 85 km. Je m’attends à une journée de travail difficile, vu la composition extrêmement forte du peloton.
Directement après le départ, voilà la première montée vers le Dantercepies. Je savais que je ne devais pas partir trop rapidement, puisque que la course devient encore plus dure au km 30 et les montées encore plus raides et que c’est à partir de là qu’il me faudrait appuyer encore plus fort sur les pédales.
C’est ainsi que je me plaçais en 5ème position derrière Ragnoli, Paulissen, Mensi et Paez et les laissais partir après les 2/3 de la montée. Dans la montée, j’ai pu revenir sur Mensi et Paez, et depuis derrière sont aussi revenus Longo et Hochenwarter. Je me retrouvais en 3ème position de ce groupe de 5.
Dans la 2ème ascension en direction du col de Campolongo, je me sentais en pleine forme et pensait à ce moment être le plus fort de ce groupe L’écart avec Ragnoli qui roulait un peu devant grandissait toujours plus et il n’y avait presque plus aucun doute déjà à ce moment de la course de l’identité du futur vainqueur.
Derrière, je me voyais pourtant encore sur le podium. Après le ravitaillement à Arabba, je dus cravacher lorsque que Mensi et Paez augmentèrent massivement leur allure dans cette courte mais raide rampe pour s’échapper de notre groupe.
Avec Hochenwarter et Longo j’attaquais la montée la plus raide en direction de Sourassas. Soudain, je ne me sentis pas bien du tout, mes jambes étaient comme vides et je dus laisser partir mes 2 compagnons. En tête à tête avec le mur qui se trouvait devant moi et qu’il s’agissait maintenant de gravir, cela ne signifiait rien de bon pour moi. Cette montée est si brutalement raide que j’avais à chaque coup de pédale l’impression de tirer un gros bloc de pierre qui voulait rouler en arrière en direction de la vallée. Je luttais comme je pouvais pour gravir cette pente et fus rattrapé par Kaufmann.
Je dus aborder avec prudence le singletrail du Passo Pordoi, car la montée m’avait mis hors de souffle et m’empêchait de réfléchir et piloter avec les idées vraiment claires.
Dans la courte montée vers le Pordoi, j‘ai aussi dû laisser partir Kaufmann, et à partir de maintenant il s’agissait tout simplement de serrer les dents et rallier d’une façon ou d’une autre l’arrivée.
C’est en 8ème position que j’attaquais à Canazei les 30 derniers km avec l’ascension du Passo Duron et le final. Avec un rush final, il aurait encore été possible de monter sur le podium, mais pour moi il s’agissait à présent uniquement de ramener cette 8ème place à l’arrivée.
Bien que je me sentais vraiment pas bien du tout, que cette montée ne voulait pas se terminer et que je perdais massivement du temps, je parvins à rallier l’arrivée à cette 8ème place. Mon objectif de podium était donc clairement raté, j’étais simplement content d’être parvenu au bout.
Je ne sais pas pourquoi après 2 heures de course tout-à coup je n’ai plus eu de force et que je pus à peine gravir les montagnes. Mais la fin du parcours fut pour moi l’une des plus difficile que je ai jamais vécue.
Il s’agit maintenant de récupérer, tout préparer pour dimanche et dormir. Nous levons le camp à 2 heures pour le long trajet de 600 km vers Evolène.
J’ai pu dormir encore un peu dans la voiture, mais à l’arrivée à 8h30, je me sentais tout sauf frais.
Il restait encore un peu de temps avant le départ. A 10 heure c’est parti et tout de suite sur la première longue montée. J’ai eu de la peine à prendre le rythme et parvins au sommet en 6ème position avec déjà 1 minute de retard.
Dans le single suivant, j’ai pourtant réussi à refaire la jonction avec la tête. Je devais maintenant miser sur la tactique pour monter le mieux possible vers le sommet et limiter les dégâts et essayer dans les descentes de refaire le retard. Malheureusement, dans la longue descente de retour dans la vallée, je ne parvins pas à faire la jonction avec le 3ème Moser pour quelques secondes, et j’ai dû effectuer la boucle à plat dans la vallée tout seul.
Il s’agit alors de remonter sur l’autre versant de la vallée avec deux longues ascension. Je voyais toujours la place sur le podium pas loin devant moi. J’ai donc dû remettre un coup de collier pour rejoindre la 3ème place que je visais.
Le début de cette longue montée me convint très bien, J’ai pu envoyer un gros tempo et vis soudain le champion belge Claes et Moser pas loin devant. J’ai aussi aperçu le leader Adrien Chenaux une dernière fois, il était toutefois loin plus haut et donc hors de portée. Je n’ai pas réussi à boucher le trou avec Moser, bien qu’il était tout le temps pas loin devant. Mais Claes payait la facture pour avoir voulu rester avec Chenaux en début de course et je pus le distancer.
Le podium était en bonne voie et je spéculais encore que dans la descente finale je pourrais éventuellement prendre encore une place. Mais je sentis rapidement la fatigue et les efforts de ces 2 derniers jours, et il m’était difficile de maintenir une concentration à 100%. Je me consacrai donc à maintenir ma 3ème place et de parvenir sain et sauf à l’arrivée.
Après ma course de la veille assez décevante, j’ai pu montrer une réaction et au moins aujourd’hui parvenir à un bon résultat.
Urs Huber
Mon blog: christophequibouge.wordpress.com/
Réponse de Cricridamour sur le sujet Hero marathon dolomites
Il était juste devant moi au départ. .. sacré bestio !!Bravo Charly!
Urs Huber 8ème, puis 3ème le lendemain au Raid Evolénard... J'attends ses CR.
A+
Cricri
Punaise le contre coup aujourd'hui !! Suis sec!
Le récit de Urs Huber, tradaptation par Cricri.
Sellaronda Hero et Raid Évolénard – Une chevauchée brutale
Avec le double départ du Sellaronda à travers les Dolomites le samedi et le Raid Évolénard en Valais le dimanche, j’ai entrepris un programme complet le week-end passé. Je me réjouissais, même si je savais que ce serait un gros morceau et que surtout le transfert vers le Valais et le départ de la course du dimanche seraient rudes. Je visais des places sur le podium pour les deux courses.
Avec le Sellaronda Hero du samedi, j’avais l’une des courses les plus dures devant moi. Les Dolomites tout autour de Wolkenstein sont bien jolies mais elles sont aussi dures et impitoyablement raides. Le tracé comprend 4‘500 m de dénivelé positif, répartis sur à peine 85 km. Je m’attends à une journée de travail difficile, vu la composition extrêmement forte du peloton.
Directement après le départ, voilà la première montée vers le Dantercepies. Je savais que je ne devais pas partir trop rapidement, puisque que la course devient encore plus dure au km 30 et les montées encore plus raides et que c’est à partir de là qu’il me faudrait appuyer encore plus fort sur les pédales.
C’est ainsi que je me plaçais en 5ème position derrière Ragnoli, Paulissen, Mensi et Paez et les laissais partir après les 2/3 de la montée. Dans la montée, j’ai pu revenir sur Mensi et Paez, et depuis derrière sont aussi revenus Longo et Hochenwarter. Je me retrouvais en 3ème position de ce groupe de 5.
Dans la 2ème ascension en direction du col de Campolongo, je me sentais en pleine forme et pensait à ce moment être le plus fort de ce groupe L’écart avec Ragnoli qui roulait un peu devant grandissait toujours plus et il n’y avait presque plus aucun doute déjà à ce moment de la course de l’identité du futur vainqueur.
Derrière, je me voyais pourtant encore sur le podium. Après le ravitaillement à Arabba, je dus cravacher lorsque que Mensi et Paez augmentèrent massivement leur allure dans cette courte mais raide rampe pour s’échapper de notre groupe.
Avec Hochenwarter et Longo j’attaquais la montée la plus raide en direction de Sourassas. Soudain, je ne me sentis pas bien du tout, mes jambes étaient comme vides et je dus laisser partir mes 2 compagnons. En tête à tête avec le mur qui se trouvait devant moi et qu’il s’agissait maintenant de gravir, cela ne signifiait rien de bon pour moi. Cette montée est si brutalement raide que j’avais à chaque coup de pédale l’impression de tirer un gros bloc de pierre qui voulait rouler en arrière en direction de la vallée. Je luttais comme je pouvais pour gravir cette pente et fus rattrapé par Kaufmann.
Je dus aborder avec prudence le singletrail du Passo Pordoi, car la montée m’avait mis hors de souffle et m’empêchait de réfléchir et piloter avec les idées vraiment claires.
Dans la courte montée vers le Pordoi, j‘ai aussi dû laisser partir Kaufmann, et à partir de maintenant il s’agissait tout simplement de serrer les dents et rallier d’une façon ou d’une autre l’arrivée.
C’est en 8ème position que j’attaquais à Canazei les 30 derniers km avec l’ascension du Passo Duron et le final. Avec un rush final, il aurait encore été possible de monter sur le podium, mais pour moi il s’agissait à présent uniquement de ramener cette 8ème place à l’arrivée.
Bien que je me sentais vraiment pas bien du tout, que cette montée ne voulait pas se terminer et que je perdais massivement du temps, je parvins à rallier l’arrivée à cette 8ème place. Mon objectif de podium était donc clairement raté, j’étais simplement content d’être parvenu au bout.
Je ne sais pas pourquoi après 2 heures de course tout-à coup je n’ai plus eu de force et que je pus à peine gravir les montagnes. Mais la fin du parcours fut pour moi l’une des plus difficile que je ai jamais vécue.
Il s’agit maintenant de récupérer, tout préparer pour dimanche et dormir. Nous levons le camp à 2 heures pour le long trajet de 600 km vers Evolène.
J’ai pu dormir encore un peu dans la voiture, mais à l’arrivée à 8h30, je me sentais tout sauf frais.
Il restait encore un peu de temps avant le départ. A 10 heure c’est parti et tout de suite sur la première longue montée. J’ai eu de la peine à prendre le rythme et parvins au sommet en 6ème position avec déjà 1 minute de retard.
Dans le single suivant, j’ai pourtant réussi à refaire la jonction avec la tête. Je devais maintenant miser sur la tactique pour monter le mieux possible vers le sommet et limiter les dégâts et essayer dans les descentes de refaire le retard. Malheureusement, dans la longue descente de retour dans la vallée, je ne parvins pas à faire la jonction avec le 3ème Moser pour quelques secondes, et j’ai dû effectuer la boucle à plat dans la vallée tout seul.
Il s’agit alors de remonter sur l’autre versant de la vallée avec deux longues ascension. Je voyais toujours la place sur le podium pas loin devant moi. J’ai donc dû remettre un coup de collier pour rejoindre la 3ème place que je visais.
Le début de cette longue montée me convint très bien, J’ai pu envoyer un gros tempo et vis soudain le champion belge Claes et Moser pas loin devant. J’ai aussi aperçu le leader Adrien Chenaux une dernière fois, il était toutefois loin plus haut et donc hors de portée. Je n’ai pas réussi à boucher le trou avec Moser, bien qu’il était tout le temps pas loin devant. Mais Claes payait la facture pour avoir voulu rester avec Chenaux en début de course et je pus le distancer.
Le podium était en bonne voie et je spéculais encore que dans la descente finale je pourrais éventuellement prendre encore une place. Mais je sentis rapidement la fatigue et les efforts de ces 2 derniers jours, et il m’était difficile de maintenir une concentration à 100%. Je me consacrai donc à maintenir ma 3ème place et de parvenir sain et sauf à l’arrivée.
Après ma course de la veille assez décevante, j’ai pu montrer une réaction et au moins aujourd’hui parvenir à un bon résultat.
Urs Huber
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- Charly42
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il y a 7 ans 5 mois #140628
par Charly42
à bloc!!!
Réponse de Charly42 sur le sujet Hero marathon dolomites
Merci Cricri.
Quand tu lis quand gars comme.Urs prend un tire... tu dis que cette course est bien dur tout de même. ....
Quand tu lis quand gars comme.Urs prend un tire... tu dis que cette course est bien dur tout de même. ....
à bloc!!!
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- Gawain
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il y a 7 ans 5 mois #140631
par Gawain
\\\\\\\"When I see an adult on a bicycle, I do not despair for the future of the human race.\\\\\\\"
H. G. Wells
Réponse de Gawain sur le sujet Hero marathon dolomites
Merci Cricri pour cette traduction. Ils étaient apparemment quelques uns à faire l'enchainement chez les élites. Il faut vraiment avoir la santé.
Je constate avec plaisir que Roel Paulissen est toujours dans la course.
Je constate avec plaisir que Roel Paulissen est toujours dans la course.
\\\\\\\"When I see an adult on a bicycle, I do not despair for the future of the human race.\\\\\\\"
H. G. Wells
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- Eric
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il y a 7 ans 5 mois #140708
par Eric
Réponse de Eric sur le sujet Hero marathon dolomites
Comme dit sur FB bravo mon Charly. Top bon.
En ce qui concerne le braquet je pense souvent à toi et d'autres aussi et me demdande comment vous faites pour passer . Perso sur mon TS j'ai 28/38 et 42 derrière et je le met souvent, très souvent. Et sur mon SR en 1*11, j'avais un 32 et je suis passé à 30 car avec 42 aussi derrière en 32 * 42 c'est vraiment juste. Après 30 *10 c'est un peu limite mais je préfére tourner les cannes en descente plutôt que d'être scotché dans les raidards
En ce qui concerne le braquet je pense souvent à toi et d'autres aussi et me demdande comment vous faites pour passer . Perso sur mon TS j'ai 28/38 et 42 derrière et je le met souvent, très souvent. Et sur mon SR en 1*11, j'avais un 32 et je suis passé à 30 car avec 42 aussi derrière en 32 * 42 c'est vraiment juste. Après 30 *10 c'est un peu limite mais je préfére tourner les cannes en descente plutôt que d'être scotché dans les raidards
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- C_mic07
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il y a 7 ans 5 mois #140709
par C_mic07
Réponse de C_mic07 sur le sujet Hero marathon dolomites
On peut avoir plus gros derrière que devant ?
Pour les humains, c'est presque la norme mais pour un vélo je ne savais pas !
Pour les humains, c'est presque la norme mais pour un vélo je ne savais pas !
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- jfd_
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il y a 7 ans 5 mois #140711
par jfd_
Réponse de jfd_ sur le sujet Hero marathon dolomites
Pour un VTT
Cela est le cas depuis ~20 ans, que la transmission soit en simple, double ou triple plateau.
Cela est le cas depuis ~20 ans, que la transmission soit en simple, double ou triple plateau.
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- C_mic07
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il y a 7 ans 5 mois #140712
par C_mic07
Ben tu vois j'avais j'avais jamais gaffe
Réponse de C_mic07 sur le sujet Hero marathon dolomites
Pour un VTT
Cela est le cas depuis ~20 ans, que la transmission soit en simple, double ou triple plateau.
Ben tu vois j'avais j'avais jamais gaffe
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