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Impacts Coronavirus
- gillesF78
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Sans le vouloir, c'est exactement ce que j'ai décidé de faire. Décision 4 mois avant l'arrivée du corona, j'ai eu le nez creux (et surtout une grosse envie d'une vie qui me corresponde mieux !).En fait, le bon placement, c'est peut-être :
1) d'arrêter de travailler pour ceux qui ont des enfants et un emploi dans le privé...
ou 2) de commencer une reconversion professionnelle pour ceux qui ont un "projet de reconversion" bien mûri
Un coup de rupture conventionnelle, tu bénéficies de la "solidarité" du système, tu utilises sainement ton argent pour
1) t'occuper de tes enfants et profiter de la vie...
ou 2) préparer un avenir professionnel plus serein
Le but serait d'épuiser les réserves de cash assez rapidement, et de reprendre progressivement une activité lorsque tu auras envie / besoin de retourner bosser
@Charly : bitcoin ! Non, je suis à moitié sérieux car je ne suis pas joueur sur ce genre de trucs (et certainement pas assez connaisseur).
Par contre, j'en ai réellement acheté (de l'ethereum pour être exact, un cousin du bitcoin) un peu pour "voir comment ça marche" y a quelques années, et là j'en suis à x5 !! Oui, 500%... Si j'avais su, j'aurais misé plus
www.legorafi.fr/2021/02/18/il-na-jamais-achete-d...-dargent-il-raconte/
Charly : c'est le moment d'acheter : www.boursorama.com/actualite-economique/actualit...f72ca640f6f7e7aa749b
Allez, qui ne risqué rien n'a rien...
Région Grenobloise, GillesF78
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- gillesF78
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Cette étude sur plus de 236000 patients atteints du covid montre que :
17% souffrent d'anxiété
14% de dépression
5% d'insomnies
2.1% d'avc
0.6% d'hémorragie cérébrale
0.7% de démence
1 patient sur 3 souffre de maladie psychique après avoir été guerri du covid. La dépression et l'anxiété touche indifféremment les patients, quelque soit la gravité des symptômes (forme grave ou faibles symptômes).
La cause serait l'inflammation de cellules dans le cerveau.
6-month neurological and psychiatric outcomes in 236 379 survivors of COVID-19: a retrospective cohort study using electronic health records - The Lancet Psychiatry
www.thelancet.com/journals/lanpsy/article/PIIS22...(21)00084-5/fulltext
Région Grenobloise, GillesF78
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- cycloflamand
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Pour ma part j'ai ressenti des micro-vertiges juste après mon embolie post-covid, et des dérèglements quand je passais de la station debout à la station assise (j'ai découvert que cela s'appelait orthostatisme). Une sorte d'emballement cardiaque quand je me levais qui s'atténuait quand je commençais à marcher et une fc qui se divisait quasi par deux lorsque je me rasseyais. Comme si le coeur sur-réagissait. La cardiologue que j'avais consulté début mai m'avait dit qu'il n'y avait aucun problème à l'échographie cardiaque, un coeur costaud de sportif.
Une video récente des syndromes covid-longs sur la chaîne de l'IHU de marseille évoquait l'orthostatisme comme symptôme d'une atteinte du tronc cérébral par le virus. Cela m'a tout de suite rappelé cette période post-covid de mai 2020. Le pire souvenir : être rentré d'avoir fait les courses en supérette en me retrouvant avec le palpitant à 120 bpm (bon le masque, le stress, la fatigue, çà avait pas aidé).
Quand je vois tout ce que j'arrive à refaire aujourd'hui, je me dis que j'ai du bol
N'empêche ce matin j'ai fait des courses rapides pour acheter de quoi pic-niquer à vélo ce midi en famille ; le type derrière moi raclait sa gorge très bruyamment, ce qui m'a fait me sentir pas bien... Toujours un poil paranoïaque quand je mets les pieds dans un magasin moi...
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- lebad
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Le nombre de places en hôpital psychiatrique a été divisé par deux depuis 1990, et il risque d'y avoir un manque de moyens pour traiter des troubles psychiatriques dus aux symptômes du covid.
Cette étude sur plus de 236000 patients atteints du covid montre que :
17% souffrent d'anxiété
14% de dépression
5% d'insomnies
2.1% d'avc
0.6% d'hémorragie cérébrale
0.7% de démence
1 patient sur 3 souffre de maladie psychique après avoir été guerri du covid. La dépression et l'anxiété touche indifféremment les patients, quelque soit la gravité des symptômes (forme grave ou faibles symptômes).
La cause serait l'inflammation de cellules dans le cerveau.
6-month neurological and psychiatric outcomes in 236 379 survivors of COVID-19: a retrospective cohort study using electronic health records - The Lancet Psychiatry
www.thelancet.com/journals/lanpsy/article/PIIS22...(21)00084-5/fulltext
Et les chiffres de la population normale, c'est quoi ?
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- gillesF78
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Et les chiffres de la population normale, c'est quoi ?
8 % des Français de 15 à 75 ans (soit près de 3 millions de personnes) ont vécu une dépression au cours des douze mois précédant l’enquête.
Région Grenobloise, GillesF78
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- jfd_
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En 2017, dernière année complète accessible au vulgum pecus, le taux moyen en France était de 148,2 pour 100000 habitants. Ceci, en temps normal, sachant que d'après les statistiques, en remontant à dix ans, on flirtait avec les 190 pour 100000 habitants. Sans que cela n'émeuve grand monde.
Je parie sans grand risque que les statistiques de 2020, 2021 et suivantes ne seront jamais publiées
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- gillesF78
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In summary, the present data show that COVID-19 is followed by significant rates of neurological and psychiatric diagnoses over the subsequent 6 months. Services need to be configured, and resourced, to deal with this anticipated need.
se traduit par
Il faut reconfigurer les services en psychiatrie pour anticiper les malades du covid.
En France, on a détruit 50% de moyens en psychiatrie depuis 1990, maintenant il faut anticiper la vague due au covid...
(voir Arte Journal de samedi soir)
Ensuite, ce n'est qu'une équipe de chercheurs d'Oxford (GB) qui soulève le problème... Ils se sont peut-être plantés...
Région Grenobloise, GillesF78
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- cycloflamand
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La faute à qui ? La société de consommation, de l'instantanné, les marchands de bonheurs rapides, jetables et interchangeables ?
Des modes de vie stressants, cumuler boulot, famille, loisirs, l'équation insoluble menant au burn-outs les cadres (pourtant) dynamiques ?
De quoi ai-je besoin pour être heureux ?
Certaines études avancent que les anti-dépresseurs aident à lutter contre le coco, de même que maintenir une activité physique minimale (et des exercices de respiration mais çà je vous bassine avec çà depuis quelques temps ). Bon si on est pas dépressif mais optimiste, le virus ne vous atteindra peut-être pas trop !
J'ai appris lors de ma sortie club de dimanche que deux membres de mon asso vélo avaient contracté le virus depuis début 2021 (une forme légère, et l'autre un peu plus balèze ayant nécessité une hospitalisation avec oxyflow).
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- sandatos
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La grand mère de ma femme a choppé le Covid à 94 ans et l'a eu de façon quasi asymptomatique. Y'a eu 70 % de cas et 40 % de morts dans son ehpad. Y'en a qui sont plus "solides" que d'autres.
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- cycloflamand
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Y'en a qui sont plus "solides" que d'autres.
Tout dépend aussi de la charge virale que la personne se prend dans le nez je pense (et dans une moindre mesure du variant qui l'atteint).
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- pasqup01
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On est quand même les champions de la consommation de médicaments et anti-dépresseurs en France... Les gens feraient un peu plus de vélo, ils s'en porteraient mieux !
La faute à qui ? La société de consommation, de l'instantanné, les marchands de bonheurs rapides, jetables et interchangeables ?
Des modes de vie stressants, cumuler boulot, famille, loisirs, l'équation insoluble menant au burn-outs les cadres (pourtant) dynamiques ?
De quoi ai-je besoin pour être heureux ?
Certaines études avancent que les anti-dépresseurs aident à lutter contre le coco, de même que maintenir une activité physique minimale (et des exercices de respiration mais çà je vous bassine avec çà depuis quelques temps ). Bon si on est pas dépressif mais optimiste, le virus ne vous atteindra peut-être pas trop !
J'ai appris lors de ma sortie club de dimanche que deux membres de mon asso vélo avaient contracté le virus depuis début 2021 (une forme légère, et l'autre un peu plus balèze ayant nécessité une hospitalisation avec oxyflow).
Sur la consommation des antidepresseurs, j'ai toujours été curieux de savoir :
si cette fameuse "grande" consommation était un excès culturel : français = stressé... sous-entendu d'ailleurs "à tort / trop / injustifié / enfants gâtés"
ou
si la "performance de notre système de santé" (détection + remboursement / prise en charge des soins de santé) permettait d'atteindre un seuil de consommation d'antidépresseurs que d'autres atteindraient (voire plus ?) en pareil cas.
Et je ne parle pas des systèmes de comptage différents par pays (on le voit bien avec la Covid)...
"poi Dio creò la bicicletta perché l'uomo ne facesse strumento di fatica e di esaltazione nell'arduo itinerario della vita", Madonna Del Ghisallo
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- sandatos
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Quand tu vas chez un médecin français tu repars toujours avec une ordonnance avec des médocs, même si le diagnostic est "pas fiable" ou si c'est juste un rhume (pour lequel y'a pas de traitement).
Pour avoir habité en Allemagne et maintenant en Suisse c'est complètement différent. Le médecin prescrit uniquement si y'a une chance que les médocs apportent quelque chose.
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- lebad
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Question de culture, mais qui de l'oeuf ou de la poule (le médecin ou le patient) ?Pour ma part je pense que ça vient des médecins français qui sont accros à la prescription.
Quand tu vas chez un médecin français tu repars toujours avec une ordonnance avec des médocs, même si le diagnostic est "pas fiable" ou si c'est juste un rhume (pour lequel y'a pas de traitement).
Pour avoir habité en Allemagne et maintenant en Suisse c'est complètement différent. Le médecin prescrit uniquement si y'a une chance que les médocs apportent quelque chose.
T'as des patients (et pas qu'un peu) qui ne supportent pas de partir sans ordonnance.
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- gillesF78
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Ecoutez cette histoire :
Question de culture, mais qui de l'oeuf ou de la poule (le médecin ou le patient) ?Pour ma part je pense que ça vient des médecins français qui sont accros à la prescription.
Quand tu vas chez un médecin français tu repars toujours avec une ordonnance avec des médocs, même si le diagnostic est "pas fiable" ou si c'est juste un rhume (pour lequel y'a pas de traitement).
Pour avoir habité en Allemagne et maintenant en Suisse c'est complètement différent. Le médecin prescrit uniquement si y'a une chance que les médocs apportent quelque chose.
T'as des patients (et pas qu'un peu) qui ne supportent pas de partir sans ordonnance.
HONDELATTE RACONTE 26/10/2019Joseph, 18 ans, mort d’une overdose de médicaments - Le récit
Région Grenobloise, GillesF78
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- sandatos
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Question de culture, mais qui de l'oeuf ou de la poule (le médecin ou le patient) ?
T'as des patients (et pas qu'un peu) qui ne supportent pas de partir sans ordonnance.
Et bien tant pis pour eux...
Les médicaments sont là pour soigner ou au pire comme traitement symptomatique. Si c'est juste pour rassurer le patient ça sert à rien. À la rigueur on peut lui donner de l'homéopathie ou un placébo (c'est kifkif).
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- stam
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Je m'interroge sur le rôle de notre dispositif de remboursement là-dedans : si on prend l'exemple de la méthode Mézières en kiné, il me semble qu'elle est sur le long terme plus profitable au patient, qui va apprendre des gestes pour se soigner lui-même. Mais il faut trouver un kiné qui accepte de prendre un patient par heure, et par conséquent souvent payer plus que le montant remboursé. Pour la médecine générale il me semble également que beaucoup de gens sont malades de manière quasi-continue : en 15 minutes on leur file des antibios, des anti-dépresseurs, des somnifères... En 30 ou 45' on aurait le temps de les interroger sur leur alimentation, leur rythme de vie, leurs habitudes qui expliqueraient peut-être beaucoup de choses ; pas indispensable d'être médecin pour faire ça, mais de qui est-ce le rôle dans notre système de santé ?
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- Charly42
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Pour soigner sans médicament, ça ne peut pas passer que par le réseau des médecins généralistes ; en 15-20 minutes de consultation, ce n'est pas faisable. Je dirais même que sans prescription de médicaments ou de kiné ou d'une radio, le médecin n'a aucune chance de soigner avec 15' passées avec le patient, c'est même pas assez pour activer l'effet placebo d'une prise en charge considérée comme suffisante par le patient dans son inconscient. Le médecin a également très peu de chances de soigner grâce aux médicaments, mais comme notre système de santé ne repose que sur eux, on se contente de voir les guérisons sans s'interroger sur le vrai poids des médicaments là-dedans. Bizarrement, quand il s'agit d'évaluer le rapport bénéfices/risques ou de s'interroger sur l'effet de l'homéopathie, les médocs allopathiques conservent une place privilégiée... Non que je sois pour l'homéopathie, c'est même tout le contraire, mais on n'est pas capable d'assumer que l'homéopathie démontre l'importance d'être pris en charge, et que cette prise en charge pourrait se faire indépendamment d'une prise de médicaments.
Je m'interroge sur le rôle de notre dispositif de remboursement là-dedans : si on prend l'exemple de la méthode Mézières en kiné, il me semble qu'elle est sur le long terme plus profitable au patient, qui va apprendre des gestes pour se soigner lui-même. Mais il faut trouver un kiné qui accepte de prendre un patient par heure, et par conséquent souvent payer plus que le montant remboursé. Pour la médecine générale il me semble également que beaucoup de gens sont malades de manière quasi-continue : en 15 minutes on leur file des antibios, des anti-dépresseurs, des somnifères... En 30 ou 45' on aurait le temps de les interroger sur leur alimentation, leur rythme de vie, leurs habitudes qui expliqueraient peut-être beaucoup de choses ; pas indispensable d'être médecin pour faire ça, mais de qui est-ce le rôle dans notre système de santé ?
donc un medecin de "famille" qui te connais , normalement depuis des années.
Je constate ce que tu ecris Stam surtout avec les "jeunes" medecins: je les supportes pas: car c'est medoc, point! "du , quoi? comment? Kiné?? non non revenez dans 3 semaines apres 15 jours d'anti inflammatoire et on verra"........ mdr , ptdr...Xptdr! et pas qu'une fois cela mets arrivé!
Mon medecin habituel(plus de 60ans, qui me suis depuis plus presque 25ans) lui il est pour Kiné, osthéo et mollo sur les medocs: ou alors on essaye du cool cool au départ.
Et pour les Kinés(me tapez pas dessus messieurs les kinés ou futur), je pourrais écrire un roman, mais pour en avoir pratiqué plus qu'il n'en faut : tjrs pareil 4 patients en même temps, et tout juste si il passe corriger les postures ou exercices mal fait => hallucinant ce que tu vois quand tu regardes les gens travailler seul chez le Kiné du grand n'importe quoi.
Et le Kiné lui il court dans tous les sens entre massage, lazer, onde de choc, ... .
à bloc!!!
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- Lafoy
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Pour l aspect économique quand j ai commmencé à travailler l actes pour une lombalgie était à 96 frs ( 14€) actuellement il est à 16,125€ ! En ....34 ans!!!!
A comparer ( mes parents étaient boulanger) la baguette était à 0,75 frs (0,12€) aujourd’hui chez moi elle est à 1€ chez moi
Il y a pour moi une réelle paupérisation de la kiné, qui engendre des actes à la chaîne !
J en suis arrivée à sélectionner les pathologies qui m intéressent ET les patients chez qui je pense pouvoir être efficace , conclusion je ne prends quasi plus de rachis sauf quelques cervicalgies car j adore ça
Meziere je suis formé mais à 20€ l heure avec 45% de charge avant impôts je passe mon tour !
Pour l aspect plus globale, la Suisse , la Norvège ont pris une voie plus intéressante d une prise en charge globale par les physiotherapeutes avec des séances longues ( 1 h ) bien rémunéré (100€) , la confiance dans sont soignant statistiquement est bien meilleur dans ces pays!
Chez nous souvent ( enfin c est ce qui me marque )
Le diagnostique médical est incomplet ( je suis polie)
Les examens complémentaires sont concédés au patient qui veux une image pour confirmer le diagnostique
Les séances de kiné c est pour être tranquille pendant un moment avant que le patient revienne
Désolé c est un peu cru et ça représente une minorité, mais ça fait du bien de le dire
A l inverse j ai des patients qui viennent spontanément pour un conseil ( diagnostique) sur un problème précis, c est donc aussi qu’ils nous accordent une certaine compétence qui hélas est dissoute dans la surcharge de travail
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- gillesF78
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Lebad : combien de patients à la fois prendras tu ?
Région Grenobloise, GillesF78
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- lebad
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J'attends de me faire une meilleure idée avec mes stages, mais à l'heure actuelle, j'imagine une moyenne à 3 patients par heure. Sachant que des séances de groupe me paraissent intéressantes (pour les patients sur certaines pathos), et que certains patients que tu as bien éduqué au début de ta prise en charge n'ont pas autant besoin de toi ensuite. Enfin, je suppose...Il me semble que les kiné passent souvent un diplôme d'ostéopathe parce que c'est plus cool. À 60€ la séance de 30 minutes (non remboursée ), c'est plus intéressant que la kiné : moins fatiguant, plus intéressant...
Lebad : combien de patients à la fois prendras tu ?
Après, j'imagine que je laisserai le patient continuer à faire des exos librement et profiter du materiel pour prolonger son créneau si il souhaite.
Mais c'est sûr que les deux premiers rdv seront plus longs.
RDV dans 3 ans pour voir si j'ai changé d'avis !
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