se faire mal pourquoi ?

quand je faisais beaucoup de course a pied 2 voir 3 fois par semaine j avais ce besoins de me faire mal en fractionnant les 2 autres footing en recup etaient en fait plus dur a effectuer moins motive pas d objectif de seance je me dit que ce qui me motive c etait de progresse pour etre le plus performant possible aujourd hui je suis plus la dedans mais quand meme sans aucun but c est plus fort que moi,j aime accelere,grimpee, je crois que je suis mazo , je dois pas etre le seul en tout cas je sais que je suis tres sensible au endomorphines avec la montee et apres la redescente; est ce grave docteur

Je crois que c\'est l\'addiction!!!!
Tu vas trouver beaucoup de personnes comme toi ici...... moi le premier!

Moi c\'est pareil, j\'ai fais beaucoup de compétitions (volley-ball) pdt mon adolescence, à l\'entrainement je me faisais tjs mal (pour rester en forme et progresser) puis plus rien pendant environ 12-13ans, aujourd\'hui je fais du VTT, et bien cet état d\'esprit je l\'ai gardé
Aujourd\'hui il faut encore et tjs que je me fasse mal c\'est plus fort que moi, j\'en ai besoin

C\'est un vrai paradoxe.

Là ou la souffrance rejoint le plaisir. Après je ne suis maso. En course je joue avec le rupteur mais je ne mets plus dans le même état qu\'à mes débuts. Pour ma part je crois que certaines de mes sorties d\'entraînement sont quasi aussi difficiles qu\'une course.

Si la forme est là, tu peux faire une perf et avoir du plaisir.

Ivan

Gawain écrit:

\"Pain is temporary. Quitting lasts forever.\"* Comme disait l\'autre.

*\"La douleur ne dure qu\'un instant. Le sentiment laissé par l\'abandon perdure toute la vie. \"
Pour les non shakespeariens.

J\'ai honte de citer l\'auteur de cette phrase...mais là, il a franchement raison.

Pas faux, lorsque pendant la course, la tête lâche. Tu passes en mode confort et bien sûr le chrono n\'est pas bon alors tu regrettes longtemps, très longtemps ...

D\'ailleurs je trouve qu\'une bonne partie de la course se gagne avec le mental !
Il arrive un moment où le voisin à aussi mal aux jambes que nous.. alors c\'est le premier qui lâche qui perd et qui regrette ... longtemps :S

pachag écrit:

D\'ailleurs je trouve qu\'une bonne partie de la course se gagne avec le mental !
Il arrive un moment où le voisin à aussi mal aux jambes que nous.. alors c\'est le premier qui lâche qui perd et qui regrette ... longtemps :S

Oui excellente remarque. AU début tu te dis merde il y a un tel. Après tu remarques que les autres ils disent pareil si tu es là. Donc ne jamais se dévaloriser.

Après si tu es dans le dur, je me dits la même chose, l\'autre aussi il doit avoir les cannes qui chauffent.

Ivan

Dans les moments extrême sur une course importante, au moment de faire la différence, quand je suis vraiment à fond et que douleur et moral ne vont plus, tout en restant \"à fond\" je pense à autres choses de joyeux, un bon souvenir, ou à une personne de cher =) !
Efficasse pour la fin de la dernière monté du dernier tour par exemple

pachag écrit:

Dans les moments extrême sur une course importante, au moment de faire la différence, quand je suis vraiment à fond et que douleur et moral ne vont plus, tout en restant \"à fond\" je pense à autres choses de joyeux, un bon souvenir, ou à une personne de cher =) !
Efficace pour la fin de la dernière monté du dernier tour par exemple

depuis VO², lorsque je suis dans le dur, je pense à vous, au maillot. Je me dis tu n\'as pas le droit de les décevoir.

Info ici:
www.vo2cycling.fr/index.php?/Entrainement/le-men...u-69/La-douleur.html et

www.vo2cycling.fr/index.php?/Entrainement/le-men...-int%C3%A9rieur.html

Ivan

Quand y fait chaud, je pense à la bière fraiche qui attends à l\'arrivée, et je me dis que si je perds trop de temps, y risque de ne plus y en avoir....

papipop écrit:

Quand y fait chaud, je pense à la bière fraiche qui attends à l\'arrivée, et je me dis que si je perds trop de temps, y risque de ne plus y en avoir....

la tourné c\'est pour PAPIPOP mdame\'

Point trop n\'en faut....

Je remonte un peu ce sujet !

Suite au sujet \"le spécifique en vtt\", et le punch qu\'il me manque en terrain cassant, je viens de penser à quelque chose : une éventuelle réponse.

Ce qui différencie la route du vtt c\'est que la résistance est plus faible : pente, difficulté technique ... comme dans les montées impossibles.
C\'est non pas le coté technique de la monté qui me gène, mais l\'association avec une pente toujours très raide qui fait que le cœur monte , monte haut, monte vite très haut... Surement TROP haut. Ça passe une fois, 2, mais au bout de plusieurs fois, je commence à ne plus être maitre de la situation, et je commence à subir la course.

Par exemple, au championnat de france, à Val d\'Isère (lebad et charly ne me contrediront surment pas), on avait une longue monté très raide. Autant vous dire que sur route, on ne connait pas ça : même ds le ventoux on a pas ça ^^

Qu\'est ce que ça fait travaillé comme filière ? PMA, voir même Lactique ?

À y réfléchir, je pense ne pas arriver à atteindre cet état à l\'entrainement sur route où HT. C\'est en fait vraiment ça \"se faire mal\" non ?

Pensez vous que c\'est que je ne me rentre pas assez dedans à l\'entrainement ? Peut-être faire des séries d\'IT plus courte et plus intense... Mais, vous avez une technique pour vraiment tout donner à l\'entrainement ?
Pour moi, je sais que qd j\'ai qqun avec moi je vais toujours plus fort mais malheureusement, il m\'est impossible d\'avoir toujours qqun d\'un meilleur niveau avec moi ...

Merci A+

C\'est non pas le coté technique de la monté qui me gène, mais l\'association avec une pente toujours très raide qui fait que le cœur monte , monte haut, monte vite très haut... Surement TROP haut. Ça passe une fois, 2, mais au bout de plusieurs fois, je commence à ne plus être maitre de la situation, et je commence à subir la course.

Essaie de mieux gérer ce raidar puis tu mines quand la pente s’adoucit et tu descends plus vite si t\'es plus frais.

pachag écrit:

Pour moi, je sais que qd j\'ai qqun avec moi je vais toujours plus fort mais malheureusement, il m\'est impossible d\'avoir toujours qqun d\'un meilleur niveau avec moi ...

Merci A+

Je te rejoins à 200% sur ce point. Je peux t\'assurer que les quelques sorties que j\'ai fais en mode à bloc avec Ivan (moi à bloc, pas lui hein ) m\'ont fait progresser, ne serait-ce que sur mes propres capacités que je sous-estime sans doute
C\'est toujours très motivant de rouler avec qq de plus fort que toi pour te déchirer.

Par contre attention il y a des jours aussi où cela fait mal au moral si c\'est un jour sans pour toi, quand tu te vois à bloc et l\'autre quasi à SG

Et pour finir, d\'une façon générale, j\'adore rouler à 2 ou plus, c\'est tellement plus agréable.

Oui mais pas systématiquement. Les entraînements en qualité doivent se faire seul je pense !!!

Skippy écrit:

C\'est non pas le coté technique de la monté qui me gène, mais l\'association avec une pente toujours très raide qui fait que le cœur monte , monte haut, monte vite très haut... Surement TROP haut. Ça passe une fois, 2, mais au bout de plusieurs fois, je commence à ne plus être maitre de la situation, et je commence à subir la course.

Essaie de mieux gérer ce raidar puis tu mines quand la pente s’adoucit et tu descends plus vite si t\'es plus frais.

..\"Ce raidar\".. Le problème se pose uniquement car les parcourt se raccourcissent pour devenir un enchainement de raidars (en CF cette année très prononcé à méribel je trouve).

En fait, le coeur monte presque autant lors de la reco que le jour J ! La vitesse minimum dans ces raidar est aussi la vitesse max. Lors de la reco, entre 2 raidars, on est à \"l\'arrêt\" pour éviter le sur-régime, mais en course, le faible temps de récup entre 2 fait que la \"mine\" je l\'oublie et très vite arrive la situation où je ne récupère plus assez entre 2 ...

Ce qui se passe, c\'est que je suis dans le rouge, bien plus haut que SV2. Je commence alors la descente sans lucidité... enfin, rien de bon !

Mais le paradoxe est qu\'au bout d\'une heure et demis, je commence à me faire au parcourt. Je pense que c\'est une simple impression et que je commence à doubler par gros paquets uniquement parce que les coureurs lâchent. Ma place dépend alors de la rupture des autres. J\'ai l\'impression de ne pas être maitre à bord et je voudrais pouvoir attaqué dès le début.
Mission impossible ?

Mig74 écrit:

pachag écrit:

Pour moi, je sais que qd j\'ai qqun avec moi je vais toujours plus fort mais malheureusement, il m\'est impossible d\'avoir toujours qqun d\'un meilleur niveau avec moi ...

Merci A+

Je te rejoins à 200% sur ce point. Je peux t\'assurer que les quelques sorties que j\'ai fais en mode à bloc avec Ivan (moi à bloc, pas lui hein ) m\'ont fait progresser, ne serait-ce que sur mes propres capacités que je sous-estime sans doute
C\'est toujours très motivant de rouler avec qq de plus fort que toi pour te déchirer.

Par contre attention il y a des jours aussi où cela fait mal au moral si c\'est un jour sans pour toi, quand tu te vois à bloc et l\'autre quasi à SG

Et pour finir, d\'une façon générale, j\'adore rouler à 2 ou plus, c\'est tellement plus agréable.

Bon, ça va, tu me rassures

Ce qui se passe, c\'est que je suis dans le rouge, bien plus haut que SV2. Je commence alors la descente sans lucidité... enfin, rien de bon !

Alors passe à pied ? Moins gourmand en énergie.

Je comprends mieux également cette envie de faire de la force. Dans ces raidars pas d\'alternative, ça passe pas en vélocité.

Ivan