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Dopage ça va mieux !!!
- david38
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Sans me faire l'avocat du diable, que diriez-vous si une déshydration intense conduisait à faire exploser le taux de concentration dans les urines ? Coupable ou non ? Tricheur ou non ?
Pour rappel :
"En juillet dernier, des chercheurs de l’hôpital universitaire Bispebjerg à Copenhague (Danemark), qui étudiaient l’influence de la déshydratation et de l’exercice sur l’élimination du salbutamol, se sont aperçus que les dosages urinaires atteignaient 1 325 ng/ml plus ou moins 599 ng/ml, quatre heures après la prise d’une dose de 1 600 microgrammes (limite autorisée sur 24h) chez 13 adultes en bonne santé. Largement suffisant pour crédibiliser la version de Froome."
Si j'en croit Jean-Jacques Menuet dans : www.medecinedusportconseils.com/2017/12/ , la déshydratation est prise en compte (" Sur ce Tour d’Espagne la canicule sévissait ; il est possible que les urines du coureurs aient été fort concentrées, augmentant alors le taux de Salbutamol au contrôle ; mais lors du contrôle la densité (concentration) des urines est mesurée ; si les urines sont trop concentrées le sportif doit boire et refaire le contrôle ; si les urines sont trop diluées le sportif doit se représenter plus tard au contrôle.").
Région Grenobloise
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- david38
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- Orel
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- Cricridamour
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Si j'en croit Jean-Jacques Menuet dans : www.medecinedusportconseils.com/2017/12/ , la déshydratation est prise en compte (" Sur ce Tour d’Espagne la canicule sévissait ; il est possible que les urines du coureurs aient été fort concentrées, augmentant alors le taux de Salbutamol au contrôle ; mais lors du contrôle la densité (concentration) des urines est mesurée ; si les urines sont trop concentrées le sportif doit boire et refaire le contrôle ; si les urines sont trop diluées le sportif doit se représenter plus tard au contrôle.").
Trop concentées :C'est-à-dire combien?
Boire combien?
Refaire le contrôle quand?
Trop diluées de combien?
Plus tard: c'est à dire?
On cite beaucoup de pseudos spécialistes, même dans Le Monde , beaucoup de il parait, trucmuche a déclaré que, etc...
Perso, je laisse ça aux vrais spécialistes, ceux qui parlent d'un contrôle anormal et pas d'un contrôle positif.
Ceci dit, je ne me fais plus aucune illusion sur le sport professionnel depuis longtemps, il y a eu trop d'antécédents, trop de dopés qui ont promis/juré/craché sur la tête de leur mêre que non, blablabla etc.
Moi je ne vois pas cette affaire comme un évènement sportif. Je le met sur le même plan qu'une série télévisée genre Dexter,True Detectives ou Narcos: Va-t-il s'en sortir? Et comment? Suspens... J'avais adoré le feuilleton Lance Armstrong, j'ai hâte de voire la suite.
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- gillesF78
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On donne une imite aux poids des vélos (6.8kg) pour limiter les risques sur des pièces trop allégées, et pour limiter la technicité et le prix des composants. De la même manière, pour limiter l'intérêt du dopage aux anabolisants, on pourrait imposer un certain pourcentage de graisse corporelle : 9% minimum par exemple.
Personnellement, j'ai 13% de m.g quand je suis au top. Alors 9% ça laisse de la marge
Edit : ça limiterait aussi les risques de comportement anorexique.
Région Grenobloise, GillesF78
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- teamdindon
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Trop concentées :C'est-à-dire combien?
Boire combien?
Refaire le contrôle quand?
Trop diluées de combien?
Plus tard: c'est à dire?
Tester la densité spécifique
Une fois que les bouteilles A & B sont scellées, l’ACD peut mesurer la densité spécifique
de l’urine restante dans le récipient de collecte.
Avec le réfractomètre, la densité spécifique doit être supérieure ou égale à 1.005.
Avec les bandelettes (Combur¹º Test) la densité spécifique doit être supérieure ou égal
à 1.010.
Si la densité est inférieure à 1.005 ou 1.010 – l’ACD doit continuer de prendre des
échantillons supplémentaires jusqu’à ce que la densité appropriée soit atteinte – à la fin
tous les échantillons doivent être envoyés au laboratoire.
L’ACD peut encourager le coureur à arrêter de boire.
cf : fr.uci.ch/mm/Document/News/CleanSport/16/56/48/T...ession.FR_French.PDF
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- hedy38
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- PEB
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Il confirme que lorsque l’on fait un sport d’endurance, on est plus fragile (pollen, polluants divers, air chaud/froid, sec, etc.) et qu’une gêne respiratoire en découle. Dans un certain nombre de cas, elle peut avoir des manifestations asthmatiformes potentiellement nuisibles à la santé et qu’une prise de ventoline peut les limiter.
On sait, par ailleurs, que ces agents irritants sont présents surtout en mai et juin (pollen) et en juillet (chaleur). Si l’on reste dans une démarche scientifique, et que l’on sait qu’un sujet doit prendre 16 doses/24h sur une épreuve en septembre (a priori, moins de pollens, moins de chaleur), combien de doses lui sont nécessaires/24h en juin (Critérium du Dauphiné) ou en juillet (TDF) ?
Par ailleurs, la posologie généralement conseillée pour la ventoline est de 1 à 3 inhalations. Indépendamment de toute logique de dopage, un individu qui, pour mener à bien son activité professionnelle, doit inhaler jusqu’à 16 dose met en péril sa santé. La médecine du travail interviendrait avec raison pour déclarer le travailleur inapte. Si le médecin de l’équipe sportive concernée n’a pas la conscience professionnelle nécessaire pour intervenir et déclarer le coureur inapte, alors, même si ce n’est pas leur rôle premier, il est pertinent que les instance anti-dopage interviennent pour suspendre le coureur qui se met en danger. La suspension temporaire des coureurs présentant un taux d’hématocrite supérieur à 50 procède, d’ailleurs, d’une certaine manière, de cette logique.
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- Orel
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- Bannis
Colludol, non ? Un simple coup de spray au fond de la gorge et tu comprends qu'il s'agit d'un produit dopantCe matin j'ai acheté un médicament contre le mal de gorge et j'ai vu ça au dos
Je me demande si à fortes doses ça peut être dopant aussi
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- Circus
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Il y a plusieurs cas qui me paraissent pourtant assez simples et logiques :
- Tu es malade mais pas suffisamment pour ne pas pratiquer ton activité sportive : dans ce cas-là tu ne prends aucun médicament.
- Tu es malade, mais tu dois prendre un médicament. Si celui-ci est à effet dopant, tu n'as pas le droit de courir.
- Troisième cas, qu'on pratique tous : tu es malade et le médicament existe sans être dopant, tu y as droit.
- Quatrième cas, le cas du médicament dopant à un certain seuil... tu y as droit, mais c'est à tes risques et périls, si pour x raisons tu dépasses le seuil autorisé, c'est toi le fautif car tu avais le choix de ne pas le prendre et de te soigner.
Dans cette histoire, ce qui me tue, c'est que si on suit la logique de Froome, ce sont l'AMA et l'UCI les fautifs d'avoir fixer un seuil qui ne correspond pas à sa physiologie (je reprends ses arguments) dans des cas exceptionnels... Il n'aurait pas un peu oublié que c'est lui le responsable de son choix, effectué en pleine connaissance de causes ???
Le fond du pb, ce sont les AUT, qui ne devraient tout simplement pas exister. C'est une aberration médicale !
Il est pourtant simple de comprendre que lorsqu'on est malade, on se soigne et on ne court pas. L'activité sportive intensive sur une santé amoindrie n'a jamais été prouvée comme un soin.
Le cyclisme a une sacrée révolution à faire sur la question... Ça marche pourtant comme ça dans plein d'autres domaines : tu veux faire pilote de chasse (cycliste pro), t'as pas 16/10 aux yeux (asthme), bien t'as pas le droit, tout simplement.
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- Orel
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- Bannis
En total désaccord avec toi. Si je suis ton raisonnement, les asmathiques ou les diabétiques (l'insuline pouvant etre considérée comme dopante si je ne m'abuse) ne pourraient pas être sportis pro ? Pfff. Quant au fait de se mettre en arrêt de travail en cas de crise, quand tous tes objectifs reposent sur six semaines par an... Je ne sais pas dans quel secteur d'activité vous bossez, mais si je me mets en arrêt maladie au moment clé de l'année, je peux être certain que mon boss ne me loupera pas a la première occasion.Tu touches là PEB le coeur du sujet à mes yeux...
Il y a plusieurs cas qui me paraissent pourtant assez simples et logiques :
- Tu es malade mais pas suffisamment pour ne pas pratiquer ton activité sportive : dans ce cas-là tu ne prends aucun médicament.
- Tu es malade, mais tu dois prendre un médicament. Si celui-ci est à effet dopant, tu n'as pas le droit de courir.
- Troisième cas, qu'on pratique tous : tu es malade et le médicament existe sans être dopant, tu y as droit.
- Quatrième cas, le cas du médicament dopant à un certain seuil... tu y as droit, mais c'est à tes risques et périls, si pour x raisons tu dépasses le seuil autorisé, c'est toi le fautif car tu avais le choix de ne pas le prendre et de te soigner.
Dans cette histoire, ce qui me tue, c'est que si on suit la logique de Froome, ce sont l'AMA et l'UCI les fautifs d'avoir fixer un seuil qui ne correspond pas à sa physiologie (je reprends ses arguments) dans des cas exceptionnels... Il n'aurait pas un peu oublié que c'est lui le responsable de son choix, effectué en pleine connaissance de causes ???
Le fond du pb, ce sont les AUT, qui ne devraient tout simplement pas exister. C'est une aberration médicale !
Il est pourtant simple de comprendre que lorsqu'on est malade, on se soigne et on ne court pas. L'activité sportive intensive sur une santé amoindrie n'a jamais été prouvée comme un soin.
Le cyclisme a une sacrée révolution à faire sur la question... Ça marche pourtant comme ça dans plein d'autres domaines : tu veux faire pilote de chasse (cycliste pro), t'as pas 16/10 aux yeux (asthme), bien t'as pas le droit, tout simplement.
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- hedy38
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Colludol, non ? Un simple coup de spray au fond de la gorge et tu comprends qu'il s'agit d'un produit dopant
Presque, c'est bien un spray pour le mal de gorge mais c'est la marque ANGI-SPRAY ^^
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- albator83
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C'est radical, mais face à de telles doses de cheval je suis de l'avis de PEB et Circus : à un moment faut dire stop et arrêter l'escalade.
PS : si on vient travailler avec une gastro ou 40 de fièvre "au moment clé de l'année", shooté aux médocs pour tenir debout pas sûr que le boss apprécie beaucoup
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- jfd_
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@Orel : par curiosité, quel est ton poids? Je suis assez étonné que tu puisses encore rouler avec un déficit hydrique de l'ordre de 5 litres (sachant que la perte de 4% de la masse corporelle en pertes hydriques entraine un effet immédiat sur le physique de l'ordre de -40%)
@Orel (bis) : pour l'insuline, je connais "un peu la chose". L'insuline est classée produit dopant parce qu'en étant injectée chez une personne non atteinte de diabète de type 1 (ou diabète insulino-dépendant), à doses très précises et hors période de pratique sportive, elle favorise la prise de masse musculaire. Sauf que là, dans ce cas d'espèce, il suffit de faire un dosage sanguin d'un traceur que l'on appelle le peptide C. Ce traceur est le reflet du bon fonctionnement (ou pas) de la partie du pancréas qui produit l'insuline, les îlots de Langherans. Il sert aussi à détecter le contraire du diabète, l'hyperinsulinisme. Un diabétique de type 1 a ce dosage à 0. Il est donc aisé de savoir l'état réel de la personne considérée sur ce plan là.
Edit : un petit lien d'un traileur diabétique qui a les boules : Y-Clic
Le jour où je tombe sur un gars qui utilise ce produit à des fins autres que thérapeutiques, je dois avouer que je ne suis pas sur de garder mes nerfs face à lui qu'elles qu'en soient les conséquences
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- Orel
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- Bannis
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- Circus
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Attention à l'ordre de la comparaison !
On parle d'un monde pro qui se déroule dans un cadre compétitif. Lorsque tu vas bosser malade, tu ne crées pas un préjudice d'inéquité à l'égard de tes collègues en prenant tes médicaments. Par ailleurs, dans l'ordre des libertés, si dans le cyclisme pro ont t'empêche de courir à cause de ta maladie, on ne te prive pas d'une liberté et tu n'es pas victime d'une discrimination (car etre cycliste pro n'est pas un droit : la question a été tranchée il y a quelques années à propos du cas d'un Français chez Cofidis qui ne pouvait soigner sa maladie que par un produit dopant).
N'oublie pas, comme le dit Rodolphe, qu'on parle là d'une personne qui si on le croit était dans une situation de tres grande détresse respiratoire. Si tu vas bosser dans cette situation, ton patron a le devoir de te faire soigner.
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- Cricridamour
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Ben les gars, désolé de spoiler la suite du feuilleton, mais faut pas se leurrer, s’il le fait, ce toubib devra se trouver un autre poste à brève échéance. Voilà la différence avec le vrai monde du vrai travail : dans la vraie vie, le médecin qui prescrit un arrêt de travail n’est pas lui aussi l’employé de la même entreprise avec le même patron. Dans l’équipe, le médecin n’est pas là pour garantir l’intégrité physique du sportif, mais pour assurer que celui-ci puisse courir malgré tout.
J’ai vu un film récemment sur cette thématique : Seul contre tous (Concussion). Synopsis : D’après une histoire vraie, dans les années 2000, un neurologue pathologiste révolutionne le monde de la neurologie en découvrant des cas d'encéphalopathie traumatique chronique au sein de la NFL (National Football League, le foot américain quoi, celui où ils sont casqués et tout harnachés de protections). Ce film dénonce les dangers de ce sport, avec un grand nombre de décès prématurés d’anciens joueurs à peine quarantenaires, décès dus à la répétition de commotions cérébrales subies durant leur carrière.
Les médecins officiels et des « experts » grassement payés par la NFL ont nié l’évidence des preuves et même le simple bon sens (les images de schlaguées sur la tronche que se ramassent les joueurs m’ont fait froid dans le dos). A la tête de la NFL, on retrouvait alors des personnages qui auparavant étaient liées à l’industrie du tabac et qui étaient donc au point concernant les mesures dilatoires , d’intimidations et de manipulations d’études scientifiques . Ceci bien entendu au motif des intérêts financiers gigantesques en jeu.
Comme c’est un film hollywoodien, le héros résiste à toutes les pressions et déguelasseries et fini par imposer la vérité au vu de la nation entière, youpi et ouf ! Mais dans le dernier plan : sur les terrains de foot américain, rien ne change, il y a toujours autant de jeunes qui veulent devenir joueur pro et tant pis pour les risques.
(désolé pour le HS, mais pas tant que ça)
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Cricri
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- PEB
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Il ne faut pas oublier de se poser les questions de base. Pourquoi une réglementation anti-dopage est apparue ? Parce que les produits destinés à augmenter artificiellement les performances ont des effets secondaires potentiellement dangereux pour la santé des sportifs. Si tel n’était pas le cas, on laisserait tous les coureurs se charger à saturation d’EPO, d’hormones de croissance, d’anabolisants, d’amphétamines, etc. Cela ne poserait pas de problèmes… Sauf que dans la réalité, leur santé est gravement mise en danger par la prise de ces produits.
On sait aussi que l’entourage des coureurs, médecins d’équipes compris, a un intérêt financier de court terme à maximiser la performance du coureur. La santé n’est plus qu’une priorité de second ordre. Une réglementation anti-dopage est donc un garde-fou (comme la médecine du travail) mise en place par la puissance publique pour protéger l’intérêt général et celui des plus fragiles. Ici, c’est la santé des coureurs –même si dans bien des cas, eux-mêmes ne s’en soucient pas-.
Dans le cas qui nous occupe, si l’hyperréactivité bronchique à l’effort et aux agents irritants est telle qu’elle nécessite 16 inhalations de ventoline/24h, alors il est logique que la puissance publique –via la réglementation anti-dopage- condamne cette pratique. L’enjeu premier est de protéger la santé du coureur (éventuellement, malgré lui, malgré son médecin d’équipe et son entourage).
Personne n’est dupe des enjeux financiers (ou tout simplement d’égo) qui sont derrière la pratique dopante. D’où l’intérêt de l’intervention d’un tiers externe (une réglementation anti-dopage) qui, en théorie, y échappe.
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- Orel
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Mais croyez-vous FRANCHEMENT, qu'un leader de Grand Tour, au palmarès long comme le bras, qui sait pertinemment qu'il sera contrôlé à l'arrivée de chaque étape, se serait permis de prendre le double de la dose autorisée ?! D'un produit aussi simple à détecter/mesurer ? Sérieusement ? Il faudrait vraiment avoir le QI d'une huître séchée...
Comme vous l'avez dit, on parle là d'une équipe pro, qui jusqu'à preuve du contraire, n'est pas connue pour son amateurisme. Personnellement, je ne crois pas une seconde qu'ils aient pu se faire avoir comme ça.
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- david38
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Je suis tout à fait d'accord sur le fait qu'il faut des règles pour encadrer la prise des médicaments autorisés comme la ventoline...
Mais croyez-vous FRANCHEMENT, qu'un leader de Grand Tour, au palmarès long comme le bras, qui sait pertinemment qu'il sera contrôlé à l'arrivée de chaque étape, se serait permis de prendre le double de la dose autorisée ?! D'un produit aussi simple à détecter/mesurer ? Sérieusement ? Il faudrait vraiment avoir le QI d'une huître séchée...
Comme vous l'avez dit, on parle là d'une équipe pro, qui jusqu'à preuve du contraire, n'est pas connue pour son amateurisme. Personnellement, je ne crois pas une seconde qu'ils aient pu se faire avoir comme ça.
Ca a l'air énorme mais je ne serais pas surpris que ce soit le cas... Et pas qu'à la Sky...
Région Grenobloise
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