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Comment débrancher le cerveau
- jjb
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il y a 10 ans 7 mois #109437
par jjb
Comment débrancher le cerveau a été créé par jjb
J'ai remarqué que lors de compétition j'ai une sorte de dialogue intérieur qui ce met en route: je me pose 10 000 question a la S et j'analyse tout
Cela ce produit quant le rythme ce stabilise et qui s'accentue en cas de baisse du physique.
Cela vous arrivent t'il aussi ?
Ca me semble néfaste à la performance.
Avez-vous des trucs pour rester centre uniquement sur son effort sans ce posé de question ?
Cela ce produit quant le rythme ce stabilise et qui s'accentue en cas de baisse du physique.
Cela vous arrivent t'il aussi ?
Ca me semble néfaste à la performance.
Avez-vous des trucs pour rester centre uniquement sur son effort sans ce posé de question ?
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- albator83
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il y a 10 ans 7 mois #109438
par albator83
Réponse de albator83 sur le sujet Comment débrancher le cerveau
Je ne dirais pas "débrancher le cerveau", mais plutôt le focaliser sur un seul objectif... mais je vois ce que tu veux dire.
Ça m'arrive de "sortir" de la course quand je commence à coincer (genre penser boulot/déménagement quand on termine une Marmotte en travers dans l'Alpe... très, très mauvais).
Dans ces cas-là j'essaie de me donner des objectifs à très court terme (genre chaque kilomètre d'ascension, l'un après l'autre) en pensant qu'aux choses basiques (boire, manger, pédaler).
Ça m'arrive de "sortir" de la course quand je commence à coincer (genre penser boulot/déménagement quand on termine une Marmotte en travers dans l'Alpe... très, très mauvais).
Dans ces cas-là j'essaie de me donner des objectifs à très court terme (genre chaque kilomètre d'ascension, l'un après l'autre) en pensant qu'aux choses basiques (boire, manger, pédaler).
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- jjb
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il y a 10 ans 7 mois #109439
par jjb
Réponse de jjb sur le sujet Comment débrancher le cerveau
Moi je suis plus dans la surprotection par rapport a un problème physique comme si je risquer de claquer sur le vélo...
A lors que je n'ai aucuns problèmes phtisiques
A lors que je n'ai aucuns problèmes phtisiques
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- CrossClimber
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il y a 10 ans 7 mois #109440
par CrossClimber
Réponse de CrossClimber sur le sujet Comment débrancher le cerveau
Ca m'arrivait avant cet truc ou je me posais plein de questions en peloton -> c'était p-e du à un stress, c'était chiant. c'est passé je crois avec l'habitude.
après de toute façon si t'es vraiment à bloc (ce qui n'est pas le cas qd t'es caché dans le peloton, sauf si c'est file indienne ou montée rapide ou que t'es à la limite de la rupture...) ton cerveau ne peux plus réfléchir, si ? (chez moi ça passe en pilote auto passé un certain rythme vers i4)
après de toute façon si t'es vraiment à bloc (ce qui n'est pas le cas qd t'es caché dans le peloton, sauf si c'est file indienne ou montée rapide ou que t'es à la limite de la rupture...) ton cerveau ne peux plus réfléchir, si ? (chez moi ça passe en pilote auto passé un certain rythme vers i4)
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- lulu
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il y a 10 ans 7 mois #109444
par lulu
Réponse de lulu sur le sujet Comment débrancher le cerveau
avant j’étais automatiquement débranché en course..j'avais même un comportement dangereux qui fessai gueulé certain..
et un jour en balade j'ai glissé sur une route grasse , avant cela je ne me disais même pas que je puisse glisser .
2mois avec des cannes après je me prépare pendant une dizaine de mois et lors de mon 1er dossard je suis pris dans une chute générale en pleine ligne droite a 50km/h , cela va bientôt faire 2 ans et depuis plus moyen de débrancher le cerveau...je freine et je me fais des films catastrophe tout le temps
et un jour en balade j'ai glissé sur une route grasse , avant cela je ne me disais même pas que je puisse glisser .
2mois avec des cannes après je me prépare pendant une dizaine de mois et lors de mon 1er dossard je suis pris dans une chute générale en pleine ligne droite a 50km/h , cela va bientôt faire 2 ans et depuis plus moyen de débrancher le cerveau...je freine et je me fais des films catastrophe tout le temps
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- Rismis
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il y a 10 ans 7 mois #109448
par Rismis
Réponse de Rismis sur le sujet Comment débrancher le cerveau
En ce qui me concerne cela arrive lorsque lors des phases de relâche, c’est souvent là d'ailleurs qu'arrive l'incident, surtout lorsque en parallèle j'ai pas mal de chose à penser au travail ou autre.
Lors des sorties d'entrainement j'ai souvent l'attention ailleurs que devant moi.
Je n'ai plus le temps de réfléchir quand le rythme s'accélère...
Lors des sorties d'entrainement j'ai souvent l'attention ailleurs que devant moi.
Je n'ai plus le temps de réfléchir quand le rythme s'accélère...
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- Charly42
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il y a 10 ans 7 mois #109450
par Charly42
à bloc!!!
Réponse de Charly42 sur le sujet Comment débrancher le cerveau
En VTT: tu ne dois JAMAIS relacher, en montée, en descente(surtout ) si non cela ne pardonne pas, donc que je sois à l'entrainement, ou en course, je ne pense à rien d'autre que trajectoire, et manger suis de devant (ou cette année pas me faire manger par celui de derrière )
En route sur cyclo: et bien comme je suis pas à l'aise dans un peloton, je suis hyper attentif, toujours le regard autour, devant, pret à freiner/ecarter... apres quand cela s'étire, et bien je suis plus détendus, mais je ne pense à rien d'autre comme en VTT.
En route sur Vire-vire : là je flippe j'aime pas, j'en fais plus d'ailleurs
En route sur cyclo: et bien comme je suis pas à l'aise dans un peloton, je suis hyper attentif, toujours le regard autour, devant, pret à freiner/ecarter... apres quand cela s'étire, et bien je suis plus détendus, mais je ne pense à rien d'autre comme en VTT.
En route sur Vire-vire : là je flippe j'aime pas, j'en fais plus d'ailleurs
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- kikinou16
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il y a 10 ans 7 mois #109452
par kikinou16
Réponse de kikinou16 sur le sujet Comment débrancher le cerveau
samedi j'ai fait l'Ekoi,j'avoue que jusqu'au 62ème kms que je saute du groupe de tête à cause d'une énième chute,j'étais tous les sens en éveil,les mains sur les cocottes parce que des mecs qui freinent à fond pour un rien c'est dangereux.Je ne pensais qu'à me placer à cause du vent qui changeait sans cesse de côté et bizarrement,plus la fatigue se faisait sentir plus j'ai eu des moments d'égarement puis après la cassure le temps que je retrouve mes esprits,j'étais de nouveau dans la course et même vers le 100,110ème kms je me faisais chier
la fin de la cyclo approchant j'ai recommençais à réfléchir pour sortir du groupe et j'étais de nouveau concentré
bonne question
la fin de la cyclo approchant j'ai recommençais à réfléchir pour sortir du groupe et j'étais de nouveau concentré
bonne question
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- Seb-@.
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il y a 10 ans 7 mois #109456
par Seb-@.
Idem ! J'ajouterai que pour ma part, il y a parfois une sorte de cercle vertueux qui peut s'installer : si je suis bien concentré sur la précision de mon pilotage et que je suis réellement précis au final, je prends confiance et je deviens de plus en plus précis et incisif.
Réponse de Seb-@. sur le sujet Comment débrancher le cerveau
En VTT: tu ne dois JAMAIS relacher, en montée, en descente(surtout ) si non cela ne pardonne pas, donc que je sois à l'entrainement, ou en course, je ne pense à rien d'autre que trajectoire, et manger suis de devant (ou cette année pas me faire manger par celui de derrière )
Idem ! J'ajouterai que pour ma part, il y a parfois une sorte de cercle vertueux qui peut s'installer : si je suis bien concentré sur la précision de mon pilotage et que je suis réellement précis au final, je prends confiance et je deviens de plus en plus précis et incisif.
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- wwwfabien
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il y a 10 ans 7 mois #109476
par wwwfabien
Par contre si j'aborde mal une descente j'ai du mal à me remettre dedans pour la finir correctement. Des fois c'est uniquement parce que je veux trop bien faire, du coup cela ajoute un stress inutile. Et au lieu de gagner 1s par ci-par là je perds en confiance et du temps au final.
Réponse de wwwfabien sur le sujet Comment débrancher le cerveau
+1 !
En VTT: tu ne dois JAMAIS relacher, en montée, en descente(surtout ) si non cela ne pardonne pas, donc que je sois à l'entrainement, ou en course, je ne pense à rien d'autre que trajectoire, et manger suis de devant (ou cette année pas me faire manger par celui de derrière )
Idem ! J'ajouterai que pour ma part, il y a parfois une sorte de cercle vertueux qui peut s'installer : si je suis bien concentré sur la précision de mon pilotage et que je suis réellement précis au final, je prends confiance et je deviens de plus en plus précis et incisif.
Par contre si j'aborde mal une descente j'ai du mal à me remettre dedans pour la finir correctement. Des fois c'est uniquement parce que je veux trop bien faire, du coup cela ajoute un stress inutile. Et au lieu de gagner 1s par ci-par là je perds en confiance et du temps au final.
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- Zeo
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il y a 10 ans 7 mois #109480
par Zeo
Réponse de Zeo sur le sujet Comment débrancher le cerveau
Plutôt que débrancher le cerveau je dirais que je le court-circuite en me focalisant sur une idée fixe.
Ça peut être "s'abriter", "garder une roue", "rester à un niveau de puissance", "faire monter une moyenne"....
Effectivement quand la fatigue s'installe ça devient plus compliqué de ne pas décrocher. Dans ce cas je passe en mode "encouragement" en me fixant des objectifs à court terme et en les comparant à ce qui a déjà été parcouru. Du genre, "il reste 10 bornes avant l'arrivée, t'as déjà fait 90% du parcours, tu vas pas lâcher si près du but". En montagne j'aime bien connaitre l'altitude pour me motiver.
L'objectif étant de valoriser ce qui a déjà été fait pour ne pas se décourager devant ce qui arrive.
Sinon un truc qui marche bien aussi c'est: "ok c'est long, ok c'est dur, mais t'es vachement mieux sur ta selle que sur ton siège de bureau!"
Après c'est vrai que c'est dur mentalement de rester concentré 5h sur le vélo. Sur les longs parcours à l'entrainement ça m'arrive même d'avoir envie d'arriver non pas car je suis rincé physiquement mais juste parce que j'en ai marre dans la tête.
Ça peut être "s'abriter", "garder une roue", "rester à un niveau de puissance", "faire monter une moyenne"....
Effectivement quand la fatigue s'installe ça devient plus compliqué de ne pas décrocher. Dans ce cas je passe en mode "encouragement" en me fixant des objectifs à court terme et en les comparant à ce qui a déjà été parcouru. Du genre, "il reste 10 bornes avant l'arrivée, t'as déjà fait 90% du parcours, tu vas pas lâcher si près du but". En montagne j'aime bien connaitre l'altitude pour me motiver.
L'objectif étant de valoriser ce qui a déjà été fait pour ne pas se décourager devant ce qui arrive.
Sinon un truc qui marche bien aussi c'est: "ok c'est long, ok c'est dur, mais t'es vachement mieux sur ta selle que sur ton siège de bureau!"
Après c'est vrai que c'est dur mentalement de rester concentré 5h sur le vélo. Sur les longs parcours à l'entrainement ça m'arrive même d'avoir envie d'arriver non pas car je suis rincé physiquement mais juste parce que j'en ai marre dans la tête.
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