Tu as fait quoi aujourd'hui???

Fredhamster écrit:

Mieux vaut jamais reproduire ce que font les autres si on ne sais pas exactement pourquoi on le fait...

+1 : si une méthode marchait à tous les coups pour tout le monde, il y aurait beaucoup moins de coaches :-)
Et le sport en général perdrait une bonne partie de sa saveur...
Surtout si ce sont les mêmes "vieux" qui font faire 1500 bornes de plat-petit-plateau en foncier sur janvier/février

Sinon pour recoller au sujet, première soirée intensité, ça décrasse bien :
www.strava.com/activities/519519638

albator83 écrit:

Sinon pour recoller au sujet, première soirée intensité, ça décrasse bien :
www.strava.com/activities/519519638

Pour moi, j'ai fait un biquotidien : 45 minutes le midi (avec une montée intense au col de Vence), et 1 heure pépère le soir à I1-I2 au col de Clémencières.

Depuis 1 semaine, j'évite de faire de l'intensité le soir parce que j'ai des problèmes d'endormissement dus à une excitation excessive du bonhomme (musculaire et mentale). Quand je parle de séance intense, c'est par exemple une séance avec entre 250W et 300W de puissance moyenne pondérée...

Fredhamster écrit:

Circus écrit:

Y a des vieux au club qui conseillent de couper 10j complets à la fin de l'hiver, 15j avant les courses. Ils n'ont peut-être pas tant torts...

Le conseil n'est pas très judicieux, quelqu'un qui fait de longues sorties en limite I2/I3 depuis 3 mois et qui se trimbale avec une fatigue résiduelle qu'il ne détecte peut-être pas a certainement besoin d'une semaine ou plus de repos alors que celui qui est sous-entrainé ou qui a bien géré ses charges d'entrainement n'en aura pas du tout besoin bien au contraire.
Mieux vaut jamais reproduire ce que font les autres si on ne sais pas exactement pourquoi on le fait...

Excusez-moi, je me suis mal exprimé, les vieux en question sont les entraîneurs de la DN1 du club.

Enchainement de deux séances intenses, mercredi 3*30/15 sur le HT, et hier 6*1000 (allure record 10k) à la piste en athlé avec 1'20 à 1'30 de récup.

Aujourd'hui je suis mort!

Je rebondis sur une chose en voyant la bonne forme d'albator, le cross training. Avec des activités comme le skating, le ski de rando ou la course à pied (trail, kV, ou route), il y a de quoi progresser sur le plan cardiaque, c'est plus que certain! Musculaire aussi!

J'ai parfois même l'impression que pour progresser sur le plan cardio, le cross training m'est indispensable (càp, skating), sur le plan musculaire c'est autre chose...

gillesF78 écrit:

albator83 écrit:

Sinon pour recoller au sujet, première soirée intensité, ça décrasse bien :
www.strava.com/activities/519519638

Pour moi, j'ai fait un biquotidien : 45 minutes le midi (avec une montée intense au col de Vence), et 1 heure pépère le soir à I1-I2 au col de Clémencières.

Depuis 1 semaine, j'évite de faire de l'intensité le soir parce que j'ai des problèmes d'endormissement dus à une excitation excessive du bonhomme (musculaire et mentale). Quand je parle de séance intense, c'est par exemple une séance avec entre 250W et 300W de puissance moyenne pondérée...

C'est vrai que pour le sommeil difficile vaut mieux éviter les intensités le soir : aucun impact sur mon sommeil (ça me sert même de défouloir), mais ce n'est pas le cas de tout le monde.
Idem pour les "gros" repas d'ailleurs, et tout ce qui peut perturber l'endormissement.

Le top sont les séances dures quasiment à jeun le midi, avec le soleil au zénith.
C'est plus difficile à organiser au bureau mais ça se fait... et ça va se faire aux beaux jours

Mon premier CP5 sur le plat, je sors 1w de moins que sur mon meilleur, il y a en gros 1 an fait en bosse. Je pensais être bien en dessous de ce que je peux faire en bosse, donc bonne surprise. J'ai quand même lâché un peu le prolongateur sur la fin pour remettre les mains en bas du cintre.
Mais qu'est ce que c'est dur, ce truc!

Hier matin, sous le soleil, 1h20 de CAP avec une séance qui bouge bien : 500 m puis 5 x 1200 m puis à nouveau 500 m à allure 10 km. Ça fait du bien quand ça se termine....

Circus écrit:

Fredhamster écrit:

Circus écrit:

Y a des vieux au club qui conseillent de couper 10j complets à la fin de l'hiver, 15j avant les courses. Ils n'ont peut-être pas tant torts...

Le conseil n'est pas très judicieux, quelqu'un qui fait de longues sorties en limite I2/I3 depuis 3 mois et qui se trimbale avec une fatigue résiduelle qu'il ne détecte peut-être pas a certainement besoin d'une semaine ou plus de repos alors que celui qui est sous-entrainé ou qui a bien géré ses charges d'entrainement n'en aura pas du tout besoin bien au contraire.
Mieux vaut jamais reproduire ce que font les autres si on ne sais pas exactement pourquoi on le fait...

Excusez-moi, je me suis mal exprimé, les vieux en question sont les entraîneurs de la DN1 du club.

Ce n'est pas un gage de compétence.

albator83 écrit:

gillesF78 écrit:

albator83 écrit:

Sinon pour recoller au sujet, première soirée intensité, ça décrasse bien :
www.strava.com/activities/519519638

Pour moi, j'ai fait un biquotidien : 45 minutes le midi (avec une montée intense au col de Vence), et 1 heure pépère le soir à I1-I2 au col de Clémencières.

Depuis 1 semaine, j'évite de faire de l'intensité le soir parce que j'ai des problèmes d'endormissement dus à une excitation excessive du bonhomme (musculaire et mentale). Quand je parle de séance intense, c'est par exemple une séance avec entre 250W et 300W de puissance moyenne pondérée...

C'est vrai que pour le sommeil difficile vaut mieux éviter les intensités le soir : aucun impact sur mon sommeil (ça me sert même de défouloir), mais ce n'est pas le cas de tout le monde.
Idem pour les "gros" repas d'ailleurs, et tout ce qui peut perturber l'endormissement.

Le top sont les séances dures quasiment à jeun le midi, avec le soleil au zénith.
C'est plus difficile à organiser au bureau mais ça se fait... et ça va se faire aux beaux jours

+1 Rodolphe, je crois que je n'ai jamais aussi bien travaillé mes intensités depuis que je les fait quasi à jeun à midi :) et pourtant j'en traîne des séances d'IT :) Mais bon dans 1 semaine il va falloir les basculer le soir :)

teamdindon écrit:

Circus écrit:

Fredhamster écrit:

Circus écrit:

Y a des vieux au club qui conseillent de couper 10j complets à la fin de l'hiver, 15j avant les courses. Ils n'ont peut-être pas tant torts...

Le conseil n'est pas très judicieux, quelqu'un qui fait de longues sorties en limite I2/I3 depuis 3 mois et qui se trimbale avec une fatigue résiduelle qu'il ne détecte peut-être pas a certainement besoin d'une semaine ou plus de repos alors que celui qui est sous-entrainé ou qui a bien géré ses charges d'entrainement n'en aura pas du tout besoin bien au contraire.
Mieux vaut jamais reproduire ce que font les autres si on ne sais pas exactement pourquoi on le fait...

Excusez-moi, je me suis mal exprimé, les vieux en question sont les entraîneurs de la DN1 du club.

Ce n'est pas un gage de compétence.

Ça m'étonnerais fortement que les entraîneurs de DN1 fassent couper leurs coureur avant de débuter la saison :) :)

Les coupures, je n'en faisais pas, et maintenant j'ai l'impression de ne faire que ça...

Avant mon arrêt de 2 mois début 2015, j'allais au turbin coûte que coûte, ignorant la fatigue et les blessures. Je ne pense pas avoir jamais été en sur-entraînement car je gérais les charges, mais clairement je n'étais pas efficace sur les séances "dures" (pas assez dures justement car trop de fatigue).
Depuis, j'ai compris que la base foncière ne s'envolait pas en 3 jours (puisqu'elle ne s'était pas envolée en 2 mois), et dès que je ressens un coup de pompe, je fais 5 jours cool, à base de récup active, voire de rien du tout si la météo est merdique ou si je n'ai pas envie. Par contre, dès que la forme et l'envie sont là, je fais des séances très dures, intensité et volume.
Au final, avec un CTL à 50-55, je suis à peine en dessous (5-10W de FTP en moins) par rapport à 2014 avec un CTL à 75-80. Mon plan, vu sous l'angle de la progressivité et des cycles entraînement/surcomp, ne ressemble à rien du tout, mais je m'en porte beaucoup mieux.

Après la séance puissance anaérobie de lundi justement, j'ai eu du mal à récupérer, et pas mal de taf : 40' de càp à i1 mercredi, repos mardi et jeudi. Ce midi j'ai remis le couvert, 1h de càp avec 9x puis 12x[54" i5-/26" i2].

stam écrit:

Depuis, j'ai compris que la base foncière ne s'envolait pas en 3 jours (puisqu'elle ne s'était pas envolée en 2 mois), et dès que je ressens un coup de pompe, je fais 5 jours cool, à base de récup active, voire de rien du tout si la météo est merdique ou si je n'ai pas envie.

100% d'accord avec ça! Je sors toujours mes meilleures puissances après 3-4jours de coupure. Pas de courbatures, meilleur influx nerveux, et motivation reboostée, ça aide!
Beaucoup trop d'entre nous (moi le premier) culpabilisent quand ils ne peuvent pas sortir 3 jours de suite. (alors qu'on voit les copains sur strava borner ) pourtant l'organisme a besoin de ces micro-coupures pour assimiler les périodes de charges.
Sinon c'est blessure ou grosse fatigue assurée.

Bon sinon pour revenir au sujet, ça fait justement 5 jours que je ne fais rien car les lombaires sont encore bien bloqués. L'osteo mercredi a fait ce qu'il a pu mais les journées assis devant le PC au boulot (grosse semaine...) c'est pas le top. On va voir comment ça évolue ce week-end mais si ça va pas mieux lundi, c'est direction le toubib pour avoir quelques jours de repos.

aujourd'hui j'ai fait ma deuxième sortie vélo seulement de la semaine. Je me sens fiévreux mais pas malade a être cloué au lit, c'est vraiment chiant, c'est des sensations bizarres car j'ai du mal a ventiler mais sans être a l'agonie non plus. J'ai fait deux séances de piscine et ça a démarré là. Je me demande si je ne suis pas allergiques au chlore car l'année passée, il m'était arrivé pareil mais je n'avais pas corrélé et là rebelote.

Je voulais faire un tri fin juin et avec mon gros boule je flotte bien mais je me vois mal m'entrainer en eau vive

Une piscine en période d'épidémie, je pense que ça fait partie des pires endroits à fréquenter...

Si, doit y avoir pire : une crèche ou une classe maternelle !

lebad écrit:

Une piscine en période d'épidémie, je pense que ça fait partie des pires endroits à fréquenter...

Si, doit y avoir pire : une crèche ou une classe maternelle !

tu crois ? et en plus mercredi j'ai nagé a coté de 50 gamins

Pour dimanche au fait c'est toujours ok ? on se fait une petite collation post course ! y a les madames avec ? ou juste les champions ?
moi j'irai rouler le matin, je rentre pour le départ, prends l'appareil et me positionne dans le raidar ! j'espère vous reconnaitre ! vous aurez le maillot Vo2 ?

C_mic07 écrit:

Pour dimanche au fait c'est toujours ok ? on se fait une petite collation post course ! y a les madames avec ? ou juste les champions ?
moi j'irai rouler le matin, je rentre pour le départ, prends l'appareil et me positionne dans le raidar ! j'espère vous reconnaitre ! vous aurez le maillot Vo2 ?

Je sais pas encore si je suis seul ou en famille....
je serais sur place au environ des 11h , départ 12h15
pour les tenus non course FFC donc tenus du club :

Bon moi aussi, je serai habillé comme sur la photo

Sortie vélo 2h42, du SST dès que le terrain s'y prêtait : 1h40 sur 10 efforts. Le repos de la semaine et la sortie de samedi dernier, finie à sec, ont porté leurs fruits : j'ai sorti 10W de plus et le réservoir n'était pas vide à la fin.
82km/1100m +, première sortie en mi-long, sans veste ni surchaussures, et première de l'année à >30km/h : c'est con, mais ça fait du bien de ne pas finir à 29,9 ...
En prime, un soleil magnifique et une campagne qui commence à sortir de la torpeur de l'hiver !