Tu as fait quoi aujourd'hui???

Vous gérez comment la température ?

Ici, 33°C et... je n'aurais pas eu une crevaison lente, j'aurais avionné. Bilan, 10min à 90%FCmax, je ne m'en suis pratiquement pas rendu compte tellement c'était facile, et la FC qui se casse la figure à moins de 70%FCmax en 2min après le chrono.

Je suis plutôt en forme, mais j'ai l'impression que la température m'aide !? C'est logique, ça ?

Seb-@. écrit:

Je suis plutôt en forme, mais j'ai l'impression que la température m'aide !? C'est logique, ça ?

L'air est moins dense : ça diminue la traînée

Seb-@. écrit:

Vous gérez comment la température ?

Le cagnard tu veux dire ?
Je m'asperge de l'eau dans le cou, le haut du dos... un peu comme on voit les coureurs du TDF le faire à la TV...

Seb-@. écrit:

Ici, 33°C et... je n'aurais pas eu une crevaison lente,

Si je n'AVAIS pas eu...

Seb-@. écrit:

Je suis plutôt en forme, mais j'ai l'impression que la température m'aide !? C'est logique, ça ?

Non, ce n'est pas logique...

Ça peut, Rodolphe est un adepte des grosses chaleurs. Moi elles m'asphyxient et dégradent significativement mes performances, je préfère quand il fait doux entre 20 et 25.

teamdindon écrit:

Seb-@. écrit:

Je suis plutôt en forme, mais j'ai l'impression que la température m'aide !? C'est logique, ça ?

L'air est moins dense : ça diminue la traînée

Mais du coup il y en a moins qui rentre dans le moteur

A la réflexion, je pense avoir la réponse : d'une part, je suis allergique aux pollens, ça me plombe comme pas permis. Avec les fortes chaleurs, la végétation est moins "généreuse" en pollens. Ce qui doit m'aider au niveau cardio-respiratoire.

D'autre part, ma façon de rouler - j'aime les efforts explosifs - doit jouer elle aussi. Il me semble qu'une température élevée est un facteur de performance pour certaines fibres musculaires. Si en effet cela accroît le rendement musculaire, en toute logique je dois mieux utiliser l'apport en O2, donc pour une puissance donnée je dois moins solliciter l'appareil cardio-respiratoire ?

gillesF78 écrit:

Seb-@. écrit:

Ici, 33°C et... je n'aurais pas eu une crevaison lente,

Si je n'AVAIS pas eu...

Grammaticalement, il me semble que cette forme est tout à fait valable ? "si j'aurais écrit" un petit "si" devant la formulation, je t'accorde que la faute aurait été magnifique

C'est propre à chacun : certains ne supportent pas la chaleur (et mieux le froid), pour d'autres comme toi... et moi c'est l'inverse.
Plus il fait chaud, plus je marche... je le constate à chaque entraînement, et encore en course les deux derniers week-ends (comme par hasard j'étais mieux quand le mercure a commencé à grimper... fort).

Par contre les séances d'intensité en côte par 35°C plein soleil le midi (assez rare finalement), j'évite... car le coup de chaud n'est pas loin (et ce n'est pas conseillé).

Faisait chaud aujourd'hui, ce soir je suis allé rouler vers la forêt vent favorable et je suis rentré vent de côté/de face pour me rafraîchir... Des passages à i4, mais pas trop poussé le moteur, peur du coup de bambou. Avec ma mauvaise circulation sanguine, je suis meilleur quand il fait froid (vasoconstriction)

Seb-@. écrit:

gillesF78 écrit:

Seb-@. écrit:

Ici, 33°C et... je n'aurais pas eu une crevaison lente,

Si je n'AVAIS pas eu...

Grammaticalement, il me semble que cette forme est tout à fait valable ? "si j'aurais écrit" un petit "si" devant la formulation, je t'accorde que la faute aurait été magnifique

C'est une faute de ne pas mettre le si pour exprimer une hypothèse non réalisée dans le passé...

www.francaisfacile.com/exercices/exercice-franca...ce-francais-1517.php

3. Pour exprimer une hypothèse non réalisée dans le passé :
=> ayant des conséquences dans le présent :

Si + plus-que-parfait , conditionnel présent
Si tu avais appris le français, tu saurais le parler aujourd’hui.

=> Ayant eu des conséquences dans le passé :

Si + plus-que-parfait , conditionnel passé
Si tu avais appris le français, tu aurais su le parler hier.

Tu es sûr que cette structure de phrase est la seule valide ?

Le lien que tu donnes indique comment construire une phrase débutant par "si", et dans ce cas il est évident que l'on ne peut écrire "si j'aurais su" etc.

En revanche, débuter par "si" n'étant à mon sens pas une obligation, l'autre construction me paraît tout aussi valable : "j'aurais su, je ne serais pas viendu" (pour varier les plaisirs :-) )

Hier et pas aujourd’hui , séance HT en fin de soirée à la fraîche.
Soutien FTP: 4x12’ avec 6´ de récup.
Le doigt est en vrac mais les jambes sont bonnes
Pour poursuivre sur la chaleur, dans mon cas, je n’ai pas le sentiment que ça me gêne beaucoup.
Niveau doigt, alternance atelle, glace, légères flexions. Radio aujourd’hui et attente résultat pour voir si arrachement osseux ou pas mais je ne pense pas.
J’ai confiance pour début juillet

Seb-@. écrit:

Tu es sûr que cette structure de phrase est la seule valide ?

Oui.

"J'aurais" est le verbe avoir conjugué au conditionnel présent.

www.edilivre.com/la-regle-de-la-semaine-jaurai-ou-jaurais/

J’AURAIS (CONDITIONNEL PRÉSENT)
Avec un « s », « J’aurais » est la forme conjuguée du verbe « avoir » à la première personne du singulier du conditionnel présent. Il indique un souhait, une hypothèse ou encore une action soumise à une condition

.

Ton avionnage est conditionné par ta non-crevaison.
Et ta non crevaison doit être conjuguée au passé...

Je suis d'accord avec Seb-@, et, plus important, il semble que des profs de français le soient aussi : www.clg-3moulins-bonnelles.ac-versailles.fr/IMG/pdf/memo_condition.pdf

On peut exprimer l’hypothèse en juxtaposant ou coordonnant deux propositions indépendantes :
> Elle n’aurait pas enterré son frère, Antigone serait vivante. (prop. indep. juxtaposées)
> Qu’elle cesse et elle sera graciée. (prop. indep. coordonnées par « et »)

Sinon, pour raccrocher le sujet, bien qu'il serait plus judicieux d'abonder "T'as fait rien...", j'ai fait mon accoutumance à la chaleur en broyant la végétation du jardin : 5h de tondeuse-débroussailleuse (2 passes, il est tombé 10mm de flotte à 6h... mais ), pour que le sol lui aussi puisse passer l'été sans trop de dommages. Moins de surface foliaire = moins d'évapo-transpiration.

J'aurais pas su, je ne serais pas venu !

Na !

Je suis allé au Charmant Som en vélo, et fait une "randonnée" en famille une fois arrivé là haut.

Depuis 4 jours, je roule avec mon vélotaf et mes roues powertap à cause d'une petite révision de mon Time VXRS (taraudage du boitier de pédalier à re-fileter). La powertap m'a clairement montré que mon capteur Rotor InPower avait un gros problème lundi dernier : mes valeurs de puissance sont revenues dans ma moyenne. Et le roulement du boitier de pédalier était mort : sa cage à billes était partie en morceaux, et les billes se baladaient dans le roulement ce qui permettait une gros jeu radial.


L'oratoire d'Orgeval


Le pitchoune


Gentiane Jaune


Vache qui fait "gling glong" et que Stam va commenter

Jeudi j'ai fait 1h25 de Gravel avec les pneus 700x38 de chez BTwin (trekking protect+) : çà secoue moins dans les descentes, et les sculptures plus fines sur la bande de roulement rendent bien sur l'asphalte et les sentiers bien damés.
Hier soir j'ai fait 45km route après le boulot. Il faisait encore trop chaud (33°C), j'ai roulé à i2 et c'était bien assez.
Ce matin nous sommes partis avec quelques collègues faire la rando d'une brasserie artisanale (dont une bière a été primée cette année) : 90km route dans l'Artois avec 3 célèbres côtes du coin (Bouvignies-Boyeffles, Notre-dame de Lorette et le mémorial de Vimy). La dernière heure fût pénible, j'avais le feu aux pieds et nous manquions tous d'eau (rando en autonomie). J'ai fait la sortie avec le vélo de CX/Gravel histoire de me mettre un handicap, j'ai fini d'achever le boîtier de pédalier. Ensuite bières et barbecue

bonjour
hier ardéchoise la volcanique
bien sur les 100 premier km et puis coup de chaleur
limite abandonné avec crampes à répétitions
complètement cramé a l'arrêt dans la dernière bosse
avec un maxi a 42 * on comprend mieux

Très difficile pour tout le monde cette Ardéchoise... y compris dans le top 5 (j'en connais au moins trois qui ont eu un coup de chaud/crampes à un moment donné).

Je continue à rouler malgré des jambes très modestes... 270w dans la montée de Laffrey par Séchilienne, et après je n'ai même plus osé regarder parce que c'était de pire en pire...
31,2 °C de moyenne en partant à 8h50 ce matin...
40 °C en arrivant chez moi.
A partir de Vizille, quand je prenais mon bidon de sirop de citron, je croyais boire un grog !
Je me suis bien aspergé de sirop de citron à Vizille, avant de m'apercevoir que je m'étais trompé de bidon ! Ensuite j'ai continué à m'asperger à l'eau... C'est quand même génial ce sport : en s'aspergeant, on a un climatiseur naturel
En rentrant par la piste cyclable, j'ai du m'arrêter pour contourner un arbre qui était tombé sur la piste cyclable pendant ma sortie. Il y avait beaucoup de vent...

J'ai l'impression d'avoir des jambes de pépé depuis un bon moment



Le lac de Laffrey, avec un vent fort :


Vue depuis Chabotte sur le Taillefer :

J'imagine comme moi que les nuits en ville sont particulièrement compliquées avec la chaleur du moment (à moins que ce soit climatisé chez toi ?)... donc à mon avis faut pas chercher beaucoup plus loin l'effet "jambes en mousse".
Même pour moi qui résiste bien à la chaleur, la récupération entre les séances devient compliquée (d'où un week-end sans dossard, après avoir laissé énormément d'énergie -sur le vélo et dans le voyage- aux 3B puis la MMBC).

Hier pour un peu de fraîcheur (toute relative) à Chamrousse ou à l'ombre du col de Porte, j'avais l'impression de me prendre une chape de plomb sur la tête à chaque traversée de vallée (Meylan/Gières, puis Grenoble pour finir).