Tu as fait quoi aujourd'hui???

Une sortie en Chartreuse.
J'ai failli faire demi-tour au pied du col du coq : 2 groupes de 15 motos m'ont doublé sur la petite route. C'était tellement désagréable que je n'aurais pas supporté ça plus longtemps. Heureusement, il n'y a eu que quelques motos de plus, et seules...
J'ai trouvé une magnifique paire de lunettes decathlon qu'un promeneur avait oublié sur le toit de sa bagnole et qui était tombée sur la route avec sa casquette...
Il a fait plutôt chaud : 25.4 °C de moyenne, avec une bonne partie en altitude.

Je suis enfin monté en vélo de route à la Bastille :
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Quelques réflexions :
1) comme je le pensais, c'est tellement raide que ça n'a pas grand intérêt (plus sympa d'y monter à pied ou en VTT, pas sûr d'aller beaucoup moins vite)
2) faudra que j'y retourne car j'ai m* au premier croisement (tellement je connais les lieux ^^) donc pas de segment Strava
3) je comprends pourquoi le Blaireau a mis plusieurs fois pied à terre en 1977, avec un braquet de 42*23 (environ) + une visite d'un ravin dans le col de Porte quelques minutes plus tôt

Au moins pas gêné par le trafic vers 13h (les gens déjeunaient), même s'il faisait bien bien chaud à la fin d'une belle sortie

Petit week end haut alpin, jeudi une boucle autour de St Bonnet en Champsaur et finish Chaillol 1600
Bel effort dans la montée, le cardio a vite pris son envol mais j’ai réussi à tenir l’allure.
Hier rando Lac des Petarelles à 2000m, le col est accessible avec les crampons et les batons, car encore bien eneigé.
J’ai reperé la montée vers Les Portes pour aller au début de rando, aujourd’hui j’y suis retourné avec un bel effort de 8’.
Il faisait chaud et lourd dans la vallée. On enchaine ensuite vers le Giobernay et j’ai pris un sale coup de chaud, il a fallu du temps pour m’en remettre !
Voulant finir avec un bon dessert à l’auberge de Moline en champsaur, on se prend l’orage et surtout plus de dessert à l’auberge. On attend un peu et rien ne s’arrange, bref on se lance et la c’est pluie, grêle, vent et soleil, puis re pluie et re grêle !
Bref un bon petit week end

Les Hautes-Alpes, les Alpes "vraies" (comme disait la pub locale y'a 20-30 ans)

Aujourd'hui, j'étais un poil cramé, j'ai fait du plat dans le Voironnais.

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Une dernière ce dimanche pour arrondir à 500 bornes en cinq jours :
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J'avoue que ça tirait un peu de partout en finissant aux Allières, pour boucler un bon petit bloc avec une météo quasi parfaite

Un peu de PMA, c'est mieux que rien...

Le « tour du quartier » comme j’aime à l’appeler
La boucle Engins - Lans - St Nizier avant la tempete d’orages annoncée. J’ai pu tester ma nouvelle sacoche de cadre ( qui servira pour des longues sorties d’été, juste pour le matos minimum, ça gagnera un peu en aéro si il y a du vent latérale. Celle que j’utilise depuis quelques année est plus volumineuse

Montée tranquille, retour un peu au tempo face au vent.
Hier j’ai fais du seuil dans la montée de Venom, mais ça c’est plutôt transformé en VO2

une petite mieux que rien :

Je passe le weekend à St Gervais. Hier, les averses m'ont dissuadé de sortir le vélo. A la place, nous avons été faire un peu de marche (à peine 2km) et de la piscine...

Aujourd'hui, j'ai fait un joli tour dans le Beaufortain. Dans la montée aux Saisies par Crest Volant, il y avait beaucoup de motos et voitures : une déviation obligeait à prendre cette route au lieu de la route habituelle. J'ai encore pesté contre les motos trop bruyantes.
J'ai remarqué que les motos les moins sonores et les moins terrifiantes étaient celles de la gendarmerie... C'est bizarre.

A Megève, il y avait une autre déviation due au montage du portique de départ de la MB Race. Avec 1 mois d'avance, il ne sont pas en retard, hein...?
Au retour, j'ai pu admirer la magnifique structure montée.


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Effectivement, d'habitude les arches gonflables des cyclos sont "montées" 1h avant le départ Blague à part, les belles routes de montagne deviennent hélas surfréquentées le week-end, dès qu'il y a un brin de soleil.

De mon côté "juste" 2h de Zwift le samedi (pour la même raison que toi... rien que pendant la séance il est tombé 2-3 énormes draches) avec le combo gagnant chaleur+humidité pour une grosse suée.
Et dimanche j'ai soigné mon nombre d'Eddington avec une longue virée entre Belledonne et Chartreuse :
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Humide et frais jusqu'à midi sous les nuages de Belledonne (~15°C), avant de prendre +10°C en face sur les Petites Roches... comme par hasard les jambes se sont débloquées à ce moment-là
Découverte de la montée jusqu'à la station du Barioz ; depuis Theys ça fait déjà un bon petit bout (11 km), donc de la vallée (Tencin ou Allevard) ça fait un beau D+ cumulé.
Tout cela quelques heures avant mesdames sur la Grésivaudan Alpes Classic (joli chantier de 115 km / 3300m avec arrivée au Collet d'Allevard ). Elles auront eu bien meilleure météo que les juniors de la Classique des Alpes la veille.

J'ai fait un joli tour encore... Avec un TSB qui est remonté, j'avais de bonnes sensations.

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Cela faisait longtemps que je n'avais rien publié dans cette rubrique, non pas par absence de réalisation mais n'affichant pas le même niveau de performances que vous, j'ai un peu de mal à vouloir les publier
Néanmoins, dimanche, je suis allé participer à Milan/San Remo amateurs avec plus de 700 autres cyclistes dont 3 camarades de clubs.
Une belle distance de 311km et 2000m de D+ avalée en 10h39, sur un parcours quasi identique à celui des pros (seul le colle delle Giovo remplace celui de Turchino), avec le final connu sur la côte ligure et ses 5 capi.

Cela part fort, très fort, en peloton, mais hormis les relances, les efforts sont peu importants pour faire les 2 premières heures à 41km/h de moyenne car tout est plat (hormis un ou deux pont d'autoroutes).
Malheureusement, au kil 94, je perce à l'arrière. Le temps d'enlever le petit silex coincé qui empêche le préventif de colmater correctement, boucher un peu le trou et faire tourner à vide, je repas évidemment loin du groupe. Les autres membres de notre sas sont bien plus loin visiblement alors je reprends seul, vente de face, sans forcer. 100km, 2h37, je me fais rattraper par la tête du sas suivant au kil 114. 10km de nouveau dans les roues jusqu'au premier ravitaillement (certains sont ravitaillés en route par leur orga, club ou tour operator). Pause obligatoire pour remplissage de bidon. Ayant deux camarades dans le groupe que j'ai du abandonné sur crevaison, j'attends le dernier qui arrive 6' après moi.
Nous repartons ensemble avec quelques savoyards fort sympathiques du TeamBelleville. Tout va relativement bien jusqu'au kil 138 pour moi, où je suis pris de violentes nausées. Un cimetière se présente sur la gauche de la route, et je dis à mon copain de club de continuer, car je subis un gros coup de chaud. Ce joli cimetière italien me permet de me rafraichir, grâce à bel auvent en dur contre la chapelle, de petits bancs adossés à ses flancs à l'ombre, et une fontaine d'eau fraiche. Je laisse filer tous mes espoirs de bien figurer, car je comprends très vite que ces nausées sont parties pour durer.
Je repars seul dans la pampa quelques minutes plus tard. De temps à autre, un groupe passe et je m'accroche à celui-ci autant que possible, mais je suis comme vide, sans forces (malgré le fait d'avoir respecté mes Wnp prévus (200w) sur les premières heures. Niveau alimentation, que des produits habituels, bref, pas très compréhensible mais je dois faire avec.
Longue traversée du désert pendant 75kil jusqu'à la bascule vers la côté ligure, tout en faux plat montant majoritairement avec deux "bosses" plus marquées dont le colle delle Giovo.
Au sommet, je rejoins la TeamBelleville dont les deux féminines ont eu des incidents. Nous repartons ensemble et nous nous motivons mutuellement (je leur dois une fière chandelle). 50km avalés ensemble dont la traversée des premières villes portuaires (Savona entre autres) pas les plus jolies, avec le bord de mer qui rend un petit air frais plus agréable, mais rien ne passe en alimentation solide. Je ne peux "finir" qu'avec du liquide car chaque fois que je mange ou prends un gel, je suis repris de nausées et de sensations d'étouffement.
Bref, je laisse à nouveau filer et vais terminer seul. Moralement, c'est très difficile, car arrivent les Capi et je me dis que sans force, ça va être galère. Mais bon, je repars pour les 75 derniers kil, en faisant le décompte à l'envers des Capi, Mele, Cervo, Berta... que je grimpe en endurance à 200w. Je tente d'ingurgiter un gel durant le plat avant les deux derniers renommés, la Cipressa et le Poggio, me disant que si ça passe, ça fera du bien.
J'attaque la Cipressa à 26km du but avec les mêmes bases de watts, mais au milieu, je dois m'arrêter pour "rendre" le gel. Je finis alors la montée en mode escargot tout à gauche. Pourtant, je double ça et là quelques âmes errantes comme moi, encore plus à la peine.
Le plat jusqu'au Poggio me semble interminable car je prends le parti d'en garder un peu. A l'attaque du Poggio, je me sens mieux et je vois quelques "lièvres" devant moi. J'essaye d'aller les chercher un par un, en parvenant à monter aux watts tempo, sans doute grâce à l'effet "odeur de l'écurie"... Il n'y a en effet, à la bascule, plus qu'à se laisser glisser jusqu'à l'arrivée. Je fais une bonne descente grâce à la présence devant moi d'un scooter dont je peux lire les trajectoires et les freinages (ou pas ). Et je file sur l'arrivée en mettant ce qu'il me reste sur le plat final.

Je franchis l'arche sous les applaudissements de mes copains de club, qui savaient que j'étais mal et pensais que j'avais abandonné, mais je n'ai pas lâché, car j'avais investi trop de temps dans mon entraînement pour bâcher. Cela a surtout été un combat mental pour me convaincre d'aller au bout.
311km/2060mD+/10h39/201Wnp

Le parcours n'est pas difficile sauf éventuellement par sa longueur, et il n'est beau surtout qu'à partir de la Ligurie, hormis quelques beaux villages perchés dans le sud Piémont. Mais cela reste "mythique".
L'organisation est plutôt bonne, mais je mets un bémol sur le nombre de ravitaillements, pas suffisants à mon avis (deux avec tout et un qu'avec du liquide sur 311km). Beaucoup se font ravitailler par leur orga propre, ce que nous n'avions pas prévu (à tort).

Belle journée galère.
T'as compris ce qui t'était arrivé ?

Honnêtement non.
Je n'ai pas assez de recul, d'expérience pour le savoir/comprendre.

Au niveau alimentation, rien d'inhabituel avant et pendant.
Boissons identiques à d'habitude avant et pendant.
Au niveau de la gestion, je m'étais préparé à ce départ rapide et il était largement dans mes cordes (c'est plutôt mon point fort de rouler sur le plat).
Peut être que je n'avais pas évacué complètement ma sinusite de début de semaine et qu'elle a eu des répercussions sur le reste ? Mais sincèrement, ce n'est qu'une supposition.

Beau périple, respect.
J'ai déjà fait plusieurs fois 200 bornes et + en course, avec un D+ très conséquent... mais 300 bornes c'est un autre monde, même avec pas mal de plat.
D'ailleurs (par rapport à ta mésaventure gastrique) je suis curieux de savoir comment mon corps réagirait à une sortie un peu intense de 8-9h ou plus (pas sûr que ça passerait avec un régime 100% crème de marrons).

P**** de fumées qui ont traversé l'Atlantique !

+ le sable du Sahara + l'anticyclone qui plaque bien ça dans la cuvette grenobloise
de mon côté j'ai retrouvé des top sensations avec +30°C, gros kiffe dans Montaud hier soir :
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Ce n'est toujours pas mieux au niveau des particules fines qui affadissent les paysages.

J'ai fait un peu de I4-I5, j'étais plus en forme qu'hier.