Alimentation pendant effort

jfd_ écrit:

Un peu plus du coté de Toulouse : 3,45€ les 4.

Pour la fourniture du rassemblement VO2, avec le carton donné en +, cela avait fait 2,91€ les 4.


Pour ma part, je recycle les gourdes 85g en moyenne trois fois et les remplis à nouveau avec une poche à douille. Ceci en partant d'une boite de 1kg (boite métal) ou de la gourde souple de 1kg (qui est un nouveau format). Dans ces formats là, le kg revient bien moins cher puisque l'on est en gros sur Toulouse à ~4,60 pour la boite métal et 5,20 pour la gourde de 1kg.

c'est vrai que même économiquement ça vaut le coup car les barres énergétiques coutent un œil à coté. Pour des sorties entrainements de 4h, on peut partir avec 2 gourdes donc ça si elles sont rechargées ça fait 40cx2 environ contre certainement 1€ la barre

Merci pour ces précisions, j'ai bien compris que tu partais en autonomie au niveau gourdes de marron, par contre comment gères-tu le ravitaillement des bidons ?

Je suppose que tu ne prends pas le temps de t’arrêter aux ravitos pour faire tes mélanges ...

Ça m'intéresse pour ma préparation logistique de la prochaine Corima (5 à 6h).

albator83 écrit:

3€ les quatre à peu près en grande surface... la compo donne 64 g de glucides pour 100 g de crème, soit un peu moins de 54 g pour une gourde de 85 g.
C'est une moyenne, mais en gros on conseille de tourner à +/- 60 g/h sur une cyclosportive (pour certains c'est plus, d'autres moins) ; avec une gourde CF + la boisson énergétique le quota est atteint.

Le conditionnement à 100 g pourquoi pas, mais faut voir la place que ça prend dans les poches (ex : 5-6 gourdes de 85 g tiennent déjà du volume :-)).
Vérifie aussi la quantité que tu peux absorber en une fois : avec le débouchage/rebouchage de la gourde ça fait quelques instants de flottement propices à une attaque de l'adversaire (certains n'attendent que ça pour flinguer, faut pas rêver ^^).

L'autre avantage de la crème de marrons, c'est qu'elle passe mieux (en tout cas pour moi) niveau digestion... parce que 5-6h de gels ou barres plus ou moins chimiques engendrent parfois quelques désagréments intestinaux (ça peut vite devenir gênant sur une épreuve par étapes).

Laurent, pour la corima, je te conseille de partir avec 2 bidons de 1l, maintenus par de robustes porte bidons...

Cela te permettra de ne pas t'arrêter aux ravitaillements et de finir dans de bonnes conditions.

gillesF78 écrit:

Laurent, pour la corima, je te conseille de partir avec 2 bidons de 1l, maintenus par de robustes porte bidons...

Cela te permettra de ne pas t'arrêter aux ravitaillements et de finir dans de bonnes conditions.

Je ne connais pas spécifiquement la CORIMA mais, sur un grand parcours (souvent plus de 4h), 2 bidons ça semble très (trop) just. D'ailleurs, des bidons de 1 litre ? les miens grands font maxi 750 et les normaux 600 je crois. C'est à dire que 2 bidons feront en pratique vers 1,3 litres. Autrement dit :
- soit tu planques des bidons de rechange aux endroits stratégiques : autrement dit où tu peux t'arrêter les prendre sans perdre ton groupe (stratégie d'Albator je crois)
- soit tu t'arrêtes aux ravitos (fort risque de perdre le groupe)
- soit tu t'équipes d'un camelbak (my choice)

Elles font comment vos mères et belle mère faite 50pots?.... des conseil?une technique ?

Concernant l'hydratation en course ça dépend de mal de paramètres
Il y en a qui boivent beaucoup et d'autres qui boivent moins.
La température influe aussi beaucoup.

Les bidons de 1l ça existe effectivement mais comme dit Gilles il faut des bons porte bidons.
Quand on est certain que 2 bidons ne vont pas suffire la meilleure technique est d'en planquer un la veille de la course à un endroit stratégique. Idéalement au pied d'une bosse assez longue pour pouvoir revenir sur le groupe avant le sommet.

Perso pour la Corima au mois de mars, 2 bidons de 750ml me suffiraient.

Charly42 écrit:

Elles font comment vos mères et belle mère faite 50pots?.... des conseil?une technique ?

Je lui demande sa technique et je te dis, mais il me semble qu'elle commence par un trempage des châtaignes !

Je ne rentre jamais dans le process de fabrication

Mais pour les confitures, ma belle mère a un Verger et achète aux producteurs voisins. Elle a toujours des plans de folie. Je te file son 06 si tu veux !

pasqup01 écrit:

gillesF78 écrit:

Laurent, pour la corima, je te conseille de partir avec 2 bidons de 1l, maintenus par de robustes porte bidons...

Cela te permettra de ne pas t'arrêter aux ravitaillements et de finir dans de bonnes conditions.

Je ne connais pas spécifiquement la CORIMA mais, sur un grand parcours (souvent plus de 4h), 2 bidons ça semble très (trop) just. D'ailleurs, des bidons de 1 litre ? les miens grands font maxi 750 et les normaux 600 je crois. C'est à dire que 2 bidons feront en pratique vers 1,3 litres. Autrement dit :
- soit tu planques des bidons de rechange aux endroits stratégiques : autrement dit où tu peux t'arrêter les prendre sans perdre ton groupe (stratégie d'Albator je crois)
- soit tu t'arrêtes aux ravitos (fort risque de perdre le groupe)
- soit tu t'équipes d'un camelbak (my choice)

Si on peut le faire, la technique du bidon planqué est vraiment top, je trouve (testé à La Madeleine, parfait). Le mettre à un endroit où ce n'est pas grave de perdre 50 m sur le groupe...

EDIT
Sinon, Laurent, pour un première course route, je pense que tu devrais ne pas te prendre la tête et prévoir un arrêt au ravito.

lebad écrit:

pasqup01 écrit:

gillesF78 écrit:

Laurent, pour la corima, je te conseille de partir avec 2 bidons de 1l, maintenus par de robustes porte bidons...

Cela te permettra de ne pas t'arrêter aux ravitaillements et de finir dans de bonnes conditions.

Je ne connais pas spécifiquement la CORIMA mais, sur un grand parcours (souvent plus de 4h), 2 bidons ça semble très (trop) just. D'ailleurs, des bidons de 1 litre ? les miens grands font maxi 750 et les normaux 600 je crois. C'est à dire que 2 bidons feront en pratique vers 1,3 litres. Autrement dit :
- soit tu planques des bidons de rechange aux endroits stratégiques : autrement dit où tu peux t'arrêter les prendre sans perdre ton groupe (stratégie d'Albator je crois)
- soit tu t'arrêtes aux ravitos (fort risque de perdre le groupe)
- soit tu t'équipes d'un camelbak (my choice)

Si on peut le faire, la technique du bidon planqué est vraiment top, je trouve (testé à La Madeleine, parfait). Le mettre à un endroit où ce n'est pas grave de perdre 50 m sur le groupe...

EDIT
Sinon, Laurent, pour un première course route, je pense que tu devrais ne pas te prendre la tête et prévoir un arrêt au ravito.

Je n'ai jamais dit qu'on ne pouvait pas le faire (le bidon planqué), mais c'est un peu lourd en logistique (trouver le lieu de planque avant et y aller), y revenir l'APM ou le lendemain pour récupérer le bidon vide jeté. Sans compter le risque (certes modeste, mais ne douter de rien au XXIème siècle !) de se faire piquer le bidon (plein ou vide).
Reste toujours que certains boivent très peu (j'ai toujours lu que ce n'était pas le moyen de performer qqsoit les sensations de soif ou pas) et peuvent se contenter de deux bidons

+1 avec l'edit de Lebad. Si c'est une première cyclo sans "ambitions", sache que dans les gros groupes (à privilégier) autres que la tête, il y a toujours un nombre conséquent de gars qui s'arrêtent aux ravitos. Tu t'arrêtes sans traînasser et tu repars avec eux qui t'aideront à rentrer sur le groupe.

edit de moi : j'ajoute un avantage au camelbak (j'ai pas d'action chez eux), c'est qu'avec une boisson tiède dedans, ça chauffe le dos (très sympa pour des épreuves en météo défavorable) et la chaleur corporelle conserve ensuite la boisson chaude plus longtemps que n'importe quel bidon isotherme. Bon, là encore, il y a ceux que cela ne gène pas, et ceux qui ne supporte pas d'avoir un truc sur le dos à l'effort (moi qui suit fan en général, je reconnaît que lors de grosses chaleurs...).

La limite du Camelbak c'est la chaleur. J'ai souvenir d'une Limousine où les 2L de Camelbak + les bidons de 800 et 600mL n'ont pas suffi tellement le Racebak m'avait chauffé ; j'avais dû me dépanner auprès d'un coéquipier. L'année d'après, j'avais pris le parti de n'emmener "que" 2 gros bidons, et avec une chaleur comparable j'étais allé au bout sans souci.

laurent.a écrit:

Charly42 écrit:

Elles font comment vos mères et belle mère faite 50pots?.... des conseil?une technique ?

Je lui demande sa technique et je te dis, mais il me semble qu'elle commence par un trempage des châtaignes !

J'avais testé une année, un passage à la cocotte minute de 7 minutes (je crois) améliorait bien le pelage des châtaignes (incisées au préalable évidemment). Ca reste fastidieux et je n'en ai pas refait depuis.

Zeo écrit:

Concernant l'hydratation en course ça dépend de mal de paramètres
Il y en a qui boivent beaucoup et d'autres qui boivent moins.
La température influe aussi beaucoup.

Les bidons de 1l ça existe effectivement mais comme dit Gilles il faut des bons porte bidons.
Quand on est certain que 2 bidons ne vont pas suffire la meilleure technique est d'en planquer un la veille de la course à un endroit stratégique. Idéalement au pied d'une bosse assez longue pour pouvoir revenir sur le groupe avant le sommet.

Perso pour la Corima au mois de mars, 2 bidons de 750ml me suffiraient.

Idem, mais je ne bois pas beaucoup... même quand on voit le soleil (et c'est rare) à la Corima on est loin de la canicule.
1L ça commence à faire des bidons balèzes, pour moi l'idéal c'est 700-750 mL niveau prise en main/endurance.

@ pasqup01 : je confirme, il arrive que le bidon planqué "disparaisse"... faut absolument éviter les coins fréquentés (genre les abords d'un ravito officiel, car là c'est sûr les mecs se servent ).

stam écrit:

La limite du Camelbak c'est la chaleur. J'ai souvenir d'une Limousine où les 2L de Camelbak + les bidons de 800 et 600mL n'ont pas suffi tellement le Racebak m'avait chauffé ; j'avais dû me dépanner auprès d'un coéquipier. L'année d'après, j'avais pris le parti de n'emmener "que" 2 gros bidons, et avec une chaleur comparable j'étais allé au bout sans souci.

Le Racebak est particulier. J'ai pas trop de soucis avec mon "sac à dos" (modèle light) Camelbak. Mais, il faut se connaître, moi je préfère avoir plus à boire. Encore une fois : c'est perso

albator83 écrit:

@ pasqup01 : je confirme, il arrive que le bidon planqué "disparaisse"... faut absolument éviter les coins fréquentés (genre les abords d'un ravito officiel, car là c'est sûr les mecs se servent ).

C'est clair que quand en plus tu as mis qqes roros dans un bô bidon (du genre des bidons camelbak justement ), t'es grave vénère comme disent mes d'jeuns

C'est exactement pour ça que j'arrête de prendre des Camelbak en course : entre ceux que j'ai paumés sur un dos-d'âne (avant d'avoir de vrais porte-bidons), ceux qui se perdent quand on te ravitaille (pour les accompagnateurs un bidon c'est un bidon ^^) ou ceux qu'on te pique au bord de la route... je pars avec des 750 mL de chez Probikeshop (les gratuits qu'on nous file sur certaines cyclos) et ça va très bien

Mais ça fait encore plus ch* de ne pas retrouver un bidon planqué un jour très chaud sur une cyclo montagneuse, alors qu'il reste un col bien long et difficile à franchir ^^ (et que le prochain ravito est au sommet, bien sûr !)

albator83 écrit:

C'est exactement pour ça que j'arrête de prendre des Camelbak en course : entre ceux que j'ai paumés sur un dos-d'âne (avant d'avoir de vrais porte-bidons), ceux qui se perdent quand on te ravitaille (pour les accompagnateurs un bidon c'est un bidon ^^) ou ceux qu'on te pique au bord de la route... je pars avec des 750 mL de chez Probikeshop (les gratuits qu'on nous file sur certaines cyclos) et ça va très bien

Dommage aussi de ne pas s'en servir pour ces moments... (on avait déjà échangé sur les "bons" porte-bidons)
mais c'est logique compte tenu de ta stratégie

albator83 écrit:

Mais ça fait encore plus ch* de ne pas retrouver un bidon planqué un jour très chaud sur une cyclo montagneuse, alors qu'il reste un col bien long et difficile à franchir ^^ (et que le prochain ravito est au sommet, bien sûr !)

Je compatis
Trop gros risque pour moi (course, voire déplacement foutu)

lulu écrit:

après la crème déjeuner c'est vraiment le maillon qu'il me manquais ...reste a trouver la bonne boisson ( voila quand même dix ans que je cherche ).

Moi, mon protocole est toujours le même. J'ai trouvé des ingrédients suffisamment bon marché pour les utiliser à l'année à l'entrainement et en compétition. Cela me permet de partir serein le jour J sans avoir à craindre une fringale ou des problèmes de digestion.

Petit déjeuner :
- 100g de poudre d'A.Roche faite maison (diluée dans du lait, 100ml de mémoire. J'ai remplacé l'eau par du lait parce que je le d!gère bien, que c'est meilleur et bien plus riche nutritivement (protéines et vitamines)
- 4 pruneaux et 4 abricots sec
- une banane et un kiwi (si possible une banane pas trop mûre)
- 1 café (que j’évite de prendre les jours de compet)
- avant je prenais aussi une tranche de pain complet aux 4 céréales BJORG (je tartinais dessus de la crème A.Roche) mais je pense que ce n'est pas nécessaire

Natation :
Elle peut durer de 30' à 1h sans aucune possibilité de s'alimenter. Donc juste avant le départ je mange une patte de fruit avec une petite bouteille d'eau (pour bien assimiler les glucides).

Vélo
En général j'ai 90km de vélo donc ça peut durer de 2h45 à 4h en fonction du profil du circuit.
Pendant la partie vélo je ne mange que des fruits secs : des dattes et des figues séchées.
Je les coupes en deux et j'essaye d'en manger un morceau toutes les 15'/20'
On a l'impression de passer son temps à manger mais finalement ça fait une figue et une date par heure.
Les figues et les dattes sont réputées pour être riches en glucide, en vitamines et en minéraux. Elles ont un IG élevé.

Je bois uniquement de la maltodextrine. Celle là précisément : www.nutrimuscle.com/produits/MD-Maltodextrine/6/#content
A moins de 8€ le kilo je pense que c'est un rapport qualité/prix imbattable.

- Je pense que l'association de la malto et du fructose des fruits est un bon compromis.
- cette malto a un faible DE (19) ce qui suggère que l'absorption des sucres est très rapide
- Son IG est très élevé (95) mais il est très difficile d'en déterminer l'impact sur l'insuline. En effet l'IG est calculé sur des individu à jeun et au repos. Là vous êtes en compétition avec un petit déjeuner riche en fibre dans le ventre (amandes + fruit) et vous continuez à consommer des fruits (figues et dattes)

Petit HS
Attention aux militants anti IG élevé. A.Roche m'a perdu depuis qu'il est tombé dedans.
Il prône pour un IG faible pour tous ses produits. Il en est même arrivé à baisser l'IG de ses pattes de fruit en ajoutant dedans du son d'avoine.
Le son d'avoine, riche en fibres solubles, est consommé dans les régimes car il absorbe une partie des sucres, bourre bien l'estomac...bref ce n'est pas l'aliment que je prendrais dans l'effort.
Pendant qu'on y est, il peut aussi baigner ses pattes de fruit dans l'huile car l'huile à un IG très bas (comme toutes les matières grasses). Ce n'est pas pour autant qu'elles seraient adaptées à l'effort.

Course à pied
Là c'est parti pour 21km soit environ 1H30.
Depuis quelques saisons je ne prends que des gourdes de crème de marron :
www.clementfaugier.fr/fr/v4/v4_boutique_gamme.aspx?FAMILLE=5

Et je ne bois que l'eau proposé aux ravitaillements, surtout pas les boissons énergétiques dont je ne connais ni la marque, ni le gout, ni le dosage. Bien entendu je ne mange rien de solide sur la càp.
Je pars avec deux gourdes de 85g mais je n'en consomme qu'une.

Après 5/6h de course je ne pense pas être limité par une baisse d'énergie...mais plus par mes capacités physiques.
Mis à part la malto, ce ne sont que des produits naturels très peu transformés.

Donc, tout ça pour dire à Lulu que je luis conseille la malto comme boisson en l'associant avec d'autres sucres et vitamine du type de ceux contenus dans un fruit.


Deuxième HS
Attention aux discours marketting.
Je crois que l'on a très peu de connaissance sur les besoins de l'organisme pendant un effort.
Toutes les études tendent à prouver une thèse et son contraire.
Non seulement on ne sait pas ce que dont le corps à besoin mais on n'a pas non plus d'information sur les quantités et la rapidité d'action dans l'effort.
Certes les BCAA aident à la régénération musculaire, certes les omega 3 sont anti-inflamatoires et fluidifient le sang, certes les vitamines du groupe B aident à l'assimilation des protéines..
Mais quelles sont les quantités nécessaires et ces nutriments ne feront-ils pas effet longtemps après la ligne d'arrivée franchie ?

Quand on sait que lors d'une course le repas qui compte n'est pas celui de la veille mais de l'avant veille et des jours précédents qu'en est-il de la barre de céréale mangée une heure avant l'arrivée ???

C'est d'ailleurs pour ça que je trouve les comparatifs de Nicolas AUBINEAU complètement bidon. Il se contente de comparer le pourcentage en nutriment sans prendre en compte ceux dont on a réellement besoin. A quoi bon charger une barre en vitamine C si on doit attendre 3h avant qu'il ne fasse effet ? (c'est un exemple, je ne connais pas la vitesse d'assimilation de la vitamine C dans l'effort).

Je pense qu'il ne faut pas trop se prendre la tête avec ça, consommer des produits sains et naturels sans écouter les publicités.
Les bases sont simples, dans l'effort ils faut des glucides, si possible sous forme liquide avec une association de glucose et de fructose ainsi que beaucoup d'eau. Il faut éviter les matières grasses (une barre à plus de 10% est une aberration en diététique sportive) ainsi que les fibres.

C'est d'ailleurs pour ça que je suis aussi très septique sur le fait de consommer la crème d'A.Roche pendant l'éffort (sur des épreuves de moins de 10h). Certes les amandes sont très riches en vitamines, minéraux, BCAA, oméga 3, mais elles sont aussi très grasses et riche en fibres alors pas franchement adaptées à un effort qui se fait sur les réserves accumulées les jours précédents l'épreuve.