Impacts Coronavirus

Sur ma tour perso oui, graveur + lecteur DVD (donc CD).
Par contre je serais curieux de connaître le % de CD/DVD gravés il y a des années, qui sont encore lisibles

Christoph3 écrit:

Qui a encore un lecteur de CD-ROM sur son PC ?

Moi !
Mon PC a presque 8 ans, ça devient une vraie galère pour faire tourner certains programmes, mais la présence d'un lecteur/graveur est un vrai + (en de très rares occasions).
Je ne fais pas de biostats dessus, sinon il serait déjà réformé, juste des traitements de données sur des grosses bases et ma bureautique de tous les jours. Je compte le mener au bout pour pouvoir faire une violente critique du système qui consiste à changer tous les 3 ans les PC des secrétaires et des comptables, qui au max du max font tourner des tableurs excel et des fusions sous word ...

albator83 écrit:

Sur ma tour perso oui, graveur + lecteur DVD (donc CD).
Par contre je serais curieux de connaître le % de CD/DVD gravés il y a des années, qui sont encore lisibles

J'ai mis à profit le confinement pour copier tous les miens sur un support plus pérenne. Seule une petite moitié était encore lisible.

Certes... mes vraies données importantes ont été copiées/migrées de média en média, à la maison+bureau (deux sites distincts, déformation professionnelle sans doute : je m'occupais de la sauvegarde à mes débuts ).
Que des vidéos non essentielles gravées sur DVD deviennent illisibles, ce n'est pas bien grave (et les vrais DVD originaux pressés tiennent beaucoup plus longtemps et fonctionner encore parfaitement).

Voilà, petite digression et retour au sujet avec Grenoble (entre autres) qui passe en "alerte maximale" ce samedi... je m'étais gouré de 6 jours dans ma prédiction ^^

albator83 écrit:

Voilà, petite digression et retour au sujet avec Grenoble (entre autres) qui passe en "alerte maximale" ce samedi... je m'étais gouré de 6 jours dans ma prédiction ^^

Miam ! Je raffole des cacahuètes !

Jfd : faut mettre à jour les émoticônes du site !





La norme est déjà aux visages masqués sur les podium !

Ce panel d'émoticônes situe bien le défi que constitue le passage des émotions avec un masque pour la mobilité des yeux, des sourcils et des paupières...
Ces masques sont une vraie plaie pour la communication non-verbale ; maintenant quand tu croises un collègue dans un couloir, plus besoin de sourire, il regarde ses pieds.

stam écrit:

Ce panel d'émoticônes situe bien le défi que constitue le passage des émotions avec un masque pour la mobilité des yeux, des sourcils et des paupières...
Ces masques sont une vraie plaie pour la communication non-verbale ; maintenant quand tu croises un collègue dans un couloir, plus besoin de sourire, il regarde ses pieds.

Je continue à sourire derrière mon masque et il me faut encore un bon moment avant de percuter que mon interlocuteur ne me voit pas.

J'ai plutôt un problème, n'étant pas très physionomiste, pour identifier des personnes que je n'ai vues pour l'instant que portant un masque (étudiants, nouveaux collègues, etc.)

Il reste les signes de mains :

Paris-Roubaix annulé...

albator83 écrit:

Paris-Roubaix annulé...

Visiblement, le discours de Macron à l'arrivée du TDF au col de la Loze était hypocrite. Il félicitait les organisateurs d'avoir maintenu la course et démontré qu'on pouvait continuer à vivre avec le Covid. Le préfet des hauts de France en a décidé autrement, et a contraint les organisateurs à arrêter de vivre avec le covid. C'est une nouvelle victime du covid.

Un homme politique hypocrite ? quel scoop
De toute manière depuis le printemps l'Etat s'est largement désengagé de ce genre de décision, restriction au niveau local... se contentant de colorier una carte et laisser le soin aux préfets/maires de se débrouiller avec leur arsenal de mesures à dispo.
Ce qui n'est peut-être pas si mal, finalement... en principe ce sont les décideurs/élus locaux qui connaissent le mieux le terrain (en tout cas davantage qu'un gouvernement centralisé à Paris).

J'imagine aussi qu'il est nettement plus simple de "fermer" des cols au public (du moins en masse) sur le Tour de France, que des secteurs pavés en plaine (où les moyens d'accès sont nettement plus diffus et facilités). Sans parler de la frontière belge pas loin avec des centaines de milliers (millions ?) de spectateurs fanatiques.
Voilà voilà... la préfecture ouvre le parapluie, rien de nouveau sous le soleil (et à leur place je ferais probablement la même chose ?).

PS : et je viens de lire ça par ailleurs... Paris-Roubaix génère infiniment moins d'argent que le TDF, donc plus simple à annuler

Le président de la république nomme le préfet (Macron ou un de ses prédécesseurs), donc ce ne sont pas les haut-de-français qui l'ont élu...

Si Macron laisse des préfets qui n'ont pas étés directement élus prendre des décisions... C'est quand même lui qui les nomme ou qui peut les renommer sur d'autres fonctions.

Si son discours était sincère, il mettrait la pression sur les autorités locales pour "Vivre avec le covid".

Oui, d'une certaines manière ils sont "à la botte" de l'Etat, clairement (surtout que la révocation peut être très rapide, pas besoin d'attendre un quelconque mandat)... mais ils gardent néanmoins une petite marge de manoeuvre sur les mesures à adopter.
En gros l'Etat leur permet de choisir tout un tas de mesures restrictives diverses, ils peuvent faire exactement comme un département au même niveau d'alerte sans se poser de question (ce qui semble se passer généralement) ou adapter un tout petit peu la réponse sanitaire par rapport à la réalité du terrain.

Par exemple a-t-on exactement les mêmes mesures (à la virgule près) prises à Paris, Grenoble, Marseille, Toulouse, Lille, Lyon, St-Etienne en ce moment ?
(sachant qu'il y a aussi l'échelon "maire" dans la prise de décision, peut-être...)

Les critères et les mesures changent du jour au lendemain.

Chaque maillon de la chaine de décision ajoute sa propre restriction.

A l'université :
- le préfet donne des mesures "larges"
- le rectorat rajoute des restrictions "de l'hybride"
- l'université dirige les composantes vers de l'hybride avec des restrictions
- les composantes laissent les responsables de parcours décider de passer du présentiel au distanciel avec annulation de tous les TP sur des "bancs expérimentaux physiques"
- le responsable de parcours n'est pas écouté par les enseignants, et certains décident de leur propre chef de faire du distanciel parce qu'il a entendu parler untel sur France Infos
- l'enseignant n'a que la moitié de ses étudiants présents, car l'autre moitié a fui (à tort ou à raison) les bancs de l'université sous prétexte (ou de manière justifiée) qu'il attend le résultat d'un test (test demandé à tort ou à raison)



Et pour le sport, ben c'est un peu compliqué... Quand un organisateur en a marre de remuer ciel et terre pour maintenir son évennement et "continuer à vivre avec le COVID", il annule en disant que ce sont les conditions imposées par la préfecture qui empêchent la tenue de l'évennement.

Le GP d'Isbergues a bien eu lieu, pourtant à la dernière minute l'organisation a du gérer des sas pour les spectateurs avec décompte à l'entrée et personnel de sécurité...

gillesF78 écrit:

Les critères et les mesures changent du jour au lendemain.

Chaque maillon de la chaine de décision ajoute sa propre restriction.

A l'université :
- le préfet donne des mesures "larges"
- le rectorat rajoute des restrictions "de l'hybride"
- l'université dirige les composantes vers de l'hybride avec des restrictions
- les composantes laissent les responsables de parcours décider de passer du présentiel au distanciel avec annulation de tous les TP sur des "bancs expérimentaux physiques"
- le responsable de parcours n'est pas écouté par les enseignants, et certains décident de leur propre chef de faire du distanciel parce qu'il a entendu parler untel sur France Infos
- l'enseignant n'a que la moitié de ses étudiants présents, car l'autre moitié a fui (à tort ou à raison) les bancs de l'université sous prétexte (ou de manière justifiée) qu'il attend le résultat d'un test (test demandé à tort ou à raison)



Et pour le sport, ben c'est un peu compliqué... Quand un organisateur en a marre de remuer ciel et terre pour maintenir son évennement et "continuer à vivre avec le COVID", il annule en disant que ce sont les conditions imposées par la préfecture qui empêchent la tenue de l'évennement.

Tout à fait, en discutant 5min avec les organisateurs de Montaud ou Prapoutel (des "petits" trucs en comparaison d'épreuves WT), tu te rends compte que les gars craignaient (voire s'attendaient) chaque jour durant la dernière semaine, à un coup de fil de la préfecture annulant l'épreuve au dernier moment.
Dans ces conditions faut une sacrée foi pour garder le cap et ne pas jeter l'éponge.

A la limite plus l'épreuve est modeste, moins il y a de risques (et de frais engagés fixes à l'avance) par l'organisateur, mais bon il n'y a pas que l'aspect financier : en annulant du jour au lendemain (ce sera peut-être le cas au St-Eynard dimanche matin, honnêtement j'en sais rien) on met à la poubelle toute l'énergie déployée pour les bénévoles pour organiser l'épreuve.

En tout cas, on aura tous une bonne raison pour être très mécontents de la gestion de la crise.