prépa étape du tour acte 1

Parce qu'en montagne ça peut vite changer, d'un weekend à l'autre.
L'an dernier c'était bien pourri à la mi-juillet : neige au Galibier, alternance pluie et soleil/froid pendant une ou deux semaines (5°C le matin... je roulais en thermique dans les Hautes-Alpes).
Donc avoir ce qu'il faut comme habillement, "au cas où" ;)

abo écrit:

ce n'est pas un avantage aussi d'avoir toujours quelqu'un devant à aller chercher?
ca donne de la motiv et oblige de mettre du rythme.

non?
quand je suis seul, j'avoue qu'au bout d'un moment, mon rythme baisse inconsciemment, et de rattraper un concurrent me remotive.

A moins de compter parmi les meilleurs des meilleurs, il y a toujours quelqu'un à aller chercher... les meilleurs groupes partent généralement en première vague ; sur des cols durs de 15 bornes c'est un peu du chacun pour soi, mais en vallée vaut mieux avoir un bon "autobus" pour taquiner le chrono ;)
Après voit chaque année de "gros" dossards rentrer dans les xx premiers sur les EDT, Marmotte... mais ça reste rare.
Vu le nombre de participants tu ne seras jamais seul sur ces épreuves en tout cas

J'ai cru que vous aviez des infos météo particulières (du type un vieux du village qui sait tout )
Après, sans être aussi connaisseur que vous, j'ai suffisamment d'expérience pour savoir que cela peux tourner à la cata, même moins loin (qui a dit étape du tour Issoire Saint Flour ? )

c'est pour ca que pour ce type d'epreuve il faut être pret à affronter le pire. Pret mentalement mais aussi le materiel, freinage tenues, des petits points qui te feront gagner beaucoup de place s'il fait une météo dantesque ;)
L'an passé a la cyclo la madeleine on s'est pris la neige au sommet fin juilllet ! Sois fort quoiqu'il arrive

Merci pour conseils et encouragements , ils m'aideront à pousser le bouchon plus loin y compris (et surtout) le jour "J"

Petit Up ! en rapport avec le cap des J-15

En principe, les efforts ont été fait (ou pas) mais voilà de temps de "ne plus creuser" ; j'ai donc prévu qqes exos sur lesquels je veux bien votre opinion SVP :

- cette semaine 3 sorties : 1h30 type Force, 1h30 type sprint court, 3h type force / vélocité avec un peu de rythme

- la semaine de la course : se faire la peau sur 3h lundi ou mardi puis stop jusqu'au déblocage (si lundi petite recup 45' le mercredi)

- je dois faire la route samedi pour l'épreuve dimanche : Il vaut mieux un déblocage (30') le vendredi ou le samedi soir ?

Qu'en pensez-vous ?

Pour ma part, je ferai la semaine de l'épreuve :
- une petite séance de 45' RA le lundi si tu as tourné le dimanche,
- une sortie type 30/30 avec 1 ou 2 séries de 10' le mercredi pour vider les réserves de glycogène et enclencher un phénomène de sur-compensation avec le régime alimentaire adéquat,
- une sortie de 45' RA le jeudi,
- et déblocage le samedi. Je pense que la sortie de déblocage un vendredi n'amène pas les même bienfaits...

J'ai toujours fait ce type de programme jusqu'à maintenant, et je trouve que cela te met dans de bonnes conditions pour une course le dimanche. Les experts vous en pensez quoi ?

voici un CR pathétique d'environ 20 km d'une épreuve qui aurait dû en faire 151...

Pour la faire courte : au pied du col de la madeleine, première difficulté après la sortie d'Albertville, au moment de passer le petit plateau, ma chaîne a cassé... une chaine campa qui a au pire 2500 km et n'a jamais posé de prob...

bien entendu, l'assistance mavic avait suivi le sas 1 pour se disposer aux différents endroits que l'organisateur (sur son N° d' "urgence" ) était incapable de m'indiquer. M'élançant du sas 3, je n'ai donc jamais vu de voiture de dépannage... la première s'étant posté plus loin dans le col (je l'ai découvert plus tard)

Celle magnifique journée :sick: s'est donc soldée par 2 heures d'attentes que tous les autres passent puis qu'arrive le bus de la honte... lequel s'est trainé durant 6 heures (et encore, on nous a expliqué qu'on avait de la chance, car comme il avait deux montée à la Toussuire, on n'aurait pas a attendre le dernier pour monter...)

La tout de suite, ne me parlez plus de velo

Samedi prochain, y a l'acte 2 dans les Pyrénées..... Ok, je sors....

... donc c'est le moment de te parler d'un barbeuk' ? :mrgreen:

Bon j'avoue que j'avais regardé les résultats et compris que ça ne s'était pas bien passé... maintenant je sais pourquoi.
'Faut toujours avoir un maillon rapide, toujours... Il ne sert jamais, sauf...

Salut Philippe,

J'ai connue ça il y a 2 ans chez moi à PAU lors de l'EDT PAU-Tourmalet: j'ai éclaté mon boyaux av à la sortie de JURANCON aprés 3km!!!

Impossible de le décoller, j'ai casser mes 2 démontes pneus, ma bombe "PitStop" n'a servie à rien, j'ai vue passé tous le peloton, pas d'assistance et la voiture de fin de course; j'ai remis ma puce et suis rentré chez moi à PAU (heureusement que je jouais à domicile).
Il n'y avait pas d'assistance (enfin pas à l'arrière!!)

En 2008 pour PAU-Hautacam, j'avais eu une crevaison lente à 4km du sommet d'Hautacam et j'avais bénéficier de l'assistance MAVIC qui m'avait mis un coup de pompe anti-crevaison.

Samedi, pour PAU-LUCHON, j'espère aller au bout sans encombre.

Bon courage

pasqup01 écrit:

voici un CR pathétique d'environ 20 km d'une épreuve qui aurait dû en faire 151...

Pour la faire courte : au pied du col de la madeleine, première difficulté après la sortie d'Albertville, au moment de passer le petit plateau, ma chaîne a cassé... une chaine campa qui a au pire 2500 km et n'a jamais posé de prob...

bien entendu, l'assistance mavic avait suivi le sas 1 pour se disposer aux différents endroits que l'organisateur (sur son N° d' "urgence" ) était incapable de m'indiquer. M'élançant du sas 3, je n'ai donc jamais vu de voiture de dépannage... la première s'étant posté plus loin dans le col (je l'ai découvert plus tard)

Celle magnifique journée :sick: s'est donc soldée par 2 heures d'attentes que tous les autres passent puis qu'arrive le bus de la honte... lequel s'est trainé durant 6 heures (et encore, on nous a expliqué qu'on avait de la chance, car comme il avait deux montée à la Toussuire, on n'aurait pas a attendre le dernier pour monter...)

La tout de suite, ne me parlez plus de velo

Effectivement un scénario catastrophe. Bon mieux vaut ça qu'une blessure.

Dans qqs jours ce sera du passé

Ivan

Jean écrit:

Samedi, pour PAU-LUCHON, j'espère aller au bout sans encombre.

Et tu as un avantage, tu sais déjà que tu vas casser ta chaîne puisqu'il y a une épidémie sur le forum.
So don't forget the power link...

Jean écrit:

Salut Philippe,

J'ai connue ça il y a 2 ans chez moi à PAU lors de l'EDT PAU-Tourmalet: j'ai éclaté mon boyaux av à la sortie de JURANCON aprés 3km!!!

Impossible de le décoller, j'ai casser mes 2 démontes pneus, ma bombe "PitStop" n'a servie à rien, j'ai vue passé tous le peloton, pas d'assistance et la voiture de fin de course; j'ai remis ma puce et suis rentré chez moi à PAU (heureusement que je jouais à domicile).
Il n'y avait pas d'assistance (enfin pas à l'arrière!!)

En 2008 pour PAU-Hautacam, j'avais eu une crevaison lente à 4km du sommet d'Hautacam et j'avais bénéficier de l'assistance MAVIC qui m'avait mis un coup de pompe anti-crevaison.

Samedi, pour PAU-LUCHON, j'espère aller au bout sans encombre.

Bon courage

Sincèrement, merci Jean Christophe de ton message. C'est comme les alcooliques anonymes, on est content quand on trouve qqun d'autre qui a galéré

Cette EdT était mon gros objectif de l'année et quasiment le seul (pour plein de raisons d'orga perso...) puisque mes deux autres cyclos préalables avaient été faites en prévision. Du coup, la déception est immense et vraiment le coup assez dur. Et encore, je ne vous ai pas parlé des éclats de peinture sur le cadre causés par la dite casse de chaîne... :S

Evidemment, les choses sont trop fraîches pour en déduire des choses (le coup de la déception), mais je ne serai pas surpris qu'elles me fassent basculer dans une autre pratique : type hors cyclo, qui aurait le gros avantage de m'extirper de contraintes d'orga (plus souple en tout cas) - choix de la date, de la météo, orga avec la petite famille... vraiment, ça fait réfléchir

C'est sur qu'un coup pareil, ça fait réfléchir.... Au regard du temps qu'on y passe, des contraintes que l'on s'impose (à soi mais surtout à ses proches), péter sa chaine au départ, c'est un coup à tout arrêter d'un coup...

Ceci étant, la patine du temps devrait faire son effet et peut être que tu reviendras un peu sur ta déception.... Un tel incident ne m'est jamais arrivé (et je croise les doigts) mais comme tout le monde, j'ai pu connaitre ce type de coup du sort qui te ferais maudire les dieux du vélo : l'angine carabinée qui te tombe dessus la veille de l'objectif, la chute du week end d'avant, le coup de chaud qui te flingue la semaine encore d'avant où tout simplement la panne inexplicable de jambe le jour J alors que tu traversé la France pour l'épreuve.... C'est pour ça que je n'ai jamais un seul objectif par an, cela permet de se raccrocher à quelque chose en cas d'échec... Et puis surtout, au regard de mon age, je relativise de plus en plus ma pratique et je considère que cela fais partie de mon mode de vie, les objectifs étant des jalons de ce mode de vie... Après, ces objectifs peuvent se concevoir hors d'une pratique compétitive... Il y a moult défis cyclistes à relever. J'ai par exemple pour envie de me faire, étape par étape, au coup par coup, la traversée de la chaine des Pyrénées. Et je suis en train de programmer la première étape pour fin septembre début octobre.... Et c'est clair que là, seules les contraintes familiales m’imposeront la date...

Tu as raison, pas de décision dans la précipitation et la déception.
Mais dans mon cas, cela fait un moment que je m'interroge sur le poids de ces contraintes / satisfaction rapportée. J'avais déjà évoqué ma lassitude il y a qqtemps après la Limousine relativement à la "dangereuse guerre" de début de parcours. Il n'est donc pas question pour moi de stopper le vélo (dépression garantie), mais plutôt de faire évoluer ma pratique. Cet incident, au-delà de la fortune de mer qui n'est qu'un épisode à relativiser, pourrait bien être l'élément déclencheur d'un mouvement plus profond.

Mais tout cela n'est que réflexion perso...

+1 : expérience vécue à la Serre-Che 2009... depuis dérive-chaîne et attache rapide en permanence dans la poche, parce qu'une chaîne neuve peut aussi casser sans crier gare.
Sinon j'ai aussi connu les affres de la voiture-balai à la Bisou 2010 (roue cassée au km 100) : 1h30 d'attente, puis 2h de voyage jusqu'à l'arrivée