Sur quels pneus roulez-vous ?

jfd_ écrit:

Mister Laurent et le préventif en petite quantité hein Aurais tu oublié quelque chose qui s'est passé en haut du du 1er col de la Dromoisz 120 lors du dernier we Vo2?

Le col de pennes depuis Barnave !

jfd_ écrit:

Mister Laurent et le préventif en petite quantité hein Aurais tu oublié quelque chose qui s'est passé en haut du du 1er col de la Dromoisz 120 lors du dernier we Vo2?

Rien de particulier, un pneu arriere avec 6000km qui fuyait depuis 3 semaines, j'avais eu la flemme de mettre une rustine et de le changer avant le WE VO2 ... 0 soucis depuis !

Et encore c'etait un Fusion 5 tubeless en 23 290g, depuis je suis en fusion 5 TLR 11storm en 25 260g.

Montage aujourd'hui d un grand prix5000 en tubeless à l arrière! Comparé à ceux que j avais acheté l été dernier, il se monte tout seul sur la jante, pas besoin de forcer. Ça clipse direct et il est parfaitement étanche sans produit ! Si il arrive à me faire plus que 4000 km (pas comme le précédent),et a ne pas filocher sur les flans, on dira que Conti à bien corrigé ses problèmes!

Perso pas trop de souci d'échilochage sur mes GP5000 TL (j'en suis à ma deuxième paire), contrairement aux GP4000S2.
Par contre l'usure à l'arrière reste élevée (3000km grand grand max), pour de l'entraînement ça reste du luxe quand on roule +15000 km par an.

Je viens de tomber sur cette annonce, FMB lance une gamme de 4 pneus open faits mains, certes ils ne sont pas donnés mais dans la même gamme de prix que des corsa G2, pour celles et ceux qui ne connaîtraient pas cette marque elle équipe de nombreuses équipes pro avec des boyaux pour les classiques pavés et les cyclocross, sans compter tous ceux les utilisant de façon non officielle.
Petit plus c'est Made in France : LIEN

albator83 écrit:

Perso pas trop de souci d'échilochage sur mes GP5000 TL (j'en suis à ma deuxième paire), contrairement aux GP4000S2.
Par contre l'usure à l'arrière reste élevée (3000km grand grand max), pour de l'entraînement ça reste du luxe quand on roule +15000 km par an.

3000 klm pour les 5000 TL l'année passée j'ai fait le double pour ainsi pas dire le triple... bon faut dire que je choisi mes routes et qu'il ne gravillonne pas en Belgique ou si c'est le cas j'évite , j'ai noté cette fois a quel moment j'ai mis un nouveau a l'arrière pour être certain du temps de l'usure, le démontage n'a pas été plus difficile que pour les anciens 4000 , mai je doit admettre que le montage du nouveau a été pénible , même avec les outils nécessaire .
avec les 4000 s 2 je faisais 12000 klm et j'était pas a la corde ..
et pour en revenir sur le confort des TL c'est impressionnant a 6kg pour 70 kg du poids du bonhomme et mes PR confirme que je ne perds rien en rendement ....sans oublier que je n'ai toujours pas eu de crevaison depuis très très longtemps en conti , je dirais grands max 2 crevaisons sur 100000 klm et croyez pas que les routes belges sont des piste billards ...

Pas la première fois que d'autres me disent "consommer" moins de gomme à l'arrière que moi... surtout vu mon poids plume.
Peut-être ma façon de rouler, ou les routes (pas si moches pourtant, si gravillons il y a je passe quand même mais sans faire de gravel non plus...), ou tout simplement la quantité D+ (et donc les descentes)... en tout cas sur mes GP5000TL (et 4000 avant eux) à 3000 km je vois les premiers bouts de toile apparaître, et là je remplace. C'est comme ça.

Pour moi 10000 km avec un pneu potable à l'arrière (j'exclus les gommes super dures inusables mais sont de vraies savonnettes), c'est juste de la science-fiction :-)
Et je crois que David (charmette1261) qui vit en hauteur et doit descendre une pente raide de quelques km à chaque sortie (les locaux connaissent : Ezy) sur route bien granuleuse bouffe pas mal de gomme aussi.

albator83 écrit:

Pas la première fois que d'autres me disent "consommer" moins de gomme à l'arrière que moi... surtout vu mon poids plume.
Peut-être ma façon de rouler, ou les routes (pas si moches pourtant, si gravillons il y a je passe quand même mais sans faire de gravel non plus...), ou tout simplement la quantité D+ (et donc les descentes)... en tout cas sur mes GP5000TL (et 4000 avant eux) à 3000 km je vois les premiers bouts de toile apparaître, et là je remplace. C'est comme ça.

Pour moi 10000 km avec un pneu potable à l'arrière (j'exclus les gommes super dures inusables mais sont de vraies savonnettes), c'est juste de la science-fiction :-)
Et je crois que David (charmette1261) qui vit en hauteur et doit descendre une pente raide de quelques km à chaque sortie (les locaux connaissent : Ezy) sur route bien granuleuse bouffe pas mal de gomme aussi.

J'allais te dire qu'en descente tu bouffes bien plus de gomme... Mais tu as tout dit avant

Lulu, sympa la voirie en Belgique !! Bien pensée l'idée de mettre un peu de goudron autour des trous !!

C'est l'élément clé je pense : surtout quand on fait (en moyenne) 2000m d'ascension tous les 100 km... faut bien les descendre

albator83 écrit:

C'est l'élément clé je pense : surtout quand on fait (en moyenne) 2000m d'ascension tous les 100 km... faut bien les descendre

Même pas dit que ce soit les descentes qui usent davantage tes pneus.
En faisant beaucoup de montée, même si tu es un poids plume, je suis sûr que tu fais passer beaucoup plus de puissance dans le contact pneu/route que des gabarits plus gros qui roulent essentiellement sur le plat.

teamdindon écrit:

albator83 écrit:

C'est l'élément clé je pense : surtout quand on fait (en moyenne) 2000m d'ascension tous les 100 km... faut bien les descendre

Même pas dit que ce soit les descentes qui usent davantage tes pneus.
En faisant beaucoup de montée, même si tu es un poids plume, je suis sûr que tu fais passer beaucoup plus de puissance dans le contact pneu/route que des gabarits plus gros qui roulent essentiellement sur le plat.

Je ne suis pas scientifique, mais j'aurais dit que la quantité de mouvement est bien plus forte en descente, d'où un travail plus important sur la gomme (???).

Circus écrit:

teamdindon écrit:

albator83 écrit:

C'est l'élément clé je pense : surtout quand on fait (en moyenne) 2000m d'ascension tous les 100 km... faut bien les descendre

Même pas dit que ce soit les descentes qui usent davantage tes pneus.
En faisant beaucoup de montée, même si tu es un poids plume, je suis sûr que tu fais passer beaucoup plus de puissance dans le contact pneu/route que des gabarits plus gros qui roulent essentiellement sur le plat.

Je ne suis pas scientifique, mais j'aurais dit que la quantité de mouvement est bien plus forte en descente, d'où un travail plus important sur la gomme (???).

La distance parcouru reste la meme, ce qui use les pneu c'est le frottement à la limite du glissement, grosse puissance à passer de l'ensemble coureur + velo à la route via une petite surface de contact, donc en cote et en virage !

Après-midi consacrée aux pneus tubeless:

Tout d’abord, sur mon VTT chasseur de KOM en descente, pneu neuf Schwalbe Racing Ralph à l’arrière, et devant un Schwalbe Rocket Ron quasi neuf récupéré sur une vielle roue qui traine dans mon garage. Les deux en 2.25, Snakeskin et montage tubeless, avec des valves déjà utilisées : aucun souci, les pneus passent sur la jante sans outils, l’étanchéité se fait du premier coup avec le compresseur à 11 bars. (Ah les clics jouissifs quand les tringles se mettent en place ! ). 4 bars dans les pneus, secouer les roues dans tous les sens quelques secondes pour répartir le lait, remontage sur le bike et tour du quartier pour contrôle. 30 minutes chrono pour l’arrêt au stand, tranquille sans me presser, avec la marque du pneu bien alignée sur la valve étouétou, YES la maitrise, chuis trop fort ! Mais bon, 15 ans d’expérience et tout le matos à disposition…





Et maintenant les choses se gâtent : suite à une lubie que j’ai eu il y a quelque temps , je décide de monter des tubeless sur le vélo de route. Et effet, j’avais tout lu sur le net : soit c’est hyper vachement plus mieux bien de la balle de la mort qui tue que les chambres à air, soit c’est plus jamais, que des galères au montage et à l’utilisation . J’avais donc décidé de me faire ma propre opinion et commandé le matériel nécessaire : 2 Continental GP 5000 TL en 25 de large et 2 valves.

Première roue : la première tringle passe sans trop de problèmes, mais outil indispensable. Je rajoute le liquide préventif comme je le fais habituellement avec les pneus VTT et attaque la deuxième tringle. Purée, impossible de passer le bord de jante, j’ai peur de casser le démonte-pneu ou de foirer la jante. Des dizaines d’essais ! Et bien sûr, je répands le liquide préventif partout TCHEU ! C’est pas possible, le pneu doit avoir un défaut, un côté doit être plus court que l’autre ! Je démonte la première tringle et recommence avec la deuxième… qui cette fois passe ! Mais plus la première ! Pourtant je pousse bien au fond dans le creux de la jante pour gagner de la longueur ! Quelle galère ! Il va de soi que j’ai béni celui qui sur ce forum avait osé écrire que maintenant ces Conti passaient tout seul ! Visiblement la définition de « tout seul » est variable.

Finalement, en forçant beaucoup et en giclant du savon liquide pour lubrifier, la tringle daigne enfin se mettre en place. Gonflage au compresseur, clac clac, ENFIN ! Et de une ! Il est clair qu’il n’y aura aucun risque de déjantage dans un virage pris trop vite avec une pression trop basse.



A l’attaque pour la deuxième roue. Cette fois, je ne mets pas de préventif avant de passer le bord de jante, gicle du savon sur les flancs, enfile des gants pour ne pas me blesser, et finalement, en forçant beaucoup avec un démonte-pneu qui se plie à angle droit, le pneu se met en place. Le lait préventif est ensuite rajouté au moyen de la seringue à travers la valve.

Bilan : plus de 1h30 d’efforts. Alors que j’ai tout le matériel à dispo et l’expérience du montage tubeless. Je n’ose imaginer le gars qui fait ça dans sa cuisine, sa salle de bain ou pire dans son salon sans expérience et sans matos approprié tel qu’un compresseur en suivant des tutos trouvés sur Youtube.

Déjà mon premier enseignement du tubeless route : en cas de crevaison impliquant de monter une chambre au bord de la route, ce sera une galère monumentale qui se terminera certainement en taxi. Jamais à VTT je n’ai eu des problèmes pour bricoler un pneu déchiré au fond des bois qui m’aurait empêché de repartir.

Puis pour faire l'étanchéité, gonflage au maximum selon Continental : 7,5 bar. Pour la pression d’utilisation, je ferai mes propres expérimentations, après avoir lu tout et son contraire sur le net.

Deuxième enseignement : je vais rouler et effectivement, j’ai l’impression que le rendement est meilleur qu’avec les GP 5000 en chambres à air et également 25 de large. Sur un de mes segments de référence de 3 minutes, parcouru 112 fois, troisième chrono confortable. Le feeling est aussi différent, plus de réactivité avec un vélo plus léger et rigide. A confirmer sur plusieurs semaines.

A+
Cricri

Je me souviens avoir posté que les nouveaux 5000 se montaient tous seuls! Autant comme toi ça avait été galère la première fois, autant la deuxième fois 5 mn pour monter le pneu et le clipser! Je pense que quelques modifs ont été faites sur le modèle!
Je me souviens aussi de mes débuts avec les racing ralph, ou il m est arrivé 2 fois que le pneu saute par dessus la jante au gonflage! Bilan, tringle déformé et pneu à jeter!

Et encore, tu as montée tes GP5000 tubeless sur des jantes DT où ça finit par se monter un jour.
J'ai des potes en roues Mavic qui n'ont jamais réussi à les monter et ont laissé tomber après avoir cassé leurs démonte-pneus et une partie de leurs doigts (ce qui me permet ensuite de leur racheter les pneus jamais utilisés à vil prix ).

Pour la réparation sur le bord de la route, j'imagine que comme les autres pneus récalcitrants, le fait d'avoir roulé avec les rendra un peu plus faciles à monter/démonter.

Le 5000 TL est difficile à monter neuf (voire quasi impossible suivant le modèle de jante), mais après mise en pression la tringle se détend... j'ai déjà eu à glisser une chambre dans un TL au bord de la route et je m'en suis sorti à la main, pourtant je n'ai pas des mains de mécanicien ^^ (xp vécue avec Hutchinson, Conti ou Schwalbe)
Bref, je ne suis pas spécialement inquiet pour une éventuellement réparation "chambre" en tubeless.

PS : sur Mavic même en boutique ils lâchent l'affaire avec les Contis 5000 (démonte-pneus pétés, tringle pneu déformée )

J'ai acheté des vieux GP 3000 sur troc-vélo !

Plus ça va, moins ça va.

Pas trop vieux et craquelés quand même ? parce que les derniers modèles produits remontent à 10-15 ans quand même...