Impacts Coronavirus

Circus écrit:

jfd_ écrit:

Je ne comprends pas trop le lavage des masques. A partir du moment où c'est savonné... On ne demande pas cela pour les mains. Heureusement parce que de l'eau à 60ºc sur les mains...

Bon, c'est pas la première fois que les Toulousains raisonnent de manière identique...

Je comprends pas non plus :on t'explique que l'eau toute seule tue presque le virus (sa membrane n'y résiste pas). Que l'eau savonneuse le tue complètement.
Et pour les masques, il faut que ça soit 60°c pendant 30' !?!?!?

Où as-tu vu que l'eau seule tue le virus? Ca m'étonne!, ce genre de "machin biologique" est plutôt de type aqueux...

Pour les tissus : www.liberation.fr/checknews/2020/04/15/covid-19-...-l-eau-froid_1785179 (en gros, c'est plus efficace à 60 qu'à 30, donc application du principe "qui peux le plus peux le mieux").

Personnellement je pense que l'usage des masques risque d'être contre-productif.

Quand je vois le nombre de personnes dans la rue qui le mette puis l'enlève puis le remette en ayant entre temps touché des objets potentiellement contaminés ça risque d'être plus un facteur de contamination qu'autre chose.

Pour avoir des amis qui bossent à l’hôpital, la procédure d'utilisation est loin d'être évidente à mettre en œuvre pour le particulier et surtout très contraignante. En gros si t'es pas obligé tu le fais une fois et après ça te saoule...

Quand au port du masque sur de longue période ou pour des activités physiques c'est juste pas envisageable vu comme c'est désagréable.

Zeo écrit:

Personnellement je pense que l'usage des masques risque d'être contre-productif.

Quand je vois le nombre de personnes dans la rue qui le mette puis l'enlève puis le remette en ayant entre temps touché des objets potentiellement contaminés ça risque d'être plus un facteur de contamination qu'autre chose.

Pour avoir des amis qui bossent à l’hôpital, la procédure d'utilisation est loin d'être évidente à mettre en œuvre pour le particulier et surtout très contraignante. En gros si t'es pas obligé tu le fais une fois et après ça te saoule...

Quand au port du masque sur de longue période ou pour des activités physiques c'est juste pas envisageable vu comme c'est désagréable.

+1!

A mon avis, c'est quelque chose qu'il faut faire après les autres "gestes barrières", quand sont ceux-ci ne sont plus suffisants (ex: les transports en commun) mais il faut le faire bien, en appliquant la procédure (RTFM... )...

Edir : à moins de se savoir malade et d'être dans l'obligation de sortir, auquel cas le port du masque est bien sûr obligatoire...

Pour moi je voit le masque comme une barrière pour nos micro gouttelettes qui sortent de notre bouche et de notre nez. si tout le monde en met, cela limite les contaminations possibles de l'environnement qui nous entoures.
Par contre ce n'est pas infaillible dans les 2 sens (protection personnel et protection de l'environnement), mais limite les risques. Pour moi c'est un effet papillon. Plus les gens respectent les gestes barrière, plus la propagation est limité et plus le covid 19 disparait.

david38 écrit:

Circus écrit:

jfd_ écrit:

Je ne comprends pas trop le lavage des masques. A partir du moment où c'est savonné... On ne demande pas cela pour les mains. Heureusement parce que de l'eau à 60ºc sur les mains...

Bon, c'est pas la première fois que les Toulousains raisonnent de manière identique...

Je comprends pas non plus :on t'explique que l'eau toute seule tue presque le virus (sa membrane n'y résiste pas). Que l'eau savonneuse le tue complètement.
Et pour les masques, il faut que ça soit 60°c pendant 30' !?!?!?

Où as-tu vu que l'eau seule tue le virus? Ca m'étonne!, ce genre de "machin biologique" est plutôt de type aqueux...

Pour les tissus : www.liberation.fr/checknews/2020/04/15/covid-19-...-l-eau-froid_1785179 (en gros, c'est plus efficace à 60 qu'à 30, donc application du principe "qui peux le plus peux le mieux").

Je n'arrive plus à retrouver l'article (toujours L'Immonde avec moi...). Mais il était clairement expliqué que la membrane du virus ne résistait pas bien à l'eau qui a un effet diluant des graisses. J'essaie de retrouver ça...

edit : je ne voulais pas dire que le virus est tué par l'eau uniquement.

franckydet écrit:

Pour moi je voit le masque comme une barrière pour nos micro gouttelettes qui sortent de notre bouche et de notre nez. si tout le monde en met, cela limite les contaminations possibles de l'environnement qui nous entoures.
Par contre ce n'est pas infaillible dans les 2 sens (protection personnel et protection de l'environnement), mais limite les risques. Pour moi c'est un effet papillon. Plus les gens respectent les gestes barrière, plus la propagation est limité et plus le covid 19 disparait.

Effectivement le masque permet de limiter le risque de contaminer les autres mais s'il est mal utilisé il augmente aussi le risque de se faire contaminer.
Pour moi c'est à réserver à des usages où le respect des distances entre personnes n'est pas possible : typiquement les transports en commun.
Pour une promenade dans la rue où faire ses courses c'est beaucoup plus discutable.

Quand à la disparition du virus, tant que la majorité de la population ne sera pas immunisée (par guérison ou par vaccin) c'est à mon sens illusoire.
Il va falloir apprendre à vivre avec le virus pendant au moins quelques mois et ne pas retomber dans la psychose du confinement dès que le nombre de cas va repartir à la hausse ce qui va se produire inévitablement dans les prochaines semaines.

En bref, faisons en sorte d'éviter les gros brassages de population, protégeons nous dans les situations à risque, testons les personnes fragiles ou pouvant être vecteur de propagation mais SVP SORTONS DE L'ANGOISSE ET CONTINUONS A VIVRE!!!

jfd_ écrit:

J'avais mis le lien sur l'action du savon sur le virus il y a quelques semaines en Mars où tout est expliqué sans les empressements et explication additionnées de ressentis et autres additifs de durée, de température, etc, etc, de ce mois de Mai.

L’article a été mis à jour le 22/04 dernier.

Edit : et l'article indique un élément important que l'on ne souligne pas actuellement : les solutions hydro-alcooliques ne marchent bien que sur des mains déjà propres pour tuer le virus. Un détail...

Et au-delà de ça, utiliser du gel xx fois par jour finit par détruire la protection naturelle de la peau... au quotidien je préfère 10x me laver très régulièrement les mains au savon, le gel c'est par obligation en faisant mes courses, clairement (ça a l'air de coller à la préco OMS).

Quelques éléments scientifiques intéressants

Coronavirus : qui ont été les contaminés du confinement ?

Le huis clos des huit dernières semaines n’a pas complètement stoppé la transmission du virus, mais n’a pas non plus été mis à profit pour mieux comprendre celle-ci.

Par Nathaniel Herzberg Publié hier à 02h48, mis à jour hier à 07h11


Selon les chiffres de la direction générale de la santé, 8 674 nouveaux tests positifs au SARS-CoV-2 ont été officiellement enregistrés entre le 1er et le 9 mai, en France. Malgré les gestes barrières, malgré la distanciation sociale, malgré le confinement, il y aurait encore, en réalité, de 3 000 à 4 000 nouvelles contaminations chaque jour, selon l’épidémiologiste Daniel Lévy-Bruhl, responsable de l’unité des infections respiratoires de Santé publique France.

« C’est nettement moins qu’il y a un mois, mais c’est encore beaucoup, souligne Anne-Claude Crémieux, professeure d’infectiologie à l’hôpital Saint-Louis, à Paris. On va donc déconfiner avec des chaînes de contamination encore actives et une connaissance très grossière de ce qui se passe. On ne dispose pas d’un état des lieux sur l’ensemble des Ehpad [établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes], ni dans tous les hôpitaux, et on ne connaît pas les conditions d’infection des nouveaux contaminés alors que cette période aurait dû nous permettre de bien analyser tous ces points. Il n’y a pas eu de réelle stratégie de santé publique pour réussir le déconfinement. »
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Coronavirus : ce que la science ignore encore à l’heure du déconfinement
« On ne s’est jamais donné les moyens de savoir »

Dès février, les premières études chinoises conduites sur les foyers (clusters) de plus de trois cas ont conclu que 80 % étaient familiaux. Une autre étude, réalisée à Hongkong sur 318 regroupements de malades, a trouvé le même résultat. Loin derrière figuraient les transports.

D’autres enquêtes ont suivi les chaînes de contamination. A Shenzhen, le taux d’attaque secondaire, autrement dit la proportion de personnes en contact avec un premier malade et qui se voient ainsi contaminées, est de 11 % dans la famille, selon une étude publiée le 27 avril dans The Lancet Infectious Diseases. A Taïwan, il est plus bas, proche de 5 %. « Mais hors de la famille, c’est 1 % », insiste Anne-Claude Crémieux, sur la foi d’un article publié dans la revue JAMA Internal Medicine. La professeure d’infectiologie avance encore le constat fait à Wuhan lorsque, après les multiples mesures de distanciation, avec des malades maintenus à domicile, le R0 – c’est-à-dire le nombre de personnes contaminées par un individu infecté – restait à 1,32. « Ils ont décidé d’isoler les patients dans des hôtels réquisitionnés : le R0 est tombé à 0,32. »

Les familles, donc. Mais aussi les hôpitaux et les Ehpad. Didier Guillemot, directeur d’unité à l’Institut Pasteur et professeur de médecine à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), vient de lancer une vaste étude pour tenter de déterminer l’ampleur et l’origine de la contamination des personnels hospitaliers. « Lorsqu’on hospitalise les patients les plus contagieux, fait-on baisser cette dynamique car on contrôle ainsi des vecteurs potentiels, ou l’hôpital joue-t-il au contraire un rôle d’amplificateur ? » Le professeur Guillemot entend bien apporter une réponse. « Mais pas avant début juillet », avertit-il. Ce n’est également pas avant juillet que le professeur Philippe Vanhems, des Hospices civils de Lyon, espère disposer des premiers résultats d’une étude du même type sur les Ehpad de la région, qui devrait permettre d’y caractériser les regroupements de cas, selon la situation des patients, des soignants, l’organisation des ressources, l’environnement extérieur…
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Coronavirus : avec les équipes mobiles chargées de casser les chaînes de contagion jusqu’au sein des familles

« Nous avons quelques observations empiriques, indique Renaud Piarroux, chef du service de parasitologie à l’hôpital Pitié-Salpêtrière, à Paris, et promoteur du réseau Covisan, ces équipes mobiles récemment mises en place en région parisienne, chargées de repérer les malades et de tracer leurs contacts. On voit beaucoup de familles en grande promiscuité. Des résidents de foyers. Quelques contaminations au travail, également : policiers, personnels hospitaliers ou d’Ehpad, des petits boulots… Mais ça reste très impressionniste. La vérité, c’est qu’à ma connaissance il n’y a pas eu d’étude précise. D’abord on a dit aux gens de rester chez eux tant qu’ils le pouvaient pour ne pas encombrer le système. Donc on s’est privé de toute information. Maintenant on va les voir, mais on nous a demandé de ne pas les accabler de questions, juste le minimum, de quoi trouver leurs contacts, de les isoler, de briser les chaînes de contamination. On ne s’est jamais donné les moyens de savoir. »

En tout cas, le virus circule toujours, et aussi grâce aux hors-la-loi du déconfinement qui faisaient des barbec la semaine passée alors qu'ils l'avaient chopé au boulot...
(au moins un groupe infecté récemment, de source sûre et celui-là vous n'en entendrez jamais parler)

Je pense en effet que "la maison" est le pire endroit de relachement, que ce soit pour la famille ou par les amis de passage.

Circus écrit:

Quelques éléments scientifiques intéressants

Coronavirus : qui ont été les contaminés du confinement ?

Le huis clos des huit dernières semaines n’a pas complètement stoppé la transmission du virus, mais n’a pas non plus été mis à profit pour mieux comprendre celle-ci.

Par Nathaniel Herzberg Publié hier à 02h48, mis à jour hier à 07h11


Selon les chiffres de la direction générale de la santé, 8 674 nouveaux tests positifs au SARS-CoV-2 ont été officiellement enregistrés entre le 1er et le 9 mai, en France. Malgré les gestes barrières, malgré la distanciation sociale, malgré le confinement, il y aurait encore, en réalité, de 3 000 à 4 000 nouvelles contaminations chaque jour, selon l’épidémiologiste Daniel Lévy-Bruhl, responsable de l’unité des infections respiratoires de Santé publique France.

« C’est nettement moins qu’il y a un mois, mais c’est encore beaucoup, souligne Anne-Claude Crémieux, professeure d’infectiologie à l’hôpital Saint-Louis, à Paris. On va donc déconfiner avec des chaînes de contamination encore actives et une connaissance très grossière de ce qui se passe. On ne dispose pas d’un état des lieux sur l’ensemble des Ehpad [établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes], ni dans tous les hôpitaux, et on ne connaît pas les conditions d’infection des nouveaux contaminés alors que cette période aurait dû nous permettre de bien analyser tous ces points. Il n’y a pas eu de réelle stratégie de santé publique pour réussir le déconfinement. »
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Coronavirus : ce que la science ignore encore à l’heure du déconfinement
« On ne s’est jamais donné les moyens de savoir »

Dès février, les premières études chinoises conduites sur les foyers (clusters) de plus de trois cas ont conclu que 80 % étaient familiaux. Une autre étude, réalisée à Hongkong sur 318 regroupements de malades, a trouvé le même résultat. Loin derrière figuraient les transports.

D’autres enquêtes ont suivi les chaînes de contamination. A Shenzhen, le taux d’attaque secondaire, autrement dit la proportion de personnes en contact avec un premier malade et qui se voient ainsi contaminées, est de 11 % dans la famille, selon une étude publiée le 27 avril dans The Lancet Infectious Diseases. A Taïwan, il est plus bas, proche de 5 %. « Mais hors de la famille, c’est 1 % », insiste Anne-Claude Crémieux, sur la foi d’un article publié dans la revue JAMA Internal Medicine. La professeure d’infectiologie avance encore le constat fait à Wuhan lorsque, après les multiples mesures de distanciation, avec des malades maintenus à domicile, le R0 – c’est-à-dire le nombre de personnes contaminées par un individu infecté – restait à 1,32. « Ils ont décidé d’isoler les patients dans des hôtels réquisitionnés : le R0 est tombé à 0,32. »

Les familles, donc. Mais aussi les hôpitaux et les Ehpad. Didier Guillemot, directeur d’unité à l’Institut Pasteur et professeur de médecine à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), vient de lancer une vaste étude pour tenter de déterminer l’ampleur et l’origine de la contamination des personnels hospitaliers. « Lorsqu’on hospitalise les patients les plus contagieux, fait-on baisser cette dynamique car on contrôle ainsi des vecteurs potentiels, ou l’hôpital joue-t-il au contraire un rôle d’amplificateur ? » Le professeur Guillemot entend bien apporter une réponse. « Mais pas avant début juillet », avertit-il. Ce n’est également pas avant juillet que le professeur Philippe Vanhems, des Hospices civils de Lyon, espère disposer des premiers résultats d’une étude du même type sur les Ehpad de la région, qui devrait permettre d’y caractériser les regroupements de cas, selon la situation des patients, des soignants, l’organisation des ressources, l’environnement extérieur…
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Coronavirus : avec les équipes mobiles chargées de casser les chaînes de contagion jusqu’au sein des familles

« Nous avons quelques observations empiriques, indique Renaud Piarroux, chef du service de parasitologie à l’hôpital Pitié-Salpêtrière, à Paris, et promoteur du réseau Covisan, ces équipes mobiles récemment mises en place en région parisienne, chargées de repérer les malades et de tracer leurs contacts. On voit beaucoup de familles en grande promiscuité. Des résidents de foyers. Quelques contaminations au travail, également : policiers, personnels hospitaliers ou d’Ehpad, des petits boulots… Mais ça reste très impressionniste. La vérité, c’est qu’à ma connaissance il n’y a pas eu d’étude précise. D’abord on a dit aux gens de rester chez eux tant qu’ils le pouvaient pour ne pas encombrer le système. Donc on s’est privé de toute information. Maintenant on va les voir, mais on nous a demandé de ne pas les accabler de questions, juste le minimum, de quoi trouver leurs contacts, de les isoler, de briser les chaînes de contamination. On ne s’est jamais donné les moyens de savoir. »

Donc c'est le moment de se comporter en Grand Mâle Lâche mais avec honneur : chérie, je te quitte, toi et les enfants, mais c'est pour votre santé et par amour car c'est pour que vous n'attrapiez pas le covid à cause de moi !

Tous chez la voisine !

lebad écrit:

Tous chez la voisine !

The girl next door ?

J'en ai parlé il y a quelques jours avec ma chérie :
"Si j'ai des symptômes, tu me fous dehors ?"
C'est un sujet un peu tabou.

Zeo écrit:

franckydet écrit:

Pour moi je voit le masque comme une barrière pour nos micro gouttelettes qui sortent de notre bouche et de notre nez. si tout le monde en met, cela limite les contaminations possibles de l'environnement qui nous entoures.
Par contre ce n'est pas infaillible dans les 2 sens (protection personnel et protection de l'environnement), mais limite les risques. Pour moi c'est un effet papillon. Plus les gens respectent les gestes barrière, plus la propagation est limité et plus le covid 19 disparait.

Effectivement le masque permet de limiter le risque de contaminer les autres mais s'il est mal utilisé il augmente aussi le risque de se faire contaminer.
Pour moi c'est à réserver à des usages où le respect des distances entre personnes n'est pas possible : typiquement les transports en commun.
Pour une promenade dans la rue où faire ses courses c'est beaucoup plus discutable.

Quand à la disparition du virus, tant que la majorité de la population ne sera pas immunisée (par guérison ou par vaccin) c'est à mon sens illusoire.
Il va falloir apprendre à vivre avec le virus pendant au moins quelques mois et ne pas retomber dans la psychose du confinement dès que le nombre de cas va repartir à la hausse ce qui va se produire inévitablement dans les prochaines semaines.

En bref, faisons en sorte d'éviter les gros brassages de population, protégeons nous dans les situations à risque, testons les personnes fragiles ou pouvant être vecteur de propagation mais SVP SORTONS DE L'ANGOISSE ET CONTINUONS A VIVRE!!!

Joyeux anniversaire Manu !

T'invites tous tes potes et on s'fait une méga teuf chez toi ?

gillesF78 écrit:

Joyeux anniversaire Manu !

T'invites tous tes potes et on s'fait une méga teuf chez toi ?

Bon anniversaire !


Entendu ce matin : l'Institut Pasteur estime à 4000 le nb actuel de nouvelles contaminations / jour ; le nombre officiel est de ~800/j. On passe encore à côté de 80% des contaminations...

stam écrit:

gillesF78 écrit:

Joyeux anniversaire Manu !

T'invites tous tes potes et on s'fait une méga teuf chez toi ?

Bon anniversaire !


Entendu ce matin : l'Institut Pasteur estime à 4000 le nb actuel de nouvelles contaminations / jour ; le nombre officiel est de ~800/j. On passe encore à côté de 80% des contaminations...

Bon anni. Apprarement le décret ne peut interdire une réunion de moins de 10 personnes à la maison.

Après c'est en son âme et conscience

stam écrit:

gillesF78 écrit:

Joyeux anniversaire Manu !

T'invites tous tes potes et on s'fait une méga teuf chez toi ?

Bon anniversaire !


Entendu ce matin : l'Institut Pasteur estime à 4000 le nb actuel de nouvelles contaminations / jour ; le nombre officiel est de ~800/j. On passe encore à côté de 80% des contaminations...

le nombre officiel concerne les cas confirmés, Pasteur fait une estimation. C'est normal que les deux soient différents...

david38 écrit:

le nombre officiel concerne les cas confirmés, Pasteur fait une estimation. C'est normal que les deux soient différents...

Oui j'ai bien compris, et il n'est pas question d'arriver à la convergence des 2 chiffres ; simplement ça signifie qu'on passe encore à côté des 85% de cas asymptomatiques, ceux qu'il faudrait arriver à mieux tracer pour mieux maîtriser la chaîne de contagion.

Sans symptomes ça me semble extrêmement compliqué de les détecter, ça se trouve toi et moi avons déjà été exposés puis guéri du Civod-19, sans même le savoir ? Par exemple des symptomes genre rhume/toux légère ou fatigue j'en ai eu ces dernières semaines, sans vraiment savoir si c'était dû à l'arrivée massive de pollens (suite à la météo exceptionnellement sèche en mars/avril), la fatigue mentale du confinement, le manque de soleil/vitamine D, etc.

A moins de tester 65M de Français ce qui me semble complètement impossible.