Marmotte

albator83 écrit:

David est opéré en ce moment même sur Grenoble (merci Joris pour les infos, si tu passes par là), double fracture humérale déplacée.
L'accident se serait produit vers le barrage du Chambon ; il a attendu (et sacrément douillé) un très long moment au bord de la route avant d'être évacué apparemment.

Merde alors...... j'espère que cela vas aller, courage david......

Si non:
Bravo à Fabien et notre Lulu

Bravo a tous pour vos perfs, birdie tu es arrivé j'espère ???

albator83 écrit:

David est opéré en ce moment même sur Grenoble (merci Joris pour les infos, si tu passes par là), double fracture humérale déplacée.
L'accident se serait produit vers le barrage du Chambon ; il a attendu (et sacrément douillé) un très long moment au bord de la route avant d'être évacué apparemment.

Bon courage à David, en espérant que ça se remette vite et bien....

A+,

David38.

J'ose espérer que nous aurons de bonnes nouvelles de David aujourd'hui.

c'est partiiii pour une petit retour ,
arrivée au pied de l'alpe vendredi 16 heure..
j’apprends que les inscriptions sont au sommet de l'alpe , en montant en voiture je suis impressionné ..je m'attendais a un truc bien moins pentu , du coup je me dis qu'il faut un minimum de jus pour grimper.
au retour de l'inscription petit déblocage et puis je passe une nuit a me tracasser , car dehors c'est le déluge.
tôt le matin ( 5h30) en préparant le vélo je tombe sur un français qui s'emballe avec un rouleau de plastic alimentaire et il me dis qu'il as jamais vu cela en 5 participations a la marmotte et qu'il vaut mieux être prévoyant pour le galibier , du coup il me donne la frousse..je suis quand même pas descendu pour me faire rincer .
je passe la combinaison hiver et puis je me dis...fessons confiance au prévision de vo2 , je repasse en 3 couches fines.
c'est pas bien de dire cela ..mai bon , je m'infiltre dans la première vague ( pas les prioritaires ) avec ma plaque rouge 6420 dans les plaques jaunes..et après m'être fait refouler deux fois je trouve la faille .
en plus je trouve un super k-way abandonné sur une grille , la journée commence bien.
7h10 le départ est donné et je reste super attentif pour éviter les erreurs du départ.
on commence a grimper un barrage tranquillement et puis directions glandon , je me met dans ma bulle et je monte a mon rythme en pensant bien toute les dix minutes a boire une gorgées et en mangeant toute les 45'.
direct dans le glandon je me dis ..ici c'est bien du raide , encore une fois je croyais que le glandon était un col pas trop difficile , magnifique pour les yeux tout le long , mai bien cassant pour les jambes.
sur le dessus le ciel se dégage et on a même droit a un peu de soleil.
au ravito je suis impressionné par le choix , des barres et gel de power a volonté - gâteau -salami-fromage-pain-fruit sec ect ect , des robinets d'eau super rapide et des gars qui verse des boissons énergétique a la cruche.
bon j'avais juste mets gourde a remplir...
je commence la descente neutralisée ( heureusement car elle était bien trempée) en douceur et j'essaye de rester seul..pour ne pas qu'un gars glisse sous ma roue comme a la sanfloraine.
malgré cela les ambulances on du boulot dans la descente du glandon..incompréhensible.
arriver en bas je tombe sur un troupeau de 30 gars a 300 mètre , je prend bien sur l'option d'accrocher..même si c'est un poil trop fort avec des changements de rythme, on passe au télégraphe..je vois direct que le groupe est trop fort pour moi.
je laisse partir et je me replace dans ma bulle , a mis télégraphe il se passe un truc ... , dur de tenir mes watts , je commence tout doucement a galérer . j'avais prévu cela a plan lachat et non pas si tôt .
je me ravitaille et je descend sur valloire tranquille et direct dans l'après valloire je monte a la ramasse.
a plan lachat je passe en mode survie avec un arrêt d'une minutes tout les deux kilomètre jusqu'au sommet , dans ces conditions j'avais fait le choix de le passer et de monter dans ma voiture qui est au pied de l'alpe, après une semaine d'avant marmotte pleine de bonne sensation et de même au déblocage , voila que je me retrouve en situations tant morale que physique d'abandon .
a l'entrainement j'avais tenu x watts c'est dernier temps sur 5h30 et voila que je sort 30% de moins après 3 heure trente ( fatigue-altitude -alimentation j-3 )
bon me voila sur le dessus du galibier..franchement je croyais que j'allais devoir attendre le bus a 5 kilomètre du sommet.
vous avez déjà monter un col pareille avec juste l'énergie de 150 watts .
bon en attendant je prenais plein la vue point de vue paysage .
je me laisse descendre le lautaret et comme la route était enfin sèche , j'en profite quand même ( quel superbe descente)
et toujours un paysage a couper le souffle , on passe les tunnels avec 2 gars qui roule a mon rythme et puis étant presser dans finir j'accroche un groupe qui roule plus fort , je coupe direct.. cela ne roule pas fort..mai trop fort pour mon état , je me dis pfffffff non seulement j'abandonne mais en plus je n'aurais jamais monté l'alpe , alors que je l'ai a portée de la mains . je me ravitaille et je tombe sur un gars de mon coin qui me dis ..si tu passe les 4er kilomètre dans l'alpe ces dans la poche..je lui dis merci , je vais essayé.
curieusement les 4-5 premier kilomètre je monte dans mes cordes et du coup le moral reprend le dessus..faudra le temps qu'il faudra.. j'ai pas marcher , mai j'ai pris 4-5 fois une minutes et j'ai profiter des sources , car pour la 1er fois de la journée il fessais plein a presque 40° .
quel ambiance dans l'alpe ..incroyable , j'en avait la chair de poule .
passer la ligne d'arrivée ..cela peu paraitre bête , mai quel fierté de l'avoir fait.
point de vue temps , je crois que tout juste sous les 9 heures c'est inespéré malgré ma défaillance , une connaissance de ma région a passer hier en 9h20 et sur les cyclos courte ..il me mettais toujours 10-15'.
je me rend mieux compte maintenant ce qu'est une épreuve de 5000d+ en montagne et le niveau de certain gars du sites.
maintenant je crois avoir été assez loin dans la difficulté en vélo par rapport a mon niveau..je ne tenterais plus jamais une tel expérience , 9 heures de selle c'est pas mon truc .
www.strava.com/activities/162380340
et aussi ... si je monte le glandon , la vallée et le tèlègraphe au puls comme je le fessai par le passé dans une marmotte , je prenais le bus ( je ferais un retour sur le post en question la semaine prochaine sur mon expérience personnel des watts )

Tu sais Lucien l'Alpe c'est 8 % de moyenne sur 13 km, avec 21 virages plats... donc tu manges régulièrement du 9-10 % entre
Et bravo pour avoir persévéré, car si le pied est le plus dur derrière faut finir le job (pour ma première participation en 2010 j'avais mis deux fois pied à terre du côté d'Huez : pafmur: ).

philbon38 écrit:

J'ose espérer que nous aurons de bonnes nouvelles de David aujourd'hui.

Par SMS ce matin : l'opération s'est bien passée (deux plaques) et la douleur est supportable... le tarif standard c'est 45 jours d'arrêt, mais nul doute qu'il remontera sur un vélo bien avant (sur HT dans un premier temps).
Il n'est pas tout seul à l'hôpital, "accompagné" de mon collègue Fabrice encore quelques jours (qui s'est planté méchamment au Raid Vauban).

un bel exemple de persévérance ou de folie aussi..
une connaissance l'année passée a réussi a finir après 4 participation a la marmotte , il lui a fallu se résoudre juste a rouler a chaque fois de moins en moins vite pour finir et pourtant c'était un habitué des brevet longue distance.
je te dis pas le budget marmotte ( essence - péage- hôtel ) et le moral .
la 3em fois c'était la canicule et au pied de l'alpe il avait des crampes partout jusqu’à dans les doigts.

Oui, oui, bien arrivé! 7h52 tout compris, 7h18 officiel, 645ème, 62ème quinqua. 14mn de moins que l'année dernière mais seulement 80 places de gagné, les conditions moins caniculaires étaient plus douces pour tout le monde. Bonnes sensations jusqu'en haut du Télégraphe, en gérant, en me forçant à ne pas dépasser les 240W, puis, sans crier gare, perte de puissance, 210W, dès la sortie de Valloire et tout le long du Galibier et dans l'Alpe d'Huez. Bien géré l'hydratation cette fois-ci.
Je suis passé au barrage du Chambon quand un hélico cherchait à se poser, j'ai vu juste à l'embranchement des 2 alpes un coureur allongé sur la chaussée, entouré de secouristes.
CR détaillé à venir.

lulu écrit:

un bel exemple de persévérance ou de folie aussi..
une connaissance l'année passée a réussi a finir après 4 participation a la marmotte , il lui a fallu se résoudre juste a rouler a chaque fois de moins en moins vite pour finir et pourtant c'était un habitué des brevet longue distance.
je te dis pas le budget marmotte ( essence - péage- hôtel ) et le moral .
la 3em fois c'était la canicule et au pied de l'alpe il avait des crampes partout jusqu’à dans les doigts.

Toi aussi Lulu bel exemple de persévérance

Quelqu'un a les résultats de birdie et alexbandit89? Ne connaissant pas leurs noms de plus la recherche par n° de dossard est assez bordélique...

Le vélo c'est à moitié dans la tête. Bon c'est sur que quand les jambes sont pas là, c'est dur pour la tête...
Beau CR et bel exemple de persévérance. Objectif atteint! Méfie toi quand même des "jamais plus" pour ce genre de défis à la con!

Grand Bravo a tous les finisher. Quels perf chapeau!!! Et fait C** pour David, ah, les voitures prompt rétablissement, courage.

Bravo les gars, BRAVO Lulu !
T'as rien laché, un vrai guerrier comme on en voit en VTT !

Super lulu, comme lebad, esprit VTT, tu lâches rien

lulu écrit:

quel ambiance dans l'alpe ..incroyable , j'en avait la chair de poule .
passer la ligne d'arrivée ..cela peu paraitre bête , mai quel fierté de l'avoir fait.
point de vue temps , je crois que tout juste sous les 9 heures c'est inespéré malgré ma défaillance , une connaissance de ma région a passer hier en 9h20 et sur les cyclos courte ..il me mettais toujours 10-15'.
je me rend mieux compte maintenant ce qu'est une épreuve de 5000d+ en montagne et le niveau de certain gars du sites.
maintenant je crois avoir été assez loin dans la difficulté en vélo par rapport a mon niveau..je ne tenterais plus jamais une tel expérience , 9 heures de selle c'est pas mon truc .
www.strava.com/activities/162380340
et aussi ... si je monte le glandon , la vallée et le tèlègraphe au puls comme je le fessai par le passé dans une marmotte , je prenais le bus ( je ferais un retour sur le post en question la semaine prochaine sur mon expérience personnel des watts )

Merci pour le CR.
Je pense que la chair de poule est d'autant plus intense quand on ne se voit pas terminer et qu'on surmonte cette difficulté au courage, en prenant une n-ième fois sur soi.
C'est vraiment un des meilleurs moments que j'ai sur le vélo en souvenir, le franchissement de cette ligne d'arrivée, après tellement de moments de doutes dans la journée, couplée à plusieurs mois de préparation. tu as presque envie de lever les bras car cest une victoire...au moins sur toi (et non on n'est pas seul dans ce classement, il y a une centaine de diables comme lui dans la tête qui obtiennent une prime si tu jettes l'éponge -> )

C'était aussi mon état d'esprit à chaque franchissement de l'arrivée, quelle que soit la forme (à l'agonie en 2010, très bon en 2011, euphorique en 2013). Même chose pour les épreuves de longueur similaire ou supérieure : 3B, Serre-Che... c'est toujours une petite victoire de les terminer.

Le CR promis:

Je me faufile dans les rues de Bourg d'Oisans, je reconnais le 3ème sas de l'année dernière; au 2ème sas, à peine une dizaine de cyclistes en position. Et j'arrive enfin au 1er sas dans une rue étroite. 6H30 pile, planning respecté. Ca ne parle que batave autour de moi. Temps mitigé, un peu de ciel bleu et des nuages. A 6H50, j'enlève le coupe-vent, à 7H05, ça démarre devant, et je franchis la ligne de départ à 7H07. Objectif: finir dans moins de 8H! donc battre mes 8H02 de 2013.
40-50km/h sur la nationale sans problème. La montée du barrage, je reste raisonnable et ne cherche pas à suivre le rythme autour de moi. En haut, je devine la tête de vague 500m devant. Et enfin le Glandon qui commence avec du 9-11%. Je me cale tout de suite sur ma puissance cible, 240W, en me forçant à ne pas m'exciter. Après le Rivier, la petite descente en épingle à cheveux, je suis très prudent car la chaussée est encore trempée des orages de la nuit. Puis la ligne droite à 12%, le gauche-droite en descente suivi du mur à 15%, le plus fort pourcentage de la journée. Je pense à boire régulièrement. Alors qu'en 2013 je doublais les cyclistes par centaines, cette fois-ci je suis au milieu de la 1ère vague à ma place, ni plus ni moins. Plus haut, on découvre pour la 1ère fois le soleil. Enfin le col du Glandon après 1H25 de montée, 1' de moins que l'année dernière. Cette fois-ci, la chaussée n'est pas bloquée! Je remplis mes 2 bidons vidés entièrement, bien! Je suis trempé de transpiration. J'enfile le coupe-vent, et je démarre la descente après 3-4' d'arrêt. Prudemment au début car la chaussée reste mouillée, puis un peu plus vite plus bas. Pas la peine de s'exciter, le temps officiel est arrêté. Je ne vois devant moi qu'un cycliste tous les 100m, complet changement par rapport à 2013. Quand on rentre dans les bois, du brouillard, de nouveau le bitume brillant, attention! Dans un virage, des secouristes et des gendarmes autour d'un concurrent au sol, ça calme. Un petit arrêt technique avant St Etienne de Cuines, autant profiter de la neutralisation!
Commence alors la remontée de la Maurienne. Je fais l'effort pour rejoindre un petit groupe de 4 à 200m devant. On est peu à peu rattrapés et un gros peloton se forme mais presque tous restent dans les roues. Je participe à quelques relais. Tant pis pour les quelques minutes de perdu. La température reste très douce, 19°C à peine. A St Michel, on passe sous l'autoroute et c'est parti pour le Télégraphe. Je garde toujours le même rythme sans problème jusqu'en haut, 245W de moyenne, je ne sais pas encore que la fin de la récréation va bientôt sonner… 51' pour atteindre le col, 3' de mieux qu'en 2013. 3H58 de course, 3' de plus que l'année dernière à cause du ravito du Glandon et de la descente prudente. Arrivée rapide sur Valloire et on attaque le gros morceau de la journée, le Galibier. Dès le mur à la sortie du village, je sens que je suis moins efficace, bizarre. Un arrêt au ravito pour remplir un des 2 bidons (bonne hydratation jusque-là!) et je repars dans la pente. 220W, 210W, je ne peux pas faire mieux comme rythme de croisière, complet changement avec le col précédent, 15' plus tôt!? Ce n'est pourtant pas l'altitude à incriminer, je ne suis qu'à 1700m! Plan Lachat en 41', je continue toujours au même rythme jusqu'en haut, col du Galibier en 1H24 à 213W de moyenne, encore 2' de gagné sur 2013. 14°C au col, 13 de moins que 12 mois plus tôt!! Je remplis les 2 bidons, les bénévoles sont surpris d'entendre parler français! Et je m'engage dans la descente! Cette fois-ci, la chaussée est entièrement sèche, je peux me lâcher. 72km/h à un moment donné. La Meije en face est perdue dans les nuages gris, dommage. Au Lautaret, à droite, je suis seul face au vent. Très peu de cyclistes sur la route. Je devine au loin un petit groupe de 4 mais impossible de revenir sur eux, je perds dans les bouts droits ce que je gagne dans les épingles. Je suis enfin rattrapé par un autre groupe et je peux m'abriter. Je traverse le barrage du Chambon sous le vrombissement d'un hélicoptère juste au-dessus. Au croisement avec la route des 2 Alpes juste après, je comprends tout de suite, un cycliste est allongé au milieu de la chaussée entouré de secouristes. J'arrive enfin à Bourg d'Oisans, je stoppe pour enlever le coupe-vent, j'ignore le ravito, il me reste un bidon plein plus 3 gels comme prévu.
13H45, j'ai droit à 1H22 pour la montée finale de l'Alpe d'Huez, ça devrait le faire, même avec la défaillance de l'année dernière. Dès le début, je suis étonné de pouvoir tenir dans le plus fort pourcentage les 230-250W. Méfiance, méfiance… Et effectivement, ça ne dure pas, je me retrouve rapidement dans les 210W côtoyés depuis Valloire. C'est plus une fatigue générale, psychologique que musculaire. Dur de se faire mal. Mais pas de baisse de rythme au cours de la montée, c'est déjà ça. Il faut dire qu'il fait pas loin de 10°C de moins qu'en 2013, ceci explique cela. Je suis doublé, je double. Beaucoup d'encouragements des spectateurs, sympa. Au virage 6, je dépasse un cycliste qui trottine en chaussettes sur le goudron, le vélo sur l'épaule, la chaîne apparemment cassée!!! Virages 3, 2, 1, tout se déroule finalement assez vite; 1H10 de montée pour le "Vieil Alpe", pour un record de 55'. Et enfin, l'arrivée au palais des sports en 7H52, objectif atteint!
J'apprendrais le soir que ça donne 7H18 officiel, sans la descente du Glandon neutralisée, 15' de moins qu'en 2013. 646ème (au lieu de 726ème), 62ème quinqua. C'est clair que tout le monde a un peu progressé grâce aux conditions moins caniculaires. 2H plus tard, à la descente, je croise un troupeau ininterrompu de cyclistes, je suis content d'être ce côté-là de la route!...
A refaire en 2015?

terrible le cr birdie

Je traverse le barrage du Chambon sous le vrombissement d'un hélicoptère juste au-dessus. Au croisement avec la route des 2 Alpes juste après, je comprends tout de suite, un cycliste est allongé au milieu de la chaussée entouré de secouristes.

Sûrement David !

skippy écrit:

Je traverse le barrage du Chambon sous le vrombissement d'un hélicoptère juste au-dessus. Au croisement avec la route des 2 Alpes juste après, je comprends tout de suite, un cycliste est allongé au milieu de la chaussée entouré de secouristes.

Sûrement David !

C'est ce que j'ai pensé en lisant...
Super CR, ça donne envie d'y être... un jour!

skippy écrit:

lulu écrit:

bonjour et merci a tous ;
je me reconstruit un peu physiquement et puis je vous ferais un pavé .. quel aventure

Bravo Lulu ! T'es un guerrier

@Fabien la prochaine fois moins de 8h

Je met 15 min de plus que l'année dernière bien que les conditions météo soient plus favorables (encore trop chaud dans l'Alpe mais mieux).
Donc je vais plus vite avec le VTT qu'avec le route mais le route tient mieux les wheelings dans les cols...