HS apres course

Eric écrit:

Salut Charly,
Lorsque j'ai repris la compét (même si je n'en faisais pas bcp, 8-10 courses par an) en 2006, après 13 ans d'arrêt, et bien après pratiquement toutes mes courses, je mettais 4/5 jours à m'en remettre
Après une petit cyclo de 4 h ou un GR depuis Hérmence (4h32) ou Nendaz, je me disais tjs que j'allais profiter de la forme le WE suivant.
Et bien que neni, j'étais complétement scotché jusqu'au jeudi à l'entrainement et aussi incapable de faire une course le WE d'après.
A chaque fois, je ne prenais pas le départ tellement mes sensations étaient pourries
Le mercredi je ressentais encore une énorme fatigue, mal aux jambes ....et je n'avais fait que 4 h de course le dimanche.
J'ai même fait une fois, une sortie en VTT 4 jours après le GR (depuis Nendaz ou j'avais mis 6h30), sortie avec 1200 m de D+ pour 30 bornes à .....109 puls de moyenne tellement j'étais cuit
Même après des courses FFC c'était pareil.

Donc tout ça pour te dire que je ressentais très régulièrement tes sensations d'énorme fatigue et avec une faim terrible.

Amicalement Eric

idem pour moi , depuis que je roule a de bonne moyenne.
je commence même a me dire que c'est beaucoup de souffrance d'après course ( au boulot et a la maison ) pour juste 1 sortie compétition a se mettre minable pour pas grand chose .
mai bon que faire ..arrêter les dossards et rouler autrement

De mon côté, pas de course depuis juin, mais c'est pareil, cette semaine je suis claqué.
Pourtant j'ai fait un très bon cycle d'entraînement qui s'est achevé dimanche... A moins que justement ce soit la cause de ma fatigue. Il faut aussi prendre en compte que cette période de l'année est très particulière :
- on a monté les machines en sur-régime depuis 3-4 mois ;
- l'été et notre rythme biologique nous ont poussés à performer ;
- c'est la rentrée et le stress de l'automne arrive.
D'année en année, j'observe que j'arrive facilement à un pic de forme fin août début septembre, mais qu'en septembre et octobre, quelle que soit ma stratégie d'entraînement, je n'ai jamais réussi à hausser sensiblement mon niveau.