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Gérer un CLM, un chrono
- Forza!!!
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Je trouverais ça intéressant de partager les tactiques de chacun dans le soutien d'un effort contre la montre.
Long ou plutôt court, en côte, sur le plat, rôle de la connaissance du terrain, lever le pied parfois pour pouvoir appuyer plus fort ailleurs, etc...
Perso, sur un parcours en côte que je me suis trouvé, 14,850 km avec 3% de pente moyenne et pour 38 min, j'effectue la première bosse en grande vélocité (>100 tr/min) pour ne pas souffrir de "résistance" musculaire, puis replat 2 min où j'appuie moins pour recharger un peu les batteries, et 2ème bosse de même pente que la première que je passe à peine moins véloce (95 trs), puis cassure de pente sur 500 m pour récupérer encore un peu avant de réellement donner la vraie pleine puissance pour la 3ème bosse plus roulante que les 2 premières.
Au final, ça se passe pas trop mal, peut-être pourrais-je soutenir de me faire plus violence sur les 2 premières bosses, à voir.
Vous pouvez décrire un de vos parcours aussi ?
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- albator83
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L'an dernier je n'ai fait que deux chronos, en côte :
1) 4 km = 2,5 km assez roulants en faux-plat puis les 1,5 km plats (où je prends cher) => effort de 7' environ (contre 6' pour les meilleurs ) : www.rodolphe-passions.info/wordpress/2011/05/grand-prix-de-voiron/
2) 15 km et 6,5% de moyenne assez constants => effort de 43' : www.rodolphe-passions.info/wordpress/2011/09/grimpee-de-st-nizier-2/
Donc assez peu de recul, mais dans les deux cas j'ai tendance à partir très/trop fort, en essayant de "tenir la baraque" ensuite.
Ma perf dans le cas 1) était médiocre, faute d'un réel entraînement à PMA et suite à un échauffement largement insuffisant.
Échauffement nickel pour le cas 2) j'ai essayé de suivre les indications du capteur de puissance pour ne pas me griller, mais trop enthousiaste j'ai lâché les chevaux après quelques minutes seulement pour le payer cash à quelques moments-clé... typiquement lors des 2/3 replats où je lâche la bonne dizaine de secondes qui me séparent du podium scratch (en comparant nos courbes Garmin avec charmette1261 c'est flagrant).
Certainement un manque de pratique dans ce domaine ; plus le parcours est irrégulier, moins les temps forts/faibles sont simples à appréhender pour un non-spécialiste je pense.
L'idée générale étant de flirter avec la zone rouge le plus souvent possible, sans dépasser la limite sous peine de charge lactique trop importante ;)
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- macduc
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Bon sujet...hier soir je me suis attaqué sur HT Elite "realaxiom" au CLM MOntélimar de 35km en décochant les aides (type descentes..). je te rejoins parfaitement sur ta conclusion @Albator83 c'est exactement sur quoi je me suis calqué pendant cette heure : toujours flirter avec le rouge sans jamais "trop" le franchir (sauf à la fin..) le lactate dans les gambettes fait le tempo.. :S mais le plus dur a été de ne pas trop "s'envoler" sur les bosses..Suis content de ma perf' j'ai 45 ans...et 3-4 repas trop copieux en cette saison
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- skippy
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Sur un CLM roulant, avoir un vélo de CLM est un plus certains !!!
vo2cycling.fr/index.php?/GENERAL/39027-GESTION-DES-CLM.html
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- lulu
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le plus difficile c'est de tenir la limite en descente .
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- Forza!!!
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Ah flûte !On avait un sujet qui parlait de ça !!!
Sur un CLM roulant, avoir un vélo de CLM est un plus certains !!!
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Pas de problème si tu veux supprimer mon sujet et raccorder les réponses à la suite de l'ancien !
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- Seb-@.
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Là où j'ai le plus progressé, c'est sur la gestion de l'effort et des périodes de récupération. J'ai mis du temps à comprendre qu'en acceptant de perdre 20s à un endroit pour en gagner 21 plus loin, au final, je suis plus performant.
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- skippy
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Ah flûte !On avait un sujet qui parlait de ça !!!
Sur un CLM roulant, avoir un vélo de CLM est un plus certains !!!
vo2cycling.fr/index.php?/GENERAL/39027-GESTION-DES-CLM.html
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Non pas du tout, c'était juste pour info
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- Eric
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2 choses importantes pour un CLM.
La première, l'entraînement spécifique en vu de la meilleure connaissance de soi
La deuxième, savoir trouver la limite à ne pas dépasser afin de ne pas péter et jouer en permanence avec cette limite.
Lorsque je courais un peu sérieusement, cette discipline était mon point fort.
Afin de préparer mes chronos (de 12' à 1h) je faisais du derrière mobylette (le bon vieux 103 SP kité) ou du derrière voiture car le 103 était un peu limite autour d'un petit lac de 3,1 km, tout plat.
Des séances de 30 à 40' avec montée progressive en puissance, toujours en grande vélocité (100 RPM mini), je finissais les dernières minutes à bloc et terminais par un long sprint sans être à l'abris.
Je faisais aussi comme séance 15 bornes de montée en puissance derrière la mob ou la voiture autour de ce lac, puis 1 tour sans abris à PMA, un tour derrière la voiture au seuil ....plusieurs fois. Je faisais donc presque du Gimenez mais à ma sauce en 1988 ...
Et ça marchait bien puisque dans mon comité, j'étais la bête noire en contre la montre. J'avais même tapé alors que nous étions junior un coursier qui allait devenir quelques années plus tard champion de FRANCE PRO DE CLM à 2 reprises.
Amicalement Eric
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- skippy
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Salut,
2 choses importantes pour un CLM.
La première, l'entraînement spécifique en vu de la meilleure connaissance de soi
La deuxième, savoir trouver la limite à ne pas dépasser afin de ne pas péter et jouer en permanence avec cette limite.
Lorsque je courais un peu sérieusement, cette discipline était mon point fort.
Afin de préparer mes chronos (de 12' à 1h) je faisais du derrière mobylette (le bon vieux 103 SP kité) ou du derrière voiture car le 103 était un peu limite autour d'un petit lac de 3,1 km, tout plat.
Des séances de 30 à 40' avec montée progressive en puissance, toujours en grande vélocité (100 RPM mini), je finissais les dernières minutes à bloc et terminais par un long sprint sans être à l'abris.
Je faisais aussi comme séance 15 bornes de montée en puissance derrière la mob ou la voiture autour de ce lac, puis 1 tour sans abris à PMA, un tour derrière la voiture au seuil ....plusieurs fois. Je faisais donc presque du Gimenez mais à ma sauce en 1988 ...
Et ça marchait bien puisque dans mon comité, j'étais la bête noire en contre la montre. J'avais même tapé alors que nous étions junior un coursier qui allait devenir quelques années plus tard champion de FRANCE PRO DE CLM à 2 reprises.
Amicalement Eric
Il me semblait bien que tu n'avais pas un gabarit de grimpeur !!!
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- Eric
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Salut,
2 choses importantes pour un CLM.
La première, l'entraînement spécifique en vu de la meilleure connaissance de soi
La deuxième, savoir trouver la limite à ne pas dépasser afin de ne pas péter et jouer en permanence avec cette limite.
Lorsque je courais un peu sérieusement, cette discipline était mon point fort.
Afin de préparer mes chronos (de 12' à 1h) je faisais du derrière mobylette (le bon vieux 103 SP kité) ou du derrière voiture car le 103 était un peu limite autour d'un petit lac de 3,1 km, tout plat.
Des séances de 30 à 40' avec montée progressive en puissance, toujours en grande vélocité (100 RPM mini), je finissais les dernières minutes à bloc et terminais par un long sprint sans être à l'abris.
Je faisais aussi comme séance 15 bornes de montée en puissance derrière la mob ou la voiture autour de ce lac, puis 1 tour sans abris à PMA, un tour derrière la voiture au seuil ....plusieurs fois. Je faisais donc presque du Gimenez mais à ma sauce en 1988 ...
Et ça marchait bien puisque dans mon comité, j'étais la bête noire en contre la montre. J'avais même tapé alors que nous étions junior un coursier qui allait devenir quelques années plus tard champion de FRANCE PRO DE CLM à 2 reprises.
Amicalement Eric
Il me semblait bien que tu n'avais pas un gabarit de grimpeur !!!
Non tu crois Ivan !!
Mais en bosse si ça ne dépassait pas 6 % de moyenne type les 9 bornes de St Cergue ça n'allait pas trop mal quand même. Mais ça passait par un entraînement spécifique en col de type Gimenez et autre PMA.
Amicalement Eric
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- Forza!!!
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A grande vélocité sinon (105-110 trs) je remarque un facteur limitant, la viande des cuisses qui fait balourd...
C'est con, on penserait les muscles bien tendus et gainés, mais indubitablement chez moi, ça bouge.
Bon, dans un sens, on compte guère monter plus haut non plus !
Une composante de la réussite aussi semble se jouer dans la capacité à être détendu alors qu'on est en effort maximal, pour que tout tourne rond.
Si on est obnubilé par un facteur (douleur par exemple), on risque de négliger autre chose (la gestion de la respiration, le programme d'efforts...).
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- Seb-@.
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Si on est obnubilé par un facteur (douleur par exemple), on risque de négliger autre chose (la gestion de la respiration, le programme d'efforts...).
En dehors des chrono, de ma gestion d'effort et du pilotage, quand je suis à bloc je ne suis obnubilé par rien du tout. Tu peux crier, je ne t'entendrai pas. Du coup, la douleur et les poumons en feu, je ne m'en rends compte qu'après l'arrivée.
J'ai beaucoup gagné de temps en optimisant mon matériel (à vtt, c'est vraiment critique), en préparant mon chrono avec les temps intermédiaires et l'analyse de la FC pour chaque portion, mais aussi en étant plus solide mentalement.
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- Forza!!!
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Comme à chaque circuit de F1 correspond une boite de vitesses spécifique, pour faire un chrono qu'on connait bien un étagement des braquets aux petits oignons est sûrement un plus (pour moi un 34x22 sans doute)
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- ecoffeys
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voici ma référence en CLM cette année. Effectué avec un vélo de route standard
connect.garmin.com/activity/93496017
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- Seb-@.
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- jfd_
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Tu n'as pas mis les bons droits d'accèsah mon avis, jusqu'à 1heure, il ne faut pas gérer et y aller le plus fort possible.
voici ma référence en CLM cette année. Effectué avec un vélo de route standard
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- skippy
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ah mon avis, jusqu'à 1heure, il ne faut pas gérer et y aller le plus fort possible.
voici ma référence en CLM cette année. Effectué avec un vélo de route standard
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Arrête Sylvain, 1h tu es obligé de gérer point barre !!!
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- albator83
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Après tout dépend de ce qu'on entend par "partir à fond"...
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- lulu
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Pour moi "à fond" = PMA, donc même avis que Skippy : un prologue de quelques minutes tu pars à bloc, continue à bloc et finis à bloc... un chrono de 20' ou plus faut gérer un minimum l'affaire, sinon c'est droit au carton en fin de parcours ;)
Après tout dépend de ce qu'on entend par "partir à fond"...
tout juste...il ma fallu 10 ans pour passer de temps a autre a fond , je veux dire au fameux i 7 .
je disais aussi j'ai fini a fond ...alors que c'était juste du sv2 .
maintenant je connais cette sensation de :sick: qui dure quelque seconde .
par contre j'arrive pas a reproduire toujours en moment voulu cette intensité ,faut vraiment avoir la tête pour cela et ce n'est pas toujours le cas . cela est le point fort d'un sprinteur je pense .
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