Gestion sport/boulot/famille/mental

Très bien Stéphane Tu as agi avec sagesse !

Un jour je vous raconterai l'histoire une gars qui a franchi la ligne rouge et l'a payé très cher

Bravo pour ces belles séances (de réflexion) et merci de nous en faire part !

Quand je vous lis, je retrouve plein de questionnements personnels :
- je sais que j'en fais trop et j'essaie en permanence de garder mes distances avec la ligne rouge ;
- je suis pressé par le temps, j'ai envie de pouvoir donner mon maximum au moins une fois dans ma vie, et à 38 piges il ne me reste pas 10 ans...
- d'un autre côté, ma vie n'ai jamais été accaparée par le sport : j'ai d'abord donné la priorité aux études, puis à la construction d'une vie professionnelle et de famille ; il n'y a que depuis que j'ai relâché la pression (énorme) que je me mettais sur le taf que je fais beaucoup de sport ;
- ma femme est aussi un élément régulateur hors pair, elle me laisse une liberté quasi totale, mais elle sait appuyer là où ça fait mal.

Je sais pertinemment que je ne tiendrai pas 3 ans au rythme actuel. Je me donne 1 an - 1 an et demi maxi pour voir jusqu'où je peux aller, et ensuite je reviendrai à un rythme beaucoup plus cool...

Le constat de toutes ces expériences, c'est que famille+boulot+sport, c'est la "quadrature" impossible si on veut tout faire à fond, il y a toujours une pression à relâcher.

Le problème avec la ligne rouge, c'est souvent qu'il faut l'avoir franchi pour savoir où elle est.....

@pasqup01 : + 1, Je suis, hélas car c'est vraiment un problème hum... vraiment pénible et insoluble limite, une aporie pour faire savant...) bref je suis comme souvent d'ailleurs tout à fait d'accord avec toi !

Sinon, merci pour toutes ces contributions courageuses et particulièrement intéressantes pour nous tous ! Je pense que la pratique sportive poussée, déraisonnable ou ambitieuse, je ne trouve pas de bons termes encore admis par tous, renvoie à des questions qui nous touchent tous à un moment ou à un autre. C'est universel !

@Stam : tout est là dans ton message : en faire trop /la ligne rouge,je suis pressé, il ne me reste pas 10 ans, je me donne encore ...

Tout cela donne à réfléchir...

Intéressant ce sujet. Il rejoint celui de pasqup01 « Et une lombalgie de cycliste, une ! »
J’aurais aimé lire ce genre de chose il y a une dizaine d’année. Bien que peut-être tout ça ne m’aurait alors pas interpelé.

Stam, tu parles de quadrature, j’ai parlé plus haut de la parabole de l’aquarium et des 4 ingrédients. Pour moi, il s’agit maintenant en 2014, dans l’ordre d’importance : famille+santé/repos+travail+sport. Et toi, Stam, tu as donc décidé d’inverser provisoirement les points 2 et 4, ceci afin de ne pas avoir de regrets plus tard, mais en restant conscient que ce n’est pas un comportement tenable sur la durée.
Bravo, respect, belle lucidité !
Mais attention, danger, tu vas peut-être te dire ensuite : « Mince, il y a ça, ça et ça qui n’as pas bien fonctionné, je refais encore une année, et je modifie ça, ça et ça. » Puis encore une année, et une autre, etc… comme moi, et d’autres forumeurs ici !

La pression à relâcher : oui, ici, nous ne sommes pas des sportifs professionnels, qui eux ne font que s’entraîner et se reposer. Alors les charges démentielles telles que décrites plus haut par Stef, Seb, Fabien, en bossant à 100% voire beaucoup plus, le tout sans recourir à la pharmacopée… C’est clair, vu comme ça, que ça ne peut que casser à plus ou moins brève échéance. Mais pour pouvoir dire cela, il faut du recul, qu’on n’a pas forcément quand c’est de nous-même qu’il s’agit.

Contrairement à un sportif professionnel, nous n’avons pas de pression de résultats. Ni même d’obligation de participation. Cette pression est uniquement mise par soi-même. Moi-même, j’ai mis pas mal de temps pour me défaire de cette pression artificielle. Car qu’est-ce que cela change si je participe à cette course ou pas, ou que je me classe 25ème ou 52ème ?
Car pour finir ça me gonfle, ces courses pour lesquelles on se prépare des semaines, voire des mois à l’avance. Par exemple, durant la semaine il fait beau, mais il faut rester tranquille à cause de la course du dimanche, mercredi, dernière sortie un peu intensive, jeudi, vendredi, samedi, il faut beau, mais faut rester à la maison peinard garder ses forces. Et dimanche, zut, il pleut, la boue, le froid, pour moi pas de plaisir. Donc semaine gâchée et Cricri de mauvais poil !

Donc je ne m’inscris plus des mois à l’avance, déjà pour la simple raison que je ne sais pas dans quel état sera ma santé à ce moment-là. Et si la météo annonce beau la semaine précédente et mauvais le dimanche, et bien je n’y vais pas, basta, je reste à la maison avec Madame à me reposer des efforts que j’aurais fait au soleil durant cette semaine-là.
Mais s’il fait beau, alors j’y vais ! Et je donne mon maximum ! Et c’est donc pour ça que je m’entraine quand même régulièrement.

Alors si ça foire au niveau sportif, franchement, ce n’est pas grave (pour moi). Je n’ai pas, ou plus, de vraie frustration à ce sujet, même si parfois un résultat décevant me fait encore bien ch..r
Mais si ça foire au niveau de la famille, du boulot ou de la santé, bonjour les conséquences. Donc à éviter par tous les moyens.
Depuis que je me suis cassé le dos, j’ai participé à 7 courses, et à aucune je n’ai éprouvé du stress la veille ou au départ. Cela montre que j’ai eu un déclic dans mon approche du sport et de la compétition.

Visiblement, il y a ici beaucoup de quadra (et de quinqua!)
On se connaît mieux soi-même au fil des années, évidemment, et on adapte un peu la charge d’entraînement, mais cela n’empêche pas de faire des erreurs. C’est la grosse difficulté, savoir ou se situe la limite, la ligne rouge.
Chaque année la corde se tend un peu plus, déjà rien qu’à cause de la récupération qui devient plus difficile. Alors si en plus on stresse davantage au travail ou si on augmente encore la charge d’entrainement, forcément un jour ça casse : c’est soit une blessure, soit un divorce, soit un burn-out !

Et chez moi, « par chance » c’est le dos qui a lâché en premier, et pas la famille (cf. plus haut l’ordre d’importance). Il y a une expression que je trouve très parlante : en avoir plein le dos.

Et ce que disent les proches : faut-il les écouter ? Et si oui, dans quelle mesure ?

Ma mère me disait déjà à 20 ans que j’en faisais trop. Mais elle n’a jamais pratiqué de sport de toute sa vie. Donc je ne l’ai pas écouté concernant le sport, Et avec raison, avec 30 ans de recul. Et ceci malgré tout le respect que je lui porte.
J’ai un beau-frère, pas sportif, épais dans tous les sens du terme, mais qui sait tout sur tout : un vrai beau-frère quoi ! Comment m’entraîner, gérer ma saison, mon alimentation, mon matériel, etc. Celui-là, je n’écoute pas son avis non-plus s’il me dit que j’en fais trop. Et ceci malgré le peu de respect que je lui dois.

J’ai un copain avec qui je fais pas mal de ski-alpi ou de courses en montagne. Un jour, sa femme lui a demandé en ma présence s’il était marié avec moi ou avec elle ! J’ai alors décidé de ne plus sortir aussi souvent avec ce copain, parce que j’ai bien compris le signal d’alerte et j’en ai tenu compte. Mais ce copain n’a pas vraiment capté le message, et va maintenant faire du sport avec d’autres personnes, et toujours autant…
Et moi, désormais, je pars le plus souvent avec ma femme. Ça va moins vite, moins haut, moins technique bien sûr, faut être réaliste, mais j’ai plus de plaisir, et elle aussi. Car nous sommes ensemble





J’ai un autre copain de ski qui est venu me trouver un jour pour me dire qu’il arrêtait, car il n’avait pas envie d’avoir un divorce.
Alors moi, ma femme, qui est donc par chance une sportive, je l’écoute.

Et les gens qui savent de quoi ils parlent, je les écoute aussi
Par exemple le Vieux Sage que je cite plus haut dans ce post (j’ai un peu brodé ses propos…), et qui est un sportif avec beaucoup d’expérience, ce Vieux Sage donc, eh bien je l’écoute, même si ça ne me fait pas toujours plaisir d’entendre ce qu’il me dit et qu’en plus j’ai la tête dure, une fierté parfois un peu mal placée et la comprenette un peu grippée.

Et bien sûr il y a aussi les témoignages qu’on peut lire ici !

Décidément, c’est mon forum préféré ! Il m’apporte beaucoup et m’aide à réfléchir sur moi-même
Merci à vous tous !

Décidément, c’est mon forum préféré ! Il m’apporte beaucoup et m’aide à réfléchir sur moi-même


C'est justement ce que je me disais ce matin en roulant.

@cricridamour : c'est marrant j'ai quasi le même beau-frère que toi , pas épais lui, mais lourd

Bon c'est décidé je démarre une site sur le coaching mental et la psychologie

Cricridamour écrit:

Contrairement à un sportif professionnel, nous n’avons pas de pression de résultats. Ni même d’obligation de participation. Cette pression est uniquement mise par soi-même. Moi-même, j’ai mis pas mal de temps pour me défaire de cette pression artificielle. Car qu’est-ce que cela change si je participe à cette course ou pas, ou que je me classe 25ème ou 52ème ?
Car pour finir ça me gonfle, ces courses pour lesquelles on se prépare des semaines, voire des mois à l’avance. Par exemple, durant la semaine il fait beau, mais il faut rester tranquille à cause de la course du dimanche, mercredi, dernière sortie un peu intensive, jeudi, vendredi, samedi, il faut beau, mais faut rester à la maison peinard garder ses forces. Et dimanche, zut, il pleut, la boue, le froid, pour moi pas de plaisir. Donc semaine gâchée et Cricri de mauvais poil !

Donc je ne m’inscris plus des mois à l’avance, déjà pour la simple raison que je ne sais pas dans quel état sera ma santé à ce moment-là. Et si la météo annonce beau la semaine précédente et mauvais le dimanche, et bien je n’y vais pas, basta, je reste à la maison avec Madame à me reposer des efforts que j’aurais fait au soleil durant cette semaine-là.
Mais s’il fait beau, alors j’y vais ! Et je donne mon maximum ! Et c’est donc pour ça que je m’entraine quand même régulièrement.

Exactement mon état d'esprit actuel, fuck les jours à faire du jus alors qu'il fait un temps de ouf et que tu ressens cette sensation de privation. Je m'inscrirai à l'avance sur 2/3 épreuves exceptionnelles et qui nécessitent de s'organiser à l'avance car déplacement, tout ce qui est autour de chez moi et que je connais, basta si j'ai pas envie la veille.
Dans votre questionnement de quadras, vu que j'ai 31 ans et que j'ai déjà ce déclic, dois-je me considérer comme un précoce du burnout cycliste?

Quickfluck écrit:

Exactement mon état d'esprit actuel, fuck les jours à faire du jus alors qu'il fait un temps de ouf et que tu ressens cette sensation de privation. Je m'inscrirai à l'avance sur 2/3 épreuves exceptionnelles et qui nécessitent de s'organiser à l'avance car déplacement, tout ce qui est autour de chez moi et que je connais, basta si j'ai pas envie la veille.
Dans votre questionnement de quadras, vu que j'ai 31 ans et que j'ai déjà ce déclic, dois-je me considérer comme un précoce du burnout cycliste?

Y a pas d'âge pour faire un burn-out

Cricridamour écrit:

Car pour finir ça me gonfle, ces courses pour lesquelles on se prépare des semaines, voire des mois à l’avance. Par exemple, durant la semaine il fait beau, mais il faut rester tranquille à cause de la course du dimanche, mercredi, dernière sortie un peu intensive, jeudi, vendredi, samedi, il faut beau, mais faut rester à la maison peinard garder ses forces. Et dimanche, zut, il pleut, la boue, le froid, pour moi pas de plaisir. Donc semaine gâchée et Cricri de mauvais poil !

Là tu me rappelles de vieux souvenirs. Des cyclos montagnardes à x centaines de kilomètres, un paquet de pognon, des heures et des heures d'entraînement, un plantage de toute la famille pour plusieurs jours, tout ça pour : paysage zéro, se geler dès la ligne de départ, et la boule au ventre toute la journée (les descentes en peloton sous la pluie

Bref, j'ai bien réfléchi (comme je ne suis pas fin il m'a fallut du temps ) et depuis, je me suis juré que plus jamais une telle connerie (à mon niveau et ma pratique)
Aujourd'hui, grâce à Stam ( ), au club ils m'appellent "l'italien du mois de juin" tant il est impossible de me voir les jours de pluie

D'ailleurs, bénéfice secondaire, je roule plus souvent avec les roues carbones ! (Mes ex-roues de guerre qui régulièrement ne faisaient pas la guerre du fait du temps.... Bref ubuesque.... Quand j'y repense, que j'étais c........ )

stam écrit:

(...)
Je sais pertinemment que je ne tiendrai pas 3 ans au rythme actuel. Je me donne 1 an - 1 an et demi maxi pour voir jusqu'où je peux aller, et ensuite je reviendrai à un rythme beaucoup plus cool...
(...)

On se dit ça mais on en prend l'habitude de ce rythme, du moins on pense que c'est une habitude. Ca peut devenir une drogue et décroché du sport ou du boulot c'est pas forcément évident. Un sentiment de culpabilité "aller je finis ça aujourd'hui, je dormirais plus demain", "j'ai eu une grosse journée, mais je vais quand même aller rouler, j'ai un objectif et ça me dé-stressera" etc...
Il faut redescendre progressivement pour ne pas tomber dans l'excès inverse.

Décidément Cricridamour, je suis complètement mais alors complètement en phase avec toi
La famille en haut de la pyramide ....les messages importants envoyés par sa femme, ses enfants ...les courses et le beau/mauvais temps ...les privations pour faire une place alors qu'on ne vit pas du sport, les alertes du corps.

Quand on la chance d'avoir pu créer une famille avec femme et enfants, celle ci doit être la priorité (même si on se doit aussi de s'accorder quelques heures par semaine pour soi, pour ses envies) .
Pourquoi bosser comme un fou (souvent ce n'est pas un choix là je suis OK) , ET encore SE RAJOUTER des heures et des heures de sport (alors que 5/6 heures par semaines suffisent , même pour avancer un minimum) ...alors que nos enfants ont besoin de nous, notre femme aussi. Ils ont besoin de faire des choses avec nous, qu'on s'en occupe, qu'on partage des moments avec eux. Je connais des gars qui vont rouler le samedi et dimanche matin 4/5 h, qui rentrent cuit car la semaine de boulot a été dure et qui passent leur après midi devant la télé ...car ils sont défaits ...

Je peux te dire que si je fais ça ou que j'avais fais ça ....je serais célibataire et divorcé (ma femme n'aurait pas supporté, ni mes enfants) , dépressif avec un manque énorme et un sentiment de vie gâchée ...par ma faute .

Souvent quand je suis sur mon vélo, je pense à la chanson de STROMAE Papaouté ....ça veut dire tellement de chose cette chanson !!

Et tout comme toi, aussi ma femme (que tu connais du Raid Evolénard) j qui est sportive, qui fait du ski, de la peau, du VTT de la route jee l'écoute
Amicalement Eric

Retour sur ma mésaventure

Hello les pottos
je vais un peu mieux, pas vraiment sauvé, mais je vais mieux
La fatigue est toujours là, mais je suis moins nerveux et moins contracté.

Je n'ai pas divisé par deux mon nombre d'heure de sport, mais j'ai bien baissé en quantité et en intensité.
Sauf lors des cessions course à pieds. Là je suis facilement au maxi des pulses.
Mais comme l'effort ne dure pas plus d'une heure trente, c'est plus facile.

Je vais être 3 semaines en vacances cet été, une première pour moi.
Je bosse moins, je paierai moins d'impôt (je ne suis pas là pour payer les putes et autres conneries à nos politiques)

La remise à plat et le re calibrage du bonhomme est en bonne voie

Et vous, vos affaires s'arrangent ?
Stef

Stef écrit:

Retour sur ma mésaventure

Hello les pottos
je vais un peu mieux, pas vraiment sauvé, mais je vais mieux
La fatigue est toujours là, mais je suis moins nerveux et moins contracté.

Je n'ai pas divisé par deux mon nombre d'heure de sport, mais j'ai bien baissé en quantité et en intensité.
Sauf lors des cessions course à pieds. Là je suis facilement au maxi des pulses.
Mais comme l'effort ne dure pas plus d'une heure trente, c'est plus facile.

Je vais être 3 semaines en vacances cet été, une première pour moi.
Je bosse moins, je paierai moins d'impôt (je ne suis pas là pour payer les putes et autres conneries à nos politiques)

La remise à plat et le re calibrage du bonhomme est en bonne voie

Et vous, vos affaires s'arrangent ?
Stef

Content pour toi mon stèf !

Bien Stef, mais il ne faut pas oublier d'aller au bout, si près du but !
Il ne faut pas laisser la moindre poussière sous le tapis, sinon dans 6 mois, 1 an, 10 ans... ça peut re-péter.
Je pensais te voir à Vassivière, et puis j'ai vu que ton pote n'y était pas, je ne me suis pas inquiété.

Non 21 km c'est encore trop long pour moi.
Je reste sur 10 ou 15 km pour l'instant
fin septembre après mes congés je vais m'aligner sur un semi marathon, mais à la cool.
Je vise entre 1 heure 25' et 1 heure 30'

Volontairement je me freine sur les distances, que ce soit en vélo ou en course à pieds.

Tu as le semi de Limoges le 12 octobre ...

Edit: je viens de voir qu'il y avait Lépaud le 27/09, c'est sans doute celui-là que tu vises ?

Stef écrit:

Non 21 km c'est encore trop long pour moi.
Je reste sur 10 ou 15 km pour l'instant
fin septembre après mes congés je vais m'aligner sur un semi marathon, mais à la cool.
Je vise entre 1 heure 25' et 1 heure 30'

Volontairement je me freine sur les distances, que ce soit en vélo ou en course à pieds.

Un semi entre 1h25 et 1h30 à la cool... j'adore .... Moi aussi je commence à prendre gout (mais commencer seulement ) à la course à pied... et il est pas impossible que je me tente un semi au mois de novembre à Cognac, mais surement pas entre 1h25 et 1h30... Aprés, je crois que je vais revenir vers mon vélo, il me fait moins mal que mes runnings

Stef écrit:

Non 21 km c'est encore trop long pour moi.
Je reste sur 10 ou 15 km pour l'instant
fin septembre après mes congés je vais m'aligner sur un semi marathon, mais à la cool.
Je vise entre 1 heure 25' et 1 heure 30'

Volontairement je me freine sur les distances, que ce soit en vélo ou en course à pieds.

Ouais, 21km c'est trop long mais 19,2 avec 600m de D+ ça va !

Résultats course des 2 ponts Nedde