4. Approche de l’entraînement :
Elle peut-être plus ou moins drastique ou engagée. Certains continuent à surveiller leur fréquence cardiaque (approche pleine de sagesse) et d’autres ne focalisent que sur ce nouvel Eldorado qu’est la puissance.
Les modérés ;-)
Par exemple on peut lors d’un travail de PMA ou d’intervalles courts se servir de la mesure de la puissance afin de bien calibrer la phase active de l’exercice ou même du contre exercice. Par exemple pour un 30x30 ou un Gimenez. Pour le travail au seuil ou en endurance, ils continuent au feeling ou à lorgner sur la fréquence cardiaque.
Les aficionados
Tout leur entraînement tend à se mesurer sur une échelle de puissance. De la récupération active au sprint. Le nom qui revient le plus souvent est un certain Andrew Coggan.
Coggan a essayé de modéliser une approche de l’entrainement exclusivement basée sur la puissance. Déjà en soi c’est un peu réducteur selon moi. Il y a tellement de paramètres externes qui influent la performance. Il y a déjà pas mal de littérature sur le Net qui décrit cela. Mon but n’est pas de vous expliquer in extenso son approche mais d’expliquer ma vision simpliste de sa démarche.